Témoignage : pourquoi Pauline et Eytan ont choisi de cuber à Ipesup pour intégrer l’ESCP
Cuber en Prépa ECG, c’est choisir de se donner une seconde chance pour aller au bout de son ambition. C’est refuser de se contenter d’un résultat en demi-teinte, et décider de viser l’excellence. Chaque année, de nombreux élèves intègrent une école de commerce avec le sentiment d’avoir manqué leur objectif, de ne pas être exactement là où ils devraient être. À Ipesup, nous faisons tout pour éviter ce sentiment d’inachevé : nous croyons que chaque élève mérite de rejoindre l’école à la hauteur de ses capacités, même si cela implique une année supplémentaire en Prépa.
Mais cette troisième année ne doit surtout pas être vécue comme un simple redoublement. C’est pourquoi nous avons conçu une classe spécifique, rassemblant des étudiants aux aspirations communes, dans un cadre exigeant, stimulant et profondément humain. Les effectifs y sont volontairement restreints – 30 élèves en tronc commun, 15 en spécialités – afin de garantir un accompagnement personnalisé. Le programme, quant à lui, privilégie la pratique intensive des concours, la préparation orale grâce à un système de mentorat solide, et un corps enseignant toujours présent.
Pour illustrer cette expérience unique, nous avons recueilli les témoignages de deux anciens élèves, Pauline et Eytan, aujourd’hui étudiants à l’ESCP Business School. Tous deux ont choisi de cuber à Ipesup, et reviennent sur ce choix déterminant.
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Eytan
Qu’est-ce qui t’a poussé à cuber à Ipesup ?
Quand les résultats sont tombés, j’ai compris que mes notes en mathématiques m’avaient empêché de décrocher les écoles les plus prestigieuses. Je me suis alors sérieusement posé la question de la cube. En échangeant avec plusieurs anciens d’Ipesup, j’ai tout de suite perçu une vraie différence dans leur façon de parler de l’année de cube : ils évoquaient un encadrement exigeant, une progression réelle, et un environnement porteur. Le nom de M. Dehorter, professeur de mathématiques, revenait souvent – on me disait qu’il savait faire réussir ses élèves. J’ai décidé de tenter le pari. Un an plus tard, j’ai doublé mes notes en mathématiques et j’ai pu intégrer l’ESCP.
Qu’est-ce qui distingue l’enseignement de M. Dehorter ?
Il reprend l’ensemble du programme depuis le début, avec un souci constant d’adaptation au niveau de chaque élève. Il propose des TD très efficaces pour progresser, et surtout, il met à disposition un polycopié de 350 pages dès le début de l’année : un document d’une richesse incroyable, qui rassemble tout ce qu’il faut savoir pour réussir les concours. Les élèves des autres classes prépas se l’arrachent ! Il conçoit également des sujets originaux, en plus des annales, et se montre particulièrement disponible pendant les révisions.
Comment se déroule la préparation en ESH ?
Elle est remarquable. Les deux professeurs, M. Salin et M. Jayat, sont passionnés et très complémentaires. M. Salin couvre l’ensemble des sujets macroéconomiques (inflation, chômage, politiques publiques, etc.) et propose des références de grande qualité, issues d’ouvrages récents et souvent peu connus. Il commence chaque chapitre par une bibliographie, ce qui nous permet de personnaliser notre apprentissage. M. Jayat, de son côté, se concentre davantage sur la microéconomie et la sociologie en abordant le programme à partir de sujets, ce qui permet de structurer nos idées. Leur complémentarité nous donne une vraie hauteur de vue.
Et pour l’oral, comment s’organise la préparation ?
En ESH notamment, elle est très rigoureuse. Je suis même tombé à l’oral de l’ESCP sur un sujet que nous avions traité en cours. Cela montre bien à quel point la préparation est en phase avec les attentes des jurys. Concernant les entretiens de personnalité, nous sommes mentorés tout au long de l’année par des alumni d’Ipesup ayant obtenu d’excellentes notes à l’oral : cette préparation de long-terme fait clairement la différence.
Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’accompagnement pédagogique à Ipesup pendant ta troisième année ?
Les professeurs connaissent très bien les exigences des jurys et adaptent leur enseignement en conséquence : ils ont une « logique concours ». Chaque professeur contribue à nous faire progresser avec méthode et bienveillance.
Pauline
Qu’est-ce qui rend selon toi l’année de Cube à Ipesup si particulière ?
Ce sont vraiment les professeurs qui font la différence. Ils nous connaissent bien, prennent le temps d’échanger, et sont très accessibles. On peut poser toutes les questions que l’on veut, sans jamais se sentir jugé. Cette proximité, combinée à leur exigence, rend l’année très formatrice.
Comment s’est passée ta préparation en ESH ?
M. Salin est un professeur remarquable. Il veille à ce que tout soit bien compris : il n’hésite pas à renvoyer des mails avec des éclairages supplémentaires pour expliciter une notion ou un mécanisme. J’ai trouvé cela très rassurant et efficace. M. Jayat, de son côté, m’a beaucoup aidée sur la méthodologie : il m’a fait retravailler des plans, a corrigé des introductions, et a proposé des colles supplémentaires quand je le demandais. Il y avait une vraie disponibilité.
Et dans les autres matières, comment as-tu été accompagnée ?
En espagnol, Mme Leon propose des polycopiés d’une qualité incroyable : grammaire, civilisation, vocabulaire… tout est là. C’est une vraie pépite pour progresser. En anglais, Mme Perrot est très rigoureuse. Elle a une méthode solide et donne beaucoup de pistes concrètes pour progresser. Elle n’hésite pas à être franche dans ses retours, ce qui peut surprendre, mais c’est toujours dans un but constructif.
Tu semblais aussi très satisfaite de tes professeurs de culture générale…
Oui, j’ai eu la chance d’avoir M. Cervellon en philosophie. Il est brillant. C’est vrai qu’au début, il faut s’accrocher pour entrer dans son univers, mais quand on persévère, on découvre toute la richesse de sa pensée. Ses références sont parfois inattendues, presque “niche”, mais elles marquent les correcteurs à n’en pas douter. En ECG2, j’avais eu Mme Manonellas, qui était très différente dans son approche : plus accessible, avec beaucoup de références artistiques et picturales qui, elles aussi, plaisent beaucoup aux jurys. Les deux m’ont énormément apporté.
L’accompagnement personnalisé semble être un point fort. Tu confirmes ?
Oui, totalement. J’ai pu faire autant de colles que je le souhaitais, notamment en ESH avec M. Jayat, à l’approche des concours. Et j’ai aussi bénéficié de reprises de copies très approfondies. Je me souviens d’un échange marquant avec M. Cervellon sur une copie de philo. Un passage avait été noté “hors sujet” et je ne comprenais pas pourquoi. On a tout décortiqué ensemble, ligne par ligne, pour identifier le problème. C’était très formateur.
Les témoignages d’Eytan et Pauline illustrent avec force ce qui fait l’originalité et la réussite de la classe de cube à Ipesup : un accompagnement exigeant mais bienveillant, une pédagogie profondément individualisée, et une équipe enseignante pleinement investie dans la réussite de chacun.
Bien loin d’un simple redoublement, cette troisième année devient un véritable tremplin, à la fois académique et personnel, pour accéder à l’école que l’on vise avec lucidité, ambition et confiance.
Cuber à Ipesup, c’est faire le choix de ne pas renoncer à son potentiel – c’est se donner, une fois encore, les moyens d’exceller.
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