Depuis 2011, et l’ouverture de la BEL (Banque d’Epreuves Littéraires), s’affirme une volonté de renforcer la “filière” en offrant aux khâgneux, les étudiants des classes préparatoires littéraires, un accès plus large à des concours naguère “réservés” aux scientifiques ou aux étudiants de la filière “économique”. Les différentes écoles de commerce ont ainsi ouvert une voie dite “littéraire”, dotée d’épreuves spécifiques adossées au programme des concours d’accès aux Écoles Normales Supérieures. Un véritable pôle se constitue donc progressivement du côté des études littéraires : au-delà des ENS (Ecoles Normales Supérieures), l’offre s’élargit. Si l’on y adjoint la possibilité de passer, au niveau L3, le concours d’entrée à l’IEP de Paris, au CELSA et aux Écoles de journalisme, le dispositif devient particulièrement attractif et séduisant. Un étudiant désireux de poursuivre une formation littéraire voit à présent s’élargir considérablement son horizon.

Mais cet horizon demeure borné par des concours spécifiques.

Ces concours, il convient en effet de les préparer avec soin, dans la mesure où certains d’entre eux conservent des spécificités que l’enseignement académique ignore, notamment les classes de khâgne, trop souvent focalisées sur les seules ENS. Voilà pourquoi, l’IPESUP propose, dans le cadre de son département “IPESUP Lettres”, un ensemble cohérent de préparations spécifiques.

En complément des 220 places offertes par l’ENS Ulm et l’ENS LSH (Lyon), c’est un potentiel de 800 à 1 000 places qui sont proposées par les Grandes Écoles de Management, les IEP (Sciences Po), le CELSA et les Écoles de la BEL aux étudiants des filières littéraires : ce qui équivaut à 4 fois plus de débouchés.

Plus d’informations

La banque d'épreuves Littéraires (BEL)

L’ouverture de la BEL, effective depuis les concours 2011, permet aux étudiants de passer plusieurs concours et de multiplier leurs chances de réussite en poursuivant des projets professionnels aussi variés que la recherche ou le management. La liste de ces concours et formations était fixée, en 2017, aux établissements suivants :

  • les ENS d’Ulm et LSH (Lyon)
  • le CELSA (université Paris-Sorbonne),
  • la plupart des écoles de management de la BCE (HEC, ESSEC, ESCP Europe, EM Lyon…),
  • les 2 écoles d’Ecricome,
  • l’École des Chartes,
  • l’École supérieure d’interprètes et de traducteurs (ESIT, université Sorbonne nouvelle Paris 3),
  • les Instituts d’études politiques (IEP) d’Aix-en-Provence, de Lille et de Lyon,
  • l’ISIT (Institut de management et de communication interculturels),
  • Institut supérieur du management public et politique (ISMaPP) ;
  • Université Paris-Dauphine ;
  • Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr ;
  • Ecole du Louvre.

La création de ce concours commun s’inscrit dans la lignée de la réforme des classes préparatoires littéraires aux Grandes Écoles initiée en 2007 qui a instauré une première année commune à l’issue de laquelle les étudiant peuvent choisir d’intégrer une Khâgne préparant aux concours de l’ENS Ulm ou l’ENS LSH (Lyon).

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L’élargissement de la BEL permet de renforcer l’attractivité des prépas littéraires en passant d’une logique excessivement sélective (seuls 5% des inscrits intègrent une ENS, environ 200 sur 4 000) à une véritable logique de concours.

Si 95 % des littéraires échouent toujours aux concours d’entrée aux Ecoles normales supérieures, ils sont de plus en plus nombreux à réussir les concours d’autres grandes écoles, de commerce ou de management, notamment.

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La Banque Commune d’Épreuves Écrites (BCE)

Sous l’égide de l’ACFCI (Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie), les Grandes Écoles de Management sont réunies pour leurs concours, dans une banque commune d’épreuves écrites (BCE) pour le recrutement après classes préparatoires Economiques et Commerciales mais aussi classes préparatoires Littéraires.

Ce concours présente l’opportunité unique d’intégrer via le programme normal des ENS (c’est-à-dire sans un programme spécifique à leurs épreuves) l’une des 24 Grandes Écoles regroupées dans la banque Commune d’Épreuves des Écoles de Management dont HEC, ESSEC, ESCP Europe, EM Lyon, EDHEC, Audencia…

Programme des épreuves écrites

Les candidats des filières littéraires A/L (ULM) – B/L (Lettres et sciences sociales) – Lyon, ex Fontenay Saint-Cloud) composent sur au moins six épreuves.

TROIS épreuves écrites communes avec les options des classes préparatoires Économiques et Commerciales (contraction/synthèse, langue 1, langue 2) :

  • 1ère épreuve : Contraction de texte et/ou Étude et synthèse de textes

    Contraction de texte (durée 3 heures, conception de l’épreuve HEC) : cette épreuve consiste en une contraction ne dépassant pas un nombre imposé de mots, (400 mots + ou – 5 %), d’un texte (ou de plusieurs textes se rapportant à un même sujet). Il s’agit à la fois d’un exercice de lecture révélant l’aptitude à discerner l’essentiel de l’accessoire et d’un exercice de rédaction exigeant, plus encore que la composition de culture et sciences humaines, la précision et la densité du style.

    Étude et synthèse de textes (durée 4 heures, conception de l’épreuve ESCP Europe) : la synthèse comporte un nombre limité de mots (300 mots ; + ou – 10 %). L’épreuve consiste pour le candidat à confronter, sans aucune appréciation personnelle, les réponses différentes que trois auteurs proposent à un problème. Les textes peuvent être choisis dans les domaines les plus divers, ils présentent le plus souvent un caractère littéraire.

  • 2ème et 3ème épreuves : langues vivantes 1 & 2 (ELVi)

    Le candidat doit être en mesure d’apporter la preuve de sa maîtrise d’une langue à travers des épreuves d’expression écrite et de traduction.

    Traduction (thème/version) : en première comme en deuxième langue, l’épreuve de traduction consiste en une version tirée d’un texte d’auteur, soit d’ouvrages, soit d’articles, de périodiques ou de quotidiens. Ces textes portent sur la culture ou la civilisation contemporaine, sans exclure certaines références historiques. Le thème concerne un texte à caractère grammatical, écrit en langue de communication peu spécialisée, tiré d’articles ou d’auteurs.

    Expression écrite : en première comme en deuxième langue, l’expression écrite consiste à répondre à deux questions posées sur la base d’un texte en langue étrangère, les questions et les réponses étant en langue étrangère. Il est prévu que les textes abordent des sujets contemporains et portent sur la culture et/ou la civilisation des domaines linguistiques concernés, ce qui veut dire que les textes sont propres à chaque langue.

    Le candidat inscrit en filière littéraire peut également choisir le latin ou le grec ancien à la place de la deuxième langue vivante. Le sujet proposé en latin ou en grec ancien correspond au thème du programme de 2ème année de classes préparatoires littéraires.

TROIS épreuves écrites, toutes d’une durée de 4 h, correspondant au programme de la classe préparatoire dans laquelle il est inscrit : LSH ou A/L :

  • 4ème épreuve : Dissertation littéraire
  • 5ème épreuve : Dissertation philosophique
  • 6ème épreuve : Dissertation d’Histoire

L’admissibilité des candidats sera déclarée en fonction du total de points obtenu à l’écrit.

Dans ce total, on distingue :

  • les notes obtenues aux épreuves écrites communes et spécifiques ;
  • la moyenne d’admissibilité (sur 20) obtenue par les candidats aux épreuves de la BEL.

Détails supplémentaires sur : www.concours-bce.com

La Banque d’Épreuves ECRICOME

Ecricome est la banque d’épreuves communes à deux grandes écoles de management : KEDGE Business School (Bordeaux + Marseille) ; Néoma Business School (Reims + Rouen).

Les écoles d’Ecricome fixent chacune leur barre d’admissibilité à partir des notes obtenues par les candidats à la BEL. Les littéraires A/L et ENS Lyon ne passeront aucune épreuve écrite spécifique à Ecricome mais uniquement les épreuves des ENS pour lesquelles Ecricome utilisera les notes obtenues en appliquant des coefficients différents pour chacune des écoles.

Détails supplémentaires sur : www.ecricome.org

Le CELSA

Grande École rattachée à l’université Paris-Sorbonne (Paris IV), le CELSA dispense des formations professionnalisantes de haut niveau en journalisme, communication, marketing, publicité et ressources humaines.

Les étudiants de khâgne A/L et LSH qui souhaitent entrer en troisième année de licence de l’information et de la communication du CELSA disposent de deux voies d’accès :

  • soit en passant toutes les épreuves écrites du concours d’entrée en L3 organisé par le CELSA
  • soit après inscription à la BEL et composition aux épreuves écrites du concours d’entrée aux Écoles Normales Supérieures. Les étudiants sont alors dispensés des épreuves écrites du concours du CELSA.

Après communication des résultats par les ENS, les étudiants ayant obtenu à l’ensemble des disciplines présentées à l’écrit, des notes supérieures à un total défini par le CELSA, seront déclarés admissibles.

Détails supplémentaires sur : www.celsa.fr

Les IEP

Les instituts d’études politiques (IEP) d’Aix-en-Provence, de Lille et de Lyon proposent, à partir de la BEL, une voie d’accès en cycle master aux étudiants de classes préparatoires littéraires. Cette voie d’accès s’ajoute aux autres procédures déjà existantes et qui sont maintenues. Elle concerne les candidats à la BEL qui, à l’issue des épreuves, seront déclarés admissibles ou sous-admissibles aux ENS.

Chaque IEP fixe, à partir des notes obtenues par les candidats à la BEL, une barre d’admissibilité qui correspond à trois fois le nombre de places proposées au recrutement par cette voie.

Détails supplémentaires :

L’IEP de Paris : à noter pour les « khûbes », la possibilité de présenter le concours de Sciences Po Paris en « admission parallèle ».

Pour cette formation, vous devez consulter le site, rubrique “Sciences Po Paris (admission directe en cycle Master)”.

L’analyse de la BEL par la Prépa concours Lettres d’Ipesup

Depuis 2011, et l’ouverture de la BEL (Banque d’Epreuves Littéraires), s’affirme une volonté de renforcer la “filière” en offrant aux khâgneux, les étudiants des classes préparatoires littéraires, un accès plus large à des concours naguère “réservés” aux scientifiques ou aux étudiants de la filière “économique”. Les différentes écoles de commerce ont ainsi ouvert une voie dite “littéraire”, dotée d’épreuves spécifiques adossées au programme des concours d’accès aux Écoles Normales Supérieures. 

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Un véritable pôle se constitue donc progressivement du côté des études littéraires : au-delà des ENS (Ecoles Normales Supérieures), l’offre s’élargit. Si l’on y adjoint la possibilité de passer, au niveau L3, le concours d’entrée à l’IEP de Paris, au CELSA et aux Écoles de journalisme, le dispositif devient particulièrement attractif et séduisant. Un étudiant désireux de poursuivre une formation littéraire voit à présent s’élargir considérablement son horizon.

Cet horizon demeure borné par des concours spécifiques.

Ces concours, il convient en effet de les préparer avec soin, dans la mesure où certains d’entre eux conservent des spécificités que l’enseignement académique ignore, notamment les classes de khâgne, trop souvent focalisées sur les seules ENS. Voilà pourquoi, Ipesup propose, dans le cadre de son département “Ipesup Lettres”, un ensemble cohérent de préparations spécifiques.

En complément des 220 places offertes par l’ENS Ulm et l’ENS LSH (Lyon), c’est un potentiel de 800 à 1 000 places qui sont proposées par les Grandes Écoles de Management, les IEP (Sciences Po), le CELSA et les Écoles de la BEL aux étudiants des filières littéraires : ce qui équivaut à 4 fois plus de débouchés.

 

La Banque d’Épreuves Littéraire (BEL)

L’ouverture de la BEL, effective depuis les concours 2011, permet aux étudiants de passer plusieurs concours et de multiplier leurs chances de réussite en poursuivant des projets professionnels aussi variés que la recherche ou le management. La liste de ces concours et formations était fixée, en 2017, aux établissements suivants :

    • les ENS d’Ulm et LSH (Lyon)
    • le CELSA (université Paris-Sorbonne),
    • la plupart des écoles de management de la BCE (HEC, ESSEC, ESCP Europe, EM Lyon…),
    • les 2 écoles d’ECRICOME,
    • l’École des Chartes,
    • l’École supérieure d’interprètes et de traducteurs (ESIT, université Sorbonne nouvelle Paris 3),
    • les Instituts d’études politiques (IEP) d’Aix-en-Provence, de Lille et de Lyon,
    • l’ISIT (Institut de management et de communication interculturels),
    • Institut supérieur du management public et politique (ISMaPP) ;
    • Université Paris-Dauphine ;
    • Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr ;
    • Ecole du Louvre.

La création de ce concours commun s’inscrit dans la lignée de la réforme des classes préparatoires littéraires aux Grandes Écoles initiée en 2007 qui a instauré une première année commune à l’issue de laquelle les étudiant peuvent choisir d’intégrer une Khâgne préparant aux concours de l’ENS Ulm ou l’ENS LSH (Lyon).

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L’élargissement de la BEL permet de renforcer l’attractivité des prépas littéraires en passant d’une logique excessivement sélective (seuls 5% des inscrits intègrent une ENS, environ 200 sur 4 000) à une véritable logique de concours.

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Si 95 % des littéraires échouent toujours aux concours d’entrée aux Ecoles normales supérieures, ils sont de plus en plus nombreux à réussir les concours d’autres grandes écoles, de commerce ou de management, notamment.

 

La Banque Commune d’Épreuves Écrites (BCE)

Sous l’égide de l’ACFCI (Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie), les Grandes Écoles de Management sont réunies pour leurs concours, dans une banque commune d’épreuves écrites (BCE) pour le recrutement après classes préparatoires Economiques et Commerciales mais aussi classes préparatoires Littéraires.

Ce concours présente l’opportunité unique d’intégrer via le programme normal des ENS (c’est-à-dire sans un programme spécifique à leurs épreuves) l’une des 24 Grandes Écoles regroupées dans la banque Commune d’Épreuves des Écoles de Management dont HEC, ESSEC, ESCP Europe, EM Lyon, EDHEC, Audencia…

 

Programme des épreuves écrites

Les candidats des filières littéraires A/L (ULM) – B/L (Lettres et sciences sociales) – Lyon, (ex Fontenay Saint-Cloud) composent sur au moins six épreuves.

Trois épreuves écrites communes avec les options des classes préparatoires Économiques et Commerciales (contraction/synthèse, langue 1, langue 2) :

  • 1ère épreuve : Contraction de texte et/ou Étude et synthèse de textes
    • Contraction de texte (durée 3 heures, conception de l’épreuve HEC) : cette épreuve consiste en une contraction ne dépassant pas un nombre imposé de mots, (400 mots + ou – 5 %), d’un texte (ou de plusieurs textes se rapportant à un même sujet). Il s’agit à la fois d’un exercice de lecture révélant l’aptitude à discerner l’essentiel de l’accessoire et d’un exercice de rédaction exigeant, plus encore que la composition de culture et sciences humaines, la précision et la densité du style.
    • Étude et synthèse de textes (durée 4 heures, conception de l’épreuve ESCP Europe) : la synthèse comporte un nombre limité de mots (300 mots ; + ou – 10 %). L’épreuve consiste pour le candidat à confronter, sans aucune appréciation personnelle, les réponses différentes que trois auteurs proposent à un problème. Les textes peuvent être choisis dans les domaines les plus divers, ils présentent le plus souvent un caractère littéraire.

 

  • 2ème et 3ème épreuves : langues vivantes 1 & 2 (ELVi)

Le candidat doit être en mesure d’apporter la preuve de sa maîtrise d’une langue à travers des épreuves d’expression écrite et de traduction.

    • Traduction (thème/version) : en première comme en deuxième langue, l’épreuve de traduction consiste en une version tirée d’un texte d’auteur, soit d’ouvrages, soit d’articles, de périodiques ou de quotidiens. Ces textes portent sur la culture ou la civilisation contemporaine, sans exclure certaines références historiques. Le thème concerne un texte à caractère grammatical, écrit en langue de communication peu spécialisée, tiré d’articles ou d’auteurs.
    • Expression écrite : en première comme en deuxième langue, l’expression écrite consiste à répondre à deux questions posées sur la base d’un texte en langue étrangère, les questions et les réponses étant en langue étrangère. Il est prévu que les textes abordent des sujets contemporains et portent sur la culture et/ou la civilisation des domaines linguistiques concernés, ce qui veut dire que les textes sont propres à chaque langue.Le candidat inscrit en filière littéraire peut également choisir le latin ou le grec ancien à la place de la deuxième langue vivante. Le sujet proposé en latin ou en grec ancien correspond au thème du programme de 2ème année de classes préparatoires littéraires.

Trois épreuves écrites, toutes d’une durée de 4 h, correspondant au programme de la classe préparatoire dans laquelle il est inscrit, LSH ou A/L :

  • 4ème épreuve : Dissertation littéraire
  • 5ème épreuve : Dissertation philosophique
  • 6ème épreuve : Dissertation d’Histoire

L’admissibilité des candidats sera déclarée en fonction du total de points obtenu à l’écrit.

Dans ce total, on distingue :

    • les notes obtenues aux épreuves écrites communes et spécifiques.
    • la moyenne d’admissibilité (sur 20) obtenue par les candidats aux épreuves de la BEL.

Détails supplémentaires sur :www.concours-bce.com

 

La Banque d’Épreuves ECRICOME

ECRICOME est la banque d’épreuves communes à deux grandes écoles de management : KEDGE Business School (Bordeaux + Marseille), Néoma Business School (Reims + Rouen).

Les écoles d’ECRICOME fixent chacune leur barre d’admissibilité à partir des notes obtenues par les candidats à la BEL. Les littéraires A/L et ENS Lyon ne passeront aucune épreuve écrite spécifique à ECRICOME mais uniquement les épreuves des ENS pour lesquelles ECRICOME utilisera les notes obtenues en appliquant des coefficients différents pour chacune des écoles.

 

Le CELSA

Grande École rattachée à l’université Paris-Sorbonne (Paris IV), le CELSA dispense des formations professionnalisantes de haut niveau en journalisme, communication, marketing, publicité et ressources humaines.

Les étudiants de khâgne A/L et LSH qui souhaitent entrer en troisième année de licence de l’information et de la communication du CELSA disposent de deux voies d’accès :

  • soit en passant toutes les épreuves écrites du concours d’entrée en L3 organisé par le CELSA
  • soit après inscription à la BEL et composition aux épreuves écrites du concours d’entrée aux Écoles Normales Supérieures. Les étudiants sont alors dispensés des épreuves écrites du concours du CELSA.

Après communication des résultats par les ENS, les étudiants ayant obtenu à l’ensemble des disciplines présentées à l’écrit, des notes supérieures à un total défini par le CELSA, seront déclarés admissibles.

 

Les IEP

Les Instituts d’Études Politiques (IEP) d’Aix-en-Provence, de Lille et de Lyon proposent, à partir de la BEL, une voie d’accès en cycle master aux étudiants de classes préparatoires littéraires.

Cette voie d’accès s’ajoute aux autres procédures déjà existantes et qui sont maintenues. Elle concerne les candidats à la BEL qui, à l’issue des épreuves, seront déclarés admissibles ou sous-admissibles aux ENS.

Chaque IEP fixe, à partir des notes obtenues par les candidats à la BEL, une barre d’admissibilité qui correspond à trois fois le nombre de places proposées au recrutement par cette voie.

L’IEP de Paris : à noter pour les « khûbes », la possibilité de présenter le concours de Sciences Po Paris en Admission Parallèles.