Dates DSCG 2023

Les dates du DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestion) sont disponibles pour l’édition 2023. Une session unique est proposée, au mois d’octobre.

 

Calendrier du DSCG 2023 : session unique

Dates DSCG 2023 – Session unique en octobre 2023

Retrouvez ci-dessous les dates clés du DSCG 2023. Les épreuves écrites se déroulent sur trois jours, du mardi 24 au jeudi 26 octobre 2023 inclus ; les épreuves orales (anglais et soutenance de mémoire) selon la convocation, à partir du lundi 30 octobre 2023.

EvénementCalendrier DSCG 2023
Ouverture des inscriptions au DSCGMercredi 5 juillet 2023
Fermeture des inscriptions au DSCGMardi 30 août 2023 à 17h
Date limite nationale de dépôt des pièces justificatives
notamment la « Fiche d’agrément du sujet de mémoire » validée et le mémoire pour l’UE 7 du DSCG
Mercredi 6 septembre 2023 à 23h59
Date limite de paiement des frais d’inscriptionMercredi 6 septembre 2023 à 23h59
Epreuve écrite UE1 : Gestion juridique, fiscale et socialeMercredi 25 octobre 2023 de 14h à 18h
Epreuve écrite UE2 : FinanceMardi 24 octobre 2023 de 9h30 à 12h30
Epreuve écrite UE3 : Management et contrôle de gestionJeudi 26 octobre 2023 de 14h à 18h
Epreuve écrite UE4 : Comptabilité et auditMardi 24 octobre 2023 de 14h à 18h
Epreuve écrite UE5 : Management des systèmes d’informationJeudi 26 octobre 2023 de 9h30 à 12h30
Epreuve orale UE6 : Anglais des affairesOral de 30 minutes selon convocation, à partir du lundi 30 octobre 2023
Epreuve orale UE7 : Soutenance de mémoireSoutenance d’une heure maximum selon convocation, à partir du lundi 30 octobre 2023
Epreuve écrite UE8 facultative : langue vivante étrangère (allemand, espagnol ou italien)Mercredi 25 octobre de 9h30 à 12h30
Jury nationalà préciser
Publication des résultatsà préciser

Retrouvez le calendrier officiel du DSCG au bulletin officiel n°47 du 15 décembre 2022

 

 

Modalités d’inscription au DSCG 2023

Les inscriptions s’effectuent obligatoirement et exclusivement par Internet, à partir du site : https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/fr/diplomes-comptables-superieurs-dcg-dscg-dec-49871.

L’ensemble des pièces justificatives doivent être téléchargées par le candidat dans son espace dédié, créé lors de son inscription en ligne. Le paiement des droits d’inscription est dématérialisé et doit intervenir dans le délai prévu ci-dessus.

Lors de son inscription, le candidat précise, parmi les épreuves constitutives du diplôme, celles pour lesquelles il souhaite faire valoir le ou les éventuels reports de note ou de dispense. Le cas échéant, il précise aussi la ou les validations accordées au titre de la VAE par le jury national du DCG ou par le jury national du DSCG.

La demande d’inscription à l’épreuve n° 7 du DSCG « Mémoire » n’est acceptée au titre de la session 2023 que si la « Fiche d’agrément du sujet de mémoire », dûment validée par un enseignant-chercheur, est téléchargée par le candidat dans son espace dédié, au plus tard le 6 septembre 2023. Le candidat qui souhaite confier l’étude de sa demande d’agrément à son service gestionnaire doit lui faire parvenir ladite fiche au plus tard le 12 avril 2023 (date du courriel faisant foi). Cette fiche est notamment disponible sur les sites des différents rectorats.

Pour un même diplôme, le candidat ne peut à la fois s’inscrire aux épreuves ponctuelles et à la VAE.

 

Coefficients du DSCG 2023

Chaque unité d’enseignement (UE) du DSCG fait l’objet d’un coefficient dédié.

Les épreuves écrites des quatre premières UE 1, 2, 3, 4 (Gestion juridique fiscale et sociale ; finance ; management et contrôle de gestion ; comptabilité et audit) sont affectées d’un coefficient 1,5.

Les épreuves des UE 5, 6 et 7 (épreuve écrite de MSI et les deux épreuves d’orales : anglais et soutenance de mémoire) sont affectées d’un coefficient 1.

Enfin, seuls les points au-dessus de la moyenne sont comptabilisés pour l’UE 8 facultative (langue vivante étrangère facultative) et sont affectés d’un coefficient 1.

Synthèse :

Unités d’enseignementCoefficient
UE1 : Gestion juridique, fiscale et sociale1,5
UE2 : Finance1,5
UE3 : Management et contrôle de gestion1,5
UE4 : Comptabilité et audit1,5
UE5 : Management des systèmes d’information1
UE6 : Anglais des affaires1
UE7 : Soutenance de mémoire1
UE8 facultative : langue vivante étrangère (allemand, espagnol ou italien)1 (points « bonus » au-dessus de la moyenne seulement)

 

 

Préparez le DSCG avec les experts d’Ipesup

Le DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestoin) constitue la suite logique d’un parcours académique tourné vers la gestion, la comptabilité, l’audit. En particulier, il constitue le prolongement naturel d’un DCG (diplôme de comptabilité et de gestion), d’un master CCA (comptabilité, contrôle, audit) ou d’un master Grande Ecole de Commerce dans des parcours analogues. Les salariés exerçant une activité professionnelle dans le domaine de la comptabilité et de l’audit peuvent également trouver un intérêt à présenter ce diplôme. Le DSCG peut déboucher sur le DEC (diplôme d’expertise comptable).

Ipesup assure une préparation de haut niveau  du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion avec des professeurs reconnus experts-comptables, auteurs d’ouvrages, magistrats…



La Prépa DSCG d’Ipesup de nouveau accessible au CPF

Depuis plus de 25 ans, Ipesup dispense une formation de haut niveau au Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG).

Bonne nouvelle pour les candidats : depuis le 8 mars 2023, la prépa DSCG d’Ipesup est de nouveau accessible au compte personnel de formation ! Ce dispositif permet aux candidats de financer tout ou partie de leur prépa à l’aide des droits à la formation qu’ils ont accumulés lors de leurs expériences professionnelles. On peut encore rejoindre le stage « Dernières révisions » et faire financer la formation en CPF.

 

Un contrôle renforcé des formations en CPF

Certains organismes peu scrupuleux, qui ont émergé au moment de la création du CPF, avaient cru voir dans ce dispositif une manne financière, alors qu’il devait être un simple facilitateur de financement pour les candidats. Formations de mauvaise qualité, absence de contrôle pédagogique, démarches commerciales agressives… il s’est avéré nécessaire pour les acteurs de la formation continue de mettre un terme à ces pratiques dommageables à l’ensemble du secteur, et en premier lieu aux candidats.

C’est ainsi que la Caisse des Dépôts et Consignations – entité de tutelle sur la partie financement de la formation, et notamment du CPF – a entrepris de diligenter des contrôles renforcés et de procéder à des déréférencements de formations. Après la parution du Décret du 22 avril 2022 portant une modification des conditions d’éligibilité au compte personnel de formation, la CDC s’est notamment attaquée, dans un premier temps, aux formations dits sur « codes CPF libres ». Ces codes, non liés à des formations inscrites au RNCP (répertoire national des compétences professionnelles) ou au RS (répertoire spécifique), permettaient à des acteurs peu scrupuleux d’inscrire des formations non certifiantes sur la plateforme publique moncompteformation.gouv.fr, et de bénéficier ainsi de financements. Il s’agissait notamment de formations répertoriées sur le code libre « Aide à la création d’entreprise ». Ils sont aujourd’hui mieux régulés : tant mieux.

Malheureusement, dans la démarche louable de déréférencement de formations non certifiantes, la CDC a eu la main lourde et a déréférencé les formations au diplôme supérieur de comptabilité et de gestion, alors même que le DSCG est un diplôme de grade Master qui relève bien du répertoire national des compétences professionnelles (fiche RNCP n° RNCP35044), et qui, par le public qu’il vise (praticiens de l’expertise, souvent en cabinet), relève bien de la formation continue et non de la formation initiale.

Fort heureusement, ce déréférencement incompréhensible, intervenu deux fois (de juin au 25 août 2022 ; puis du 10 décembre 2022 au 8 mars 2023) a été annulé.

Depuis le 8 mars 2023, les formations d’IPESUP sont de nouveau accessibles au CPF ! C’est une bonne nouvelle pour les praticiens des métiers de l’expertise comptable.

 

Ipesup : un acteur historique de la formation continue et de la prépa DSCG

Le Groupe Ipesup n’avait, lui, pas attendu l’émergence du droit individuel à la formation (DIF) ni du compte personnel de formation (CPF) pour assurer des formations continues de haut niveau. A travers son établissement spécialisé Ipesup Formation, le Groupe Ipesup a ainsi dispensé des formations pour des grands groupes comme Air France ou IBM dès les années 1980. La préparation du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion était créée dès les années 1990. Sous la direction de Michel ANQUETIL et avec le concours de professeurs de haut niveau (notamment M. Stephen ALMASEANU et M. Serge ZELYNSKY en gestion juridique, fiscale et sociale et M. Georges LEGROS en comptabilité et audit), Ipesup a ainsi formé pas moins de 25 promotions d’experts comptables vers l’obtention de leur diplôme et leur réussite professionnelle.

 

Ipesup Formation : un acteur sérieux certifié Qualiopi depuis 2021

Instituée par la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, la certification Qualiopi constitue une reconnaissance de qualité et de sérieux des organismes de formation. L’organisme certificateur s’assure de l’adéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement aux prestations mises en œuvre. Il vérifie la qualification et le développement des connaissances et compétences des personnels chargés de mettre en œuvre les prestations. Si cette certification est devenue obligatoire au 1er janvier 2022 pour bénéficier de fonds publics, c’est dès 2021 qu’Ipesup a obtenu le label Qualiopi.

 

La prépa DSCG d’Ipesup : trois formules de préparations éprouvées

Ipesup propose trois formules de préparation éprouvées, adaptées aux besoins de chacun :

  • la préparation annuelle permet aux étudiants de se préparer sur le temps long. Elle est ouverte à tous, mais particulièrement adaptée aux candidats qui travaillent déjà en cabinet d’expertise comptable ;
  • la préparation intensive d’été, en juillet/août, permet aux candidats de se préparer sur quelques semaines. Elle est particulièrement adaptée aux candidats récemment diplômés, qui cherchent à conclure leur cursus par un succès au DSCG dès le mois d’octobre suivant ;
  • le stage intensif « dernières révisions » avant les épreuves s’adresse tant aux étudiants désirant parfaire leur entraînement qu’aux salariés souhaitant réactiver leurs connaissances.

 

Les inscriptions sont ouvertes pour la préparation annuelle

  • Préparation annuelle UE4 : 44 heures de cours et examens du samedi 25 mars 2023 à début juillet 2023
  • Préparation annuelle UE 1 : 48 heures de cours et examens du samedi 1er avril 2023 à début juillet 2023
  • Les inscriptions sont ouvertes

>>> En savoir plus 



    10 raisons de suivre la prépa Journalisme d’Ipesup

    Les concours des Écoles de journalisme reconnues par la profession sont de plus en plus sélectifs. L’importance des Dossiers de candidature dans les processus de sélection, en plus des épreuves écrites et orales a renforcé la nécessité pour les candidats d’arriver bien préparés aux réalités du métier de journaliste aujourd’hui, au-delà des seules révisions d’actualité. La capacité du candidat à se projeter concrètement dans son futur métier, à se débarrasser de tout angélisme sur le métier de journaliste, mais également à exposer de manière rigoureuse et intelligente une pensée critique à l’écrit comme à l’oral se mesurent aujourd’hui avec encore plus d’acuité.

    Depuis plus de 25 ans, Ipesup propose une préparation aux concours des Grandes Ecoles de journalisme, soit sous forme de cycle annuel, soit sous forme de stages intensifs de vacances, avec dans tous les cas l’accès à la préparation aux oraux. Voici 10 raisons de suivre la préparation journalisme

    1. Une préparation professionnelle tournée depuis plus de 25 ans vers le métier de journaliste, créée et animée par Éric Duquesnoy, ancien élève de l’École normale supérieure et diplômé de l’IEP Paris, spécialiste de géopolitique et auteur de nombreux articles sur le sujet
    2. Un taux de réussite aux 14 écoles reconnues par la profession de 74%, bien au-dessus du taux de réussite national de 11%
    3. Des professeurs pour la plupart anciens élèves des Écoles de journalisme, très bien informés sur le métier lui-même et les épreuves proposées dans le cadre des concours
    4. Un encadrement personnalisé et un vrai dialogue avec les étudiants pour les aider à renforcer leur crédibilité professionnelle devant les jurys d’admission
    5. Une préparation efficace aux écoles reconnues par la profession et en particulier à celles du top-7 (top-9 en incluant notre préparation spécifique à l’oral d’admission au Master de journalisme de l’IEP Paris et également à l’EJ Toulouse)
    6. Une aide pour les étudiants qui n’ont pas encore fait de stage dans un média à en trouver un pour renforcer leur crédibilité face aux jurys des entretiens de motivation
    7. Une assistance pour les étudiants pour remplir leur dossier d’inscription, et rédiger leur CV et leur projet professionnel par échange de mails et par rendez-vous individuels
    8. NOUVEAU depuis 2023 : un cycle de conférences d’actualité sur les Grands Enjeux du monde contemporain animés par les meilleurs spécialistes des questions d’actualité économique, géopolitique et politique
    9. Des quiz d’actualité interactifs à chaque session suivis de séances d’analyse approfondies, complétées par des cours d’anglais, des cours et ateliers de rédaction
    10. Une prépa à taille humaine, accessible en présentiel, en « live » à distance et en replay avec une attention portée à chaque étudiant

     

    Rejoindre la prépa Journalisme d’Ipesup en 2023

    Nous proposons plusieurs formules de préparation : cycle annuel (de décembre à mai) ou stage intensif (stage de Février)On peut tout à fait rejoindre le cycle annuel de la prépa journalisme en cours d’année scolaire, en rattrapant les séances manquées sous forme de replays, ou bien en suivant notre stage intensif de Février 2023. Dans les deux cas, accédez au coaching personnalité d’Eric Duquesnoy et à la préparation aux oraux avec nos membres de jurys, journalistes, spécialistes des admissions dans les meilleures écoles de journalisme françaises.

     

    Témoignages de journalistes associés à la préparation d’IPESUP

    Les actualités Journalisme

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    Êtes-vous fait pour le journalisme ?

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    Le journalisme en France aujourd’hui

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    L’avenir du journalisme



  • 10 raisons de suivre la prépa Journalisme d'Ipesup
  • 5 raisons de suivre un stage de découverte de l’intelligence artificielle dès le Lycée

    L’intelligence artificielle est devenue un domaine de plus en plus important dans notre vie de tous les jours, avec des applications dans de nombreux secteurs, allant de la reconnaissance vocale à la conduite autonome en passant par la santé. Si vous êtes lycéen et que vous vous intéressez à l’IA, suivre un stage certifiant de découverte de l’IA peut être un moyen idéal de découvrir les fondements de cette technologie disruptive. Voici 5 raisons de suivre un stage de découverte de l’IA pour les lycéens qui s’intéressent aux technologies de demain et aspirent à intégrer les meilleurs formations scientifiques françaises.

     

    1. Acquérir des connaissances et des compétences précises en IA bien au-delà des savoirs généraux du lycée

    Une première raison de suivre un stage de découverte d’intelligence artificielle est de vous faire une idée plus concrète de l’intelligence artificielle aujourd’hui, au-delà des généralités qu’on peut lire dans la presse ou sur internet.

    Nos stages de découverte de l’IA sont animés par des spécialistes, issus du prestigieux master MVA (Mathématiques, Vision, Apprentissage) de l’école normale supérieure. Ils vous permettront d’acquérir des connaissances et des compétences précises en intelligence artificielle, allant bien au-delà des savoir-faire généraux du lycée comme par exemple les notions d’apprentissage automatique, de programmation, ou encore de traitement du langage naturel. Nos stages de découverte ont à la fois

      • une dimension culturelle (histoire de l’IA, enjeux éthiques et défis, métiers de l’IA)
      • une dimension mathématique (fondements de l’IA, outils mathématiques de l’IA)
      • et une dimension pratique (notions de programmation et programmation effective d’une IA)

     

    2. Affiner vos choix d’orientation entre différentes Ecoles d’ingénieurs postbac

    Suivre un stage de découverte de l’IA peut aussi vous aider à affiner un choix d’orientation entre différentes écoles d’ingénieurs post-bac.

    En tant que lycéen il est normal que vous puissiez hésiter entre différentes options de poursuite d’études, en particulier si vous vous intéressez aux écoles d’ingénieur post-bac. Or, contrairement aux écoles d’ingénieur post-classes préparatoires au caractère le plus souvent généraliste (ce qui permet de faire un choix en fonction des classements), les écoles d’ingénieurs post-bac ont souvent une coloration de spécialisation : l’ESTACA dans le transport, l’ECE dans l’électronique, l’ESILV dans les technologies du numérique…

    Un stage de découverte de l’IA peut vous aider à mieux comprendre ce que vous voulez étudier et à vous orienter vers les formations d’ingénieur qui correspondent le mieux à vos intérêts. Au contact de nos professeurs, eux-mêmes spécialistes de l’IA, chercheurs en mathématiques ou en neurosciences, vous pourrez vous faire une idée bien plus précise de ces métiers et des moyens d’y parvenir.

     

    3. Vous démarquer dans les candidatures aux formations scientifiques sélectives

    Une troisième raison de suivre un stage de découverte de l’intelligence artificielle est qu’il peut vous aider à vous démarquer dans les candidatures pour l’admission dans des formations sélectives scientifiques. Si vous êtes intéressé(e) par des écoles d’ingénieurs postbac, suivre un stage de découverte de l’IA peut vous aider à crédibiliser votre candidature. Les contacts réguliers que nous avons avec des directions et directions des admissions de Grandes Ecoles d’ingénieurs post-bac sélectives, comme l’ESILV par exemple, le démontrent : un candidat qui aura démontré (par la poursuite d’un stage et l’obtention d’une certification ad hoc) son intérêt marqué pour l’IA en amont pourra le faire valoir dans son dossier de candidature.

    Vous le savez, les stages d’Ipesup en intelligence artificielle sont effectués en partenariat avec l’IBM Academic Initiative. Nos élèves peuvent ainsi passer le badge certifiant « AI Foundations » à l’issue de leur formation. Ce badge peut d’ailleurs être valorisé directement dans Parcoursup : c’est une preuve tangible que vous avez pris l’initiative de vous initier à cette technologie en dehors de votre cursus scolaire et que vous êtes motivé à en apprendre davantage.

     

    4. Découvrir l’univers de la recherche fondamentale en IA

    Une raison moins évidente du stage, et pourtant très intéressante pour des lycéens, est qu’il permet de découvrir l’univers de la recherche fondamentale, et comment cette recherche fondamentale en mathématique nourrit aujourd’hui des projets d’intelligence artificielle. On parle souvent des applications de l’IA, mais les praticiens de l’IA sont avant tout des ingénieurs, et, pour nombre d’entre eux, des chercheurs. Or, on connaît très mal cette branche professionnelle lorsqu’on est au lycée.

    L’image d’Epinal du chercheur qui, tel Andrew Wiles dans sa quête de la démonstration du théorème de Fermat, mène des années durant des travaux solitaires et secrets et bien éloignée de la réalité du monde de la science d’aujourd’hui. On le voit à travers des initiatives nombreuses au coeur du système d’enseignement supérieur français : la recherche est devenue une affaire collective.

    Par exemple, Hi!Paris (émanation conjointe d’HEC et Polytechnique soutenant la recherche et l’enseignement en intelligence artificielle) organise des hackatons, des symposiums IA ou encore des Summer Schools dédiés aux étudiants de Master et de PhD en intelligence artificielle, où les étudiants et les chercheurs échangent sur les toutes dernières innovations en matière d’intelligence artificielle.

     

    5. Apprendre à programmer effectivement une IA !

    Un des objectifs de nos stages de découvertes de l’intelligence artificielle est de vous aider à apprendre à programmer effectivement une intelligence artificielle ! Il est aisé d’utiliser des outils déjà « tout faits » (Chat-GPT3 étant l’exemple le plus vulgarisé en ce moment dans les médias)… apprendre à programmer soi-même une IA est une toute autre histoire !

    Si cet objectif peut apparaître ambitieux, il n’est pas hors d’atteinte pour des lycéens dès lors qu’ils bénéficient de l’encadrement et du coaching de nos professeurs. En effet, s’il est indispensable d’acquérir des bases de programmation pour pouvoir coder une IA (ce que le stage apporte), de nombreux travaux de recherche exploitent des bibliothèques de codes déjà écrites qu’il s’agit d’assembler de faire fonctionner de manière intelligente. Les lycéens souhaitant aller plus loin pourront d’ailleurs poursuivre leur apprentissage pratique avec le stage d’application pratique (stage d’été).

     

    Stages Ipesup de découverte de l’intelligence artificielle

    Nous proposons plusieurs formules de préparation : stages de découverte certifiants (Toussaint, Noël ou Février), stage d’application pratique (stage d’été au mois d’août) ou cycle complet de deux stages permettant de combiner les deux stages qui précèdent de manière séquencée.



    Dates DEC 2023

    Les dates du DEC (diplôme d’expertise comptable) sont disponibles pour l’édition 2023 ! Comme chaque année, deux sessions sont organisées, l’une en mai et l’autre en novembre.

     

    Calendrier du DEC 2023 : deux sessions

    Dates DEC 2023 – Session de mai 2023

    Retrouvez ci-dessous les dates clés du DEC 2023 pour la session de mai 202.

    EvénementCalendrier DEC 2023 – session de mai 2023
    Ouverture des inscriptions au DECMardi 10 janvier 2023
    Fermeture des inscriptions au DECMardi 28 février 2023
    Epreuve de déontologieMercredi 10 mai 2023 (10h30-11h30)
    Epreuve de révisionMercredi 10 mai 2023 (14h00-18h30)
    OrauxDu 2 au 17 mai 2023
    Jury nationalJeudi 29 juin 2023
    Publication des résultatsVendredi 30 juin 2023

     

    Dates DEC 2023 – Session de novembre 2023

    Retrouvez ci-dessous les dates clés du DEC 2023 pour la session de novembre 2023

    EvénementCalendrier DEC 2023 – session de novembre 2023
    Ouverture des inscriptions au DECLundi 10 juillet 2023
    Fermeture des inscriptions au DECJeudi 31 août 2023
    Epreuve de déontologieMardi 14 novembre 2023 (10h30-11h30)
    Epreuve de révisionMardi 14 novembre 2023 (14h00-18h30)
    OrauxDu 13 novembre au 1er décembre 2023
    Jury nationalJeudi 11 janvier 2024
    Publication des résultatsVendredi 12 janvier 2024

    Retrouvez également ici le calendrier officiel du DEC pour l’édition 2023 avec l’ensemble des dates clés du DEC (y compris pour la VAE).

     

    Modalités d’inscription au DEC 2023

    Les candidat.e.s au DEC doivent créer un compte sur la plateforme nationale Inscritnet PRO. Les frais d’inscription s’élèvent à 50 € par épreuve. Les dossiers d’inscription au DEC doivent être envoyés par voie électronique. Les candidats recevront leur convocation quelques semaines avant le début des épreuves.

     

    Préparez le DEC avec les experts d’Ipesup

    Le DEC (diplôme d’expertise comptable) constitue la suite du DSCG. Il suppose notamment la rédaction et la soutenance d’un mémoire. Seule l’obtention de ce diplôme permet de se prévaloir du titre d’expert comptable aujourd’hui.

    Ipesup assure une préparation de haut niveau  du diplôme d’expertise comptable avec des professeurs experts-comptables reconnus (Sabrina Sabbah Pagès, Fabrice Heuvrard), parfaitement au fait de l’évolution du diplôme et des attentes du jury…



    L’expert-comptable aujourd’hui : un métier moderne en plein évolution

    Des compétences « classiques » aux soft skills

    Les compétences d’un expert comptable évoluent aujourd’hui des compétences traditionnelles vers les compétences douces, également appelées « soft skills » en anglais.

    Traditionnellement, on attendait d’un expert comptable d’être d’abord et avant tout un expert. Cela suppose des compétences classiques, comme par exemple :

    1. La mobilisation de connaissances précises et toujours plus actuelles en comptabilité et en fiscalité. Ici, point de changement : un expert comptable doit toujours avoir une solide connaissance des normes comptables et fiscales en vigueur, ainsi que des lois et réglementations qui les encadrent. On retrouve ici le contenu des unités d’enseignements « UE 1 » (Gestion juridique, fiscale et social) et « UE4 » (Comptabilité et audit) qui sont les unités d’enseignements les plus importantes du DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestion) préparé par l’IPESUP.
    2. Des qualités de rigueur et d’attention aux détails : le métier d’expert comptable implique de travailler avec des chiffres et des données précises et de savoir les traiter (ou retraiter) de manière parfaitement rigoureuse et conforme à la réglementation, sans erreur. La capacité à analyser et réduire des écarts est aussi une composante importante du métier.
    3. Un fort esprit d’analyse et de synthèse : les experts comptables doivent être capables de comprendre et de synthétiser rapidement de grandes quantités d’informations, afin de pouvoir prendre des décisions stratégiques et fournir des conseils pertinents.

     

    Ces compétences, pour essentielles qu’elles soient, ne suffisent plus dans un monde où l’expert-comptable n’est pas seulement un acteur technique, mais aussi un auditeur, un conseiller, un expert au coeur de l’entreprise.

    C’est pourquoi il doit aussi disposer de soft skills : excellentes compétences en communication, capacité à travailler en équipe… En effet, les experts comptables doivent souvent travailler en étroite collaboration avec des clients, des collègues et des partenaires de toute nature. Leur travail est de plus en plus collaboratif (qu’il s’agisse du travail en cabinet : saisie, supervision directe ou indirecte des opérateurs de saisie en lien avec l’entreprise, intégration fiscale de données de plusieurs entités). On attend d’un expert-comptable un très bon niveau de communication, dans la mesure o` il interagit au quotidien avec les dirigeants de l’entreprise.

    Ces « compétences douces » sont donc essentielles pour réussir dans le métier d’expert comptable aujourd’hui. Elles sont donc recherchées par les cabinets dès les candidatures : lettres de motivation, CV, et bien sûr lors de l’entretien de motivation. C’est pourquoi Ipesup, dans le cadre de sa préparation au DSCG, offre à tous ses étudiants un accompagnement individualisé dans la rédaction de ses candidatures par un coach professionnel, en plus de la formation théorique et pratique aux matières de l’examen.

     

    L’émergence de nouveaux domaines d’intervention : gestion des risques, conformité

    Les logiciels de comptabilité ont considérablement fait évoluer le métier d’expert-comptable en le rendant plus efficace et en lui permettant d’offrir des services de plus haute qualité aux entreprises. Auparavant, la tenue de la comptabilité et la préparation des déclarations fiscales étaient en effet des tâches fastidieuses et chronophages qui nécessitaient de nombreuses heures de travail manuel. Avec l’aide des logiciels de comptabilité, les experts-comptables peuvent désormais effectuer ces tâches de manière plus rapide et plus précise, leur permettant de consacrer plus de temps à des tâches plus stratégiques et à la prestation de conseil de qualité supérieure.

    Si, historiquement, un commissaire aux comptes était payé par l’entreprise pour certifier les comptes de la société, et ainsi être perçu comme un potentiel danger externe (le CAC va-t-il certifier ? quelle précision va-t-il exiger ? comment répondre à ses questions de manière défensive pour obtenir la conformité ?), il exerce sa mission de manière bien plus collaborative aujourd’hui.

    Par exemple, le commissaire aux comptes effectue des points avec les dirigeants pour faire progresser l’entreprise en matière de gestion des risques et de conformité. A intervalles réguliers, il interroge ainsi la société sur ses pratiques dans des domaines pouvant être relativement variés. Quelle protection de la société contre les tentatives de fraude ou les tentatives de hacking ? Quelles procédures RH pour assurer la conformité au droit et la protection des salariés ? Quels systèmes d’enregistrements des coûts et des charges pour faciliter la qualité de l’information comptable et financière et du fichier d’écritures comptables aux normes de l’administration ?

    Sans exercer nécessairement un rôle de conseil au sens des affaires, le commissaire aux comptes est aujourd’hui davantage un conseiller qu’un contrôleur en matière de réglementation et de gestion des risques. On perçoit bien ici pourquoi les soft skills sont si importants. Le métier évolue ; sa perception doit également évoluer auprès des entreprises.

    Des diplômes qui mènent à un métier attractif et moderne

    Trois diplômes sont aujourd’hui reconnus pour exercer des missions d’expertise en cabinet ou en entreprise :

    Le DCG (diplôme de comptabilité générale, niveau Licence 3) sanctionne un premier cycle de 3 ans d’études supérieures après le baccalauréat. Il n’est pas en soi suffisant pour intégrer un grand cabinet ou un « Big Four », mais il constitue un premier niveau intéressant.

    Le DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestion, niveau Master 2) anciennement dénommé Diplôme supérieur d’études comptables et financières (DESCF), constitue le diplôme principal. Il recouvre les matières indispensables à tous les étudiants qui se destinent à une carrière dans les domaines de la comptabilité, de la gestion de la finance et du droit.

    Le DEC (diplôme d’expertise comptable) constitue la suite du DSCG et suppose notamment la rédaction et la soutenance d’un mémoire. Seule l’obtention de ce diplôme permet de se prévaloir du titre d’expert comptable aujourd’hui.

    Ils mènent à un métier moderne, où se mêlent ainsi interactions sociales, compétences techniques, utilisation de logiciels modernes et technologiques (parfois en intelligence artificielle, voir nos stages intensifs de découverte de l’IA pour les lycéens), et la possibilité de construire une très belle carrière tant en cabinets que dans des grands groupes.

    Réussissez le DSCG grâce aux préparations d’Ipesup Expertise Comptable

    Ipesup propose trois formules de préparation éprouvées au DSCG, adaptées aux besoins de chacun, que l’on peut suivre au choix en présentiel ou à distance :

    • la préparation annuelle permet aux étudiants de se préparer sur le temps long. Elle est ouverte à tous, mais particulièrement adaptée aux candidats qui travaillent déjà en cabinet d’expertise comptable ;
    • la préparation intensive d’été, en juillet/août, permet aux candidats de se préparer sur quelques semaines. Elle est particulièrement adaptée aux candidats récemment diplômés, qui cherchent à conclure leur cursus par un succès au DSCG dès le mois d’octobre suivant ;
    • le stage intensif « dernières révisions » avant les épreuves s’adresse tant aux étudiants désirant parfaire leur entraînement qu’aux salariés souhaitant réactiver leurs connaissances.

    Les cours sont compatibles avec des stages en cabinet et sont dispensés par une équipe pédagogique « DSCG-chevronnée » de haut niveau qui saura accompagner nos élèves vers la réussite à l’examen.

    Préparez le DEC avec les meilleurs experts

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    Intégrer une Grande Ecole en AST en 2024

    Les admissions parallèles permettent aux étudiants issus d’un parcours universitaire, d’intégrer les Programmes « Grande École » des Business Schools françaises après un diplôme de niveau Bac +2 ou Bac +3. Les Grandes Écoles de commerce les plus prestigieuses (HEC, ESSEC, ESCP, EM Lyon, EDHEC, ainsi qu’AUDENCIA) ouvrent leurs portes à partir de la licence 3 – l’ESSEC étant la seule École à exiger un niveau Master I à l’entrée.

    Que faut-il retenir de l’évolution des concours d’admissions parallèles ces dernières années ?

     

    La suppression des épreuves écrites traditionnelles

    Depuis 2013, les Écoles ont progressivement supprimé leurs épreuves écrites traditionnelles pour ce recrutement. HEC et l’ESCP Europe ont notamment abandonné leur ancien concours commun qui comportait des épreuves écrites techniques et difficiles (droit, macro ou micro-économie, mathématiques de haut niveau),et des épreuves orales non moins académiques (humanités, triptyque, mathématiques…). L’EM Lyon (en 2015) et AUDENCIA (en 2021) ont suivi le mouvement en supprimant leurs épreuves littéraires (dissertation sur document, analyse de situation…).

    Jusqu’en 2019, les autres écoles de commerce, mutualisées dans les concours Passerelle et Tremplin, avaient conservé des épreuves écrites : QCM d’anglais, synthèse de textes/réflexion argumentée, analyse de textes comparés, test de culture générale « Arpège » et épreuves optionnelles). A la faveur du Covid, ces épreuves écrites, qui avaient le mérite de placer les candidats sur un même pied d’égalité quel que soit leur parcours antérieur et leurs résultats académiques, ont d’abord été suspendues. Elles ont été définitivement supprimées à partir de 2021.

     

    La standardisation des modes de sélection

    Qu’en est-il aujourd’hui ? La suppression des épreuves écrites dites « littéraires » était-elle la première étape d’un recrutement sur dossier, où de vagues éléments de motivation viendraient compléter l’étude des seuls bulletins universitaires ? Il n’en est rien. Car les épreuves écrites n’ont pas été supprimées, mais plutôt remplacées par des tests standardisés et l’analyse fine d’un dossier de candidature. Aujourd’hui, la sélection repose sur les 4 éléments suivants :

    • Un test d’aptitudes générales : le TAGE MAGE® (Bac + 3/4) ou le TAGE 2® (pour les Bac + 2)
    • Un test d’anglais reconnu à l’international : le TOEIC® (Test of English for International Communication), le TOEFL (Test of English as a Foreign Language), l’IELTS (International English Language Testing System) essentiellement
    • L’analyse du dossier universitaire (tous les bulletins de notes depuis le bac)
    • La rédaction d’un dossier dit de « motivation » comportant, généralement :
      • Une lettre de candidature exposant les motivations du candidat, son parcours antérieur et son projet professionnel
      • Un curriculum vitae selon les cas classique ou « projectif » (comment le candidat se voit-il dans 10 ans)
      • La réponse à des questions de réflexion, spécifiques à chaque École. Quelques exemples : « Qu’est-ce que le leadership pour vous ? Donner des exemples personnels » (HEC) ; « Illustrez, parmi les expériences que vous avez vécues, celles qui illustrent le mieux les valeurs qui vous caractérisent » (ESSEC) ou encore « Quelles expériences extra-scolaires vous ont marqué et pourquoi ? » (EDHEC).

     

    Les tests TAGE MAGE® et TAGE 2®

    D’inspiration américaine, cousin du GMAT®, le test TAGE MAGE® est devenu un passage obligé pour candidater dans les Business Schools françaises. Les meilleures écoles, dites du « top-5 » (HEC, ESSEC, ESCP, EDHEC et EM Lyon) l’exigent des candidats à Bac + 3/4 depuis plusieurs années. Mais les écoles classées juste en-dessous, comme SKEMA (Lille – Nice – Paris), AUDENCIA (à Nantes), Grenoble EM, ou encore TBS (Toulouse Business School) font également confiance à ce test.

    Le TAGE MAGE® est un test d’aptitudes générales que passent les étudiants de Licence 3 ou de Master. Il évalue les capacités des candidats dans trois dimensions : aptitudes calculatoires, aptitudes logiques et aptitudes verbales. 90 questions de QCM sont présentées aux candidats, sous forme de 6 sous-tests de 15 questions : compréhension de texte, calcul, conditions minimales, raisonnement & argumentation, expression et logique. Dans tous les sous-tests, le candidat doit répondre en moins d’1 min 20 aux questions qui lui sont poses. Des points négatifs pénalisent les réponses fausses. Ce test, qui ne suppose aucun prérequis scientifique, économique ni littéraire particulier, est difficile par sa forme. Il se prépare en quelques centaines d’heures de travail, pendant 6 à 9 mois.

    Le test TAGE 2® est une version simplifiée du TAGE MAGE®. Il s’adresse aux étudiants de niveau Bac + 2 (ou en passe de l’être), candidats aux concours d’admissions sur titres de niveau « 1 » (concours « AST 1 »), c’est-à-dire qui visent une intégration en 1ère année de Grande Ecole à l’issue d’un BTS (brevet de technicien supérieur), d’une licence 2 ou d’un DUT (diplôme universitaire de technologie). Les sous-tests les plus techniques du TAGE MAGE® (conditions minimales, raisonnement & argumentation) n’y sont pas présents. La partie verbale y est plus importante (43 % des questions) et le temps de résolution des questions ce calcul, elles-mêmes plus faciles, est porté à 3 minutes contre 1 minute 20 pour le TAGE MAGE®.

     

    Les concours Passerelle et Tremplin en pleine mutation

    Les concours ECRICOME Tremplin 1 (pour les Bac + 2) et ECRICOME Tremplin 2 (pour les Bac + 3/4) constituent le prolongement naturel, pour les candidats en admissions sur titres, des concours ECRICOME PREPA accessibles après une prépa ECG (école de commerce voie générale) et en prépa littéraire (Khâgne B/L). Ils donnent ainsi accès aux 5 mêmes écoles : NEOMA (issue de la fusion des ESC Reims et Rouen), KEDGE (Bordereaux Ecoles de Management + Euromed Marseille), Rennes School of Business, l’EM Strasbourg ou encore MBS (Montpellier Business School).

    Depuis 2021, les épreuves écrites spécifiques des concours Tremplin 1 et Tremplin 2 (analyse de textes comparés et/ou synthèse/réflexion argumentée + QCM d’anglais de grammaire et vocabulaire à points négatifs) ont été supprimées. Les modalités de sélection des élèves aux concours Tremplin 1 et Tremplin 2 ont été alignées avec les écoles du « top-5 », déjà décrites ci-dessus.

    La banque d’écoles Passerelle (car, peut-on encore parler d’un concours ?) fait exception car elle ne réclame le test d’anglais qu’à l’issue de l’admissibilité, et que l’analyse du dossier est strictement académique (pas de lettre de motivation ni CV). Pour cette première étape, les candidats devront produire un score à un test de sélection : TAGE MAGE® pour les Bac +3, TAGE 2® pour les Bac +2. Le concours Passerelle donne accès à des écoles de management moins bien classées que celles accessibles via le concours Tremplin.

     

    L’évolution des épreuves orales vers les « soft skills »

    Les Grandes Écoles de commerce ont toujours aimé recruter leurs élèves sur des entretiens de motivation. Mais, ces dernières années, la pratique et l’importance des « soft skills » dans le monde de l’entreprise ont conduit les écoles à en modifier largement les modalités.

    C’est ainsi qu’à Grenoble EM, le candidat devra effectuer une « interview inversée » d’un membre de jury pendant 10 minutes. A l’EDHEC, le candidat devra intégrer à sa présentation un mot tiré au hasard au dernier moment. Une phase d’entretien collectif sera également proposée où le candidat devra, à l’occasion d’un travail de groupe, démontrer ses qualités interpersonnelles. A l’EM Lyon, le candidat tirera quatre questions : personnalité, expérience, créativité et personnalité. On peut tomber sur des questions un peu déroutantes : « si vous étiez un poisson, qui seriez-vous et pourquoi ? », « après l’EM Lyon, serez-vous un expert critique ? », ou encore « il y a une pandémie dans le monde, quel rôle jouez-vous ? ». Inutile de multiplier à l’infini les exemples et contre-exemples : on l’aura compris, chaque école cherche à exprimer, à travers le format de ses épreuves d’admission, la spécificité de son recrutement.

    Les « Parisiennes » (HEC, l’ESSEC, l’ESCP) ont, elles, choisi de conserver des entretiens de motivation classiques. Notons toutefois que l’entretien d’admission d’HEC se déroule exclusivement en anglais y compris pour les francophones, illustration de l’internationalisation de la meilleure Business School d’Europe selon le classement du Financial Times.

    Aux épreuves d’entretien viennent s’ajouter, selon les écoles, une épreuve orale d’anglais et, plus rarement, une épreuve orale de LV2.

     

    Quel profil d’étudiant pour quelles Écoles ?

    La sélectivité des meilleures écoles ne doit pas être sous-estimée. La possibilité d’intégrer des Grandes Écoles aussi prestigieuses qu’HEC, l’ESSEC ou encore l’ESCP Europe sans passer par la prépa, couplée à la suppression des épreuves écrites, a pu conduire certains candidats à penser qu’intégrer ces écoles était devenu plus aisé.

    Or, s’il est vrai qu’une école comme AUDENCIA propose aujourd’hui 450 places en admissions sur titres, les trois « Parisiennes » n’ouvrent que 260 places en admissions sur titres, contre 1215 places via les concours prépa. A HEC, pour 16 candidats admis après une classe préparatoire, une seule place est ouverte pour les candidats universitaires par la voie des admissions sur titres françaises « classique » (c’est-à-dire hors « doubles diplômes » existant avec certaines institutions, comme par exemple Paris I en droit des affaires ou encore Sciences Po).

    Places ouvertesConcours PrépaAdmissions sur titres
    HEC40025
    ESSEC420155
    ESCP Europe39580
    emlyon540365
    EDHEC520210
    Total Top-52275835

    Il faut donc bien réfléchir à son orientation avant de renoncer à une classe préparatoire, car c’est encore celle-ci qui donne le plus de chances d’intégrer les toutes meilleures Écoles. Cela étant dit, un très bon candidat universitaire (autour de 14-15 de moyenne) se préparant sérieusement aux tests a des chances sérieuses d’admission. Si l’on opte pour cette voie, mieux vaut construire son dossier académique dès son entrée à l’université, pour viser une mention « Bien » voire « Très bien » dès l’année de L1.

    A contrario, un élève visant des écoles de bon niveau « juste en-dessous » du top-5 comme SKEMA, Grenoble EM, NEOMA ou encore AUDENCIA ont un intérêt bien compris à opter pour les admissions parallèles. Pour ces écoles, il n’est pas rare qu’un dossier « moyen », voire faible, puisse être compensé par (i) de bonnes notes aux tests de sélection et (ii) un projet professionnel solidement construit et argumenté.

    Places ouvertesConcours AST 1Concours AST 2
    SKEMA150350
    AUDENCIA80450
    GRENOBLE EM175210
    TBS80275
    ICN100150
    Tremplin9301540
    Passerelle695895
    Total21304525

     

    Conclusion : quelle stratégie pour les lycéens ?

    En conclusion, voici quelques conseils d’orientation que l’on pourrait donner à des lycéens qui envisagent d’intégrer une Grande École de Commerce par la voie des admissions parallèles :

    • Les élèves aux résultats inégaux, ou qui ont peu d’appétences pour les matières universitaires, pourront s’orienter vers les Écoles de Commerce Post- Bac ou le cas échéant vers un BTS ou un IUT, suivi d’une Admission parallèle à Bac +2 (concours Passerelle 1, Tremplin 1, SKEMA AST 1, TBS L3, GEM AST1).
    • Les élèves plutôt bons, qui expriment un intérêt pour les matières académiques (droit, économie/gestion, lettres, langues, sciences humaines…) et ne souhaitent pas s’imposer le rythme de la prépa pourront s’orienter vers l’Université, puis vers les Admissions sur titre à Bac +3/4 (concours HEC Admission parallèle, ESSEC AST, ESCP CAD, EM Lyon AST, AUDENCIA AST, EDHEC AST 2, GEM AST2, SKEMA AST 2 et Tremplin 2)

    Malgré l’essor apparent des admissions parallèles, les bons à très bons élèves ont tout intérêt à envisager les classes préparatoires ECG, qui outre la qualité de la formation qui y est dispensée, demeurent encore aujourd’hui la voie la plus sûre pour intégrer les toutes meilleures Grandes Écoles.

     

    Nos préparations aux admissions sur titres

    Ipesup propose des formations complètes aux concours d’admissions sur titres. Nos préparations, qui peuvent s’effectuer au choix en présentiel ou à distance,  incluent :

    • la préparation du Dossier de candidature (conférence, documents, coaching dédié avec un professionnel, atelier CV, outil CV interactif)
    • la préparation du TAGE MAGE® ou du TAGE 2® (cycle annuel, stages intensifs ou cycles mixtes + intranet et site d’entraînement TageMaster)
    • la préparation du TOEIC® pour les étudiants en exprimant le besoin (cycle annuel, stages ou préparation online)
    • la préparation des Entretiens et des oraux de langue (intranet, outils numériques innovants et stage intensif de préparation avec les jurys Ipesup)


    Annales DSCG

    Les annales du DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestion) vous permettront de vous entraîner sur des sujets tombés à l’examen.

     

    Annales DSCG 2021

    Retrouvez ci-dessous toutes les annales du DSCG pour l’édition 2021 pour les unités d’enseignement 1, 2, 3, 4, 5 et 8.

     

    Annales DSCG 2020

    Retrouvez ci-dessous toutes les annales du DSCG pour l’édition 2020 pour les unités d’enseignement 1, 2, 3, 4, 5 et 8.

     

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