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Agenda événements Ipesup 2025-2026

Découvrez ci-dessous les dates des prochains événements organisés par Ipesup :

Entrée gratuite, sous réserve d’une inscription en ligne, dans la limite des places disponibles.
Inscription en ligne en cliquant sur le nom de l’événement ci-dessus.


Vous avez également la possibilité de venir nous rencontrer, en présentiel, lors des salons suivants :

  • Samedi 27 septembre 2025 : Studyrama – Salon 1ère – Terminale (PARIS EVENT CENTER – HALL B)
  • Samedi 8 et dimanche 9 novembre 2025 : Studyrama – Salon Grandes Écoles (PARIS EVENT CENTER – HALL B)


En quoi se préparer au DSCG en 2026 constitue-t-il un tremplin vers une profession d’avenir entre IA, RSE et stratégie ? C’est à cette question que cet article se propose de répondre, en analysant les grandes mutations de l’expertise comptable aujourd’hui.

Le DSCG à l’ère de l’IA : de la conformité au conseil stratégique

“Expert-comptable ? Mais enfin, avec l’intelligence artificielle, ce métier va disparaître !” Ce refrain, entendu dans tous les salons d’orientation depuis l’émergence de ChatGPT, masque une réalité paradoxale. En 2026, l’expertise comptable traverse en fait la plus profonde mutation de son histoire — et c’est précisément cette transformation qui en fait l’un des secteurs les plus porteurs pour les jeunes diplômés. Loin de condamner la profession, la révolution numérique la propulse vers de nouveaux territoires d’expertise où les compétences du DSCG deviennent plus stratégiques que jamais.

L’émergence des outils d’intelligence artificielle dans la comptabilité illustre parfaitement ce que Joseph Schumpeter analysait comme la “destruction créatrice” : les tâches mécaniques disparaissent, mais des fonctions à plus haute valeur ajoutée émergent. Les cabinets l’ont bien compris : 89 % des experts-comptables interrogés par le CNOEC déclarent que l’IA libère du temps pour le conseil. Chez Mazars, les jeunes diplômés du DSCG sont désormais formés aux outils de data analytics dès leur prise de poste. Nous ne cherchons plus des comptables, mais des business advisors, résume Hervé Hélias, le président directeur général. Cette évolution se traduit par une reconnaissance professionnelle croissante et une diversification des missions vers le conseil stratégique.

 

Le DSCG et la CSRD : de la saisie comptable au reporting RSE / ESG

La directive du Parlement européen et du Conseil du 14 décembre 2022 dite CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), entrée en vigueur le 1er janvier 2024, vient elle aussi bouleverser le paysage professionnel. Dès aujourd’hui, plus de 50 000 entreprises européennes (les “grandes entreprises d’intérêt public”) dont 4000 entreprises françaises doivent publier des rapports extra-financiers certifiés en faisant appel à des professionnels formés aux enjeux ESG. Mais dès 2027, la CSRD s’appliquera à toutes les grandes entreprises remplissant au moins 2 des 3 critères suivants : (i) un bilan total de 25 millions d’euros ; (ii) un chiffre d’affaires net de 50 millions d’euros ; (iii) un nombre moyen de salariés employés au cours de l’exercice de 250. C’est un nouveau métier qui s’ouvre pour les diplômés du DSCG.

Or, précisément le DSCG intègre depuis 2025 un module obligatoire “Comptabilité durable et reporting ESG” de 40 heures. Les diplômés 2026 seront les premiers à maîtriser ces compétences dès leur sortie de formation. C’est, pour eux, un avantage concurrentiel considérable face à la pénurie de profils formés à ces enjeux à l’échelle nationale voire européenne.

Cette spécialisation s’inscrit dans ce que Max Weber théorisait comme la “rationalisation” des sociétés modernes : face à la complexification réglementaire, les entreprises ont besoin d’experts capables de traduire les obligations légales en stratégies opérationnelles. On pourrait presque dire qu’il y a, à travers toutes ces nouvelles obligations de reporting, une forme de “désenchantement” du développement durable. Ce dernier n’est plus seulement théorisé, pensé, aimé ou recherché pour ce qu’il est ; il est devenu technique, technicisé même. Son aspect politique et militant s’efface. Si des sociétés spécialisées délivrent des scores environnementaux aux produits (comme Yuka pour les produits alimentaires ou ClearFashion dans le domaine de l’affichage environnemental pour l’industrie textile), les rapports ESG doivent, eux, être publiés par les entreprises elles-mêmes.

Si l’évaluation du développement durable devient une affaire d’experts, alors l’expert-comptable est, pour ainsi dire, au cœur du réacteur.

 

L’expert-comptable aujourd’hui : de contrôleur à garant de la confiance dans l’économie de demain

A travers ces transformations qui ne sont pas seulement techniques, la profession d’expert-comptable retrouve sa dimension éthique fondamentale, un peu à l’image du commissaire aux comptes qui a vu ses missions évoluer vers le conseil, la prévention des risques et non seulement sur le contrôle stricto sensu. Comme l’analyse Hubert Joly dans The Heart of Business (2021), l’entreprise du XXIe siècle doit concilier performance économique et impact social. L’entreprise n’est plus seulement un lieu de création de valeur financière, mais un acteur de transformation positive de la société, écrit l’ancien PDG de Best Buy. Une entreprise moderne, c’est donc une entreprise au coeur de la cité, engagée, responsable, capable d’attirer les meilleurs talents par un environnement global soucieux de son ancrage dans une société qui progresse.

Cette mutation place l’expert-comptable au cœur d’un enjeu civilisationnel : garantir la sincérité des informations financières dans un monde où la confiance devient une ressource précieuse. Les scandales Wirecard, FTX, Worldcom, WeWork ou plus anciennement d’Enron rappellent l’importance cruciale de cette mission. L’expert-comptable devient ainsi le gardien de la “vertu entrepreneuriale”. Il ne se contente plus de certifier des comptes : il atteste de l’intégrité d’un modèle économique, de la sincérité d’une démarche RSE, de la réalité d’un impact social. Sa dimension éthique se concrétise à travers de nouvelles missions :

  • audit des dispositifs anti-corruption
  • certification des bilans carbone
  • validation des rapports d’impact social

L’expert-comptable participe ainsi à la construction de ce que l’économiste Muhammad Yunus appelle l'”économie sociale” (devenu aujourd’hui économie sociale et solidaire) : une économie où la création de valeur ne se mesure plus seulement en unité monétaire, mais en impact positif sur la société. On rejoint la thèse d’Hubert Joly. Qu’elle soit sociale, climatique, solidaire, cette vertu que l’on pensait réservée à des acteurs engagés (par exemple ceux du commerce équitable, comme Alter Eco), se diffuse en fait dans toute l’économie. A son échelle, l’expert-comptable d’aujourd’hui y contribue.

En 2026, préparer le DSCG ne relève donc plus du choix par défaut, mais d’une vocation pour une génération qui entend concilier excellence technique et utilité sociale. L’expertise comptable ne disparaît pas : elle se métamorphose en mission de confiance au service d’une économie plus éthique et transparente.

 

Le DSCG, filière d’excellence professionnalisante après des études de haut niveau

Faut-il choisir la filière traditionnelle DCG – DSCG ou plutôt suivre un Master CCA (Comptabilité-Contrôle-Audit) universitaire ? Vaut-il mieux obtenir un Master in Management (Programme Grande École) d’une Business School ou être diplômé du DSCG ? Cette opposition, longtemps structurante, perd de sa pertinence aujourd’hui. Les masters CCA de Dauphine, de la Sorbonne ou de Lyon affichent certes d’excellents taux d’insertion, mais leurs diplômés passent massivement… le DSCG en candidat libre ! Quant aux diplômés des Grandes Écoles de commerce issus des parcours Audit-Expertise, ils bénéficient de dispenses spécifiques d’épreuves du DSCG (hors UE 1 et UE 4) – c’est le cas en particulier de SKEMA et de NEOMA Business School. Leurs étudiants sont nombreux, d’ailleurs, à se préparer  à ces deux unités d’enseignement les plus techniques à l’Ipesup, car ils ont compris que l’examen conserve un niveau de technicité élevé en droit, en fiscalité, en comptabilité et en audit. Le DSCG n’est donc plus réservé aux titulaires du DCG.

Pourquoi cette convergence ?

D’une part, le DSCG reste le sésame indispensable pour accéder au stage d’expertise comptable, lui-même préalable au DEC. Nous l’évoquions déjà dans notre article sur la réforme de l’expertise comptable : le “verrou” du DSCG n’a pas sauté et avec la réforme 2024 du Conseil de l’Ordre, et aucune dispense n’est accordée aux masters universitaires : il faudra valider au moins une UE du DSCG pour accéder au stage de trois ans. Cette exigence pourrait apparaître corporatiste, mais elle répond en réalité, et c’est heureux, à une logique de compétences. Les entreprises valorisent la rigueur méthodologique reconnue du DSCG, particulièrement dans les domaines fiscaux et de consolidation où la précision technique reste irremplaçable.

D’autre part, le DSCG est un examen exigeant qui permet de monter en compétences sur des sujets techniques dans les grands cabinets de conseil et d’audit. Ces cabinets cherchent d’ailleurs souvent à former leurs propres équipes en ce sens. Le DSCG est donc à la fois un passage obligé pour devenir expert-comptable, mais aussi et surtout un diplôme de très grande valeur sur le marché du travail ; un accélérateur de carrière en somme.

 

L’expertise comptable : un ascenseur social en mouvement !

Enfin et au-delà de l’évolution de la profession, il est utile de dire un mot sur le sens de la filière DSCG elle-même comme modèle d’intégration et de méritocratie.

Dans une société française où la reproduction sociale bourdieusienne reste présente (sur le plan du capital culturel avec le prestige historique des classes préparatoires ; sur le plan du capital financier avec le développement des écoles post-bac payantes ou le développement de Bachelors à l’international accessibles seulement aux catégories socio-professionnelles supérieures) ; dans un monde où les épreuves écrites voient leur place s’atténuer (contrôle continu au lycée, place réduite des écrits personnels pour intégrer Sciences Po, ou encore disparition des épreuves écrites traditionnelles en admissions sur titres dans les Business Schools françaises), l’expertise comptable conserve son caractère méritocratique. 67 % des experts-comptables sont issus de familles sans lien avec la profession. Le DSCG est accessible à tous !

Cette dimension sociale n’est pas anecdotique. Comme l’analysait Raymond Boudon dans L’Inégalité des chances (1973), certaines professions échappent aux logiques de reproduction sociale. L’expertise comptable en fait partie : la technicité prime sur le capital social, le mérite sur les réseaux. Bien sûr, les filières plus traditionnelles tentent de corriger l’inégalité des chances par des procédés s’inspirant de près ou de loin de l’affirmative action (que l’on pense, par exemple, aux points de malus accordés aux cubes non boursiers à HEC, aux bourses pouvant être octroyées par le truchement des fondations, ou encore des convention Zones d’éducation prioritaire de Sciences Po). Le DSCG n’a pas besoin de recourir à ces faux-fuyants : il se veut méritocratique et égalitaire, voilà tout.

Or, comme nous l’évoquions déjà lors de notre précédent article sur la réforme de l’expertise comptable, l’offre d’emplois excède largement la demande. Les chiffres du CNOEC révèlent un déséquilibre structurel : la filière comptable emploie 170 000 salariés, mais ne diplôme que 4 000 nouveaux titulaires du DSCG par an. Préparer le DSCG, c’est aujourd’hui se tourner vers une profession en tension, facilitant l’obtention d’un emploi stable, bien rémunéré, avec une insertion sociale forte dans la société française. Les nouvelles missions dévolues aux futurs experts-comptables ne peuvent que contribuer à pérenniser encore cette filière d’excellence.

 

Préparer le DSCG avec l’Ipesup pour se donner les meilleures chances de succès

IPESUP, fort de son expertise dans la préparation aux diplômes les plus exigeants, accompagne depuis plus de vingt ans les candidats au DSCG avec des résultats exceptionnels. Nos professeurs, experts-comptables en exercice, membres de jurys et auteurs d’ouvrages de référence, assurent une préparation de très haut niveau.

Nos résultats parlent d’eux-mêmes :

  • UE 1 (Gestion juridique, fiscale et sociale) : 75 % de réussite IPESUP contre 28 % au niveau national
  • UE 4 (Comptabilité et audit) : 65 % de réussite IPESUP contre 25 % au niveau national

Nous proposons trois formules de préparation au DSCG adaptées à tous les profils :

  • Préparation annuelle (mars-septembre) pour une formation complète et progressive – examen 2026
  • Stage d’été intensif (juillet) pour une révision approfondie des points clés – examen 2026
  • Stages “Dernières révisions” (août-septembre) pour optimiser ses chances avant les épreuves – examen 2025 ou 2026

 



Guide des écoles de commerce post-bac : Concours ACCÈS & Concours SESAME

Vous êtes en Terminale et vous envisagez d’intégrer une école de commerce post-bac ? Deux concours majeurs s’offrent à vous : le concours ACCÈS et le concours SESAME. Pour vous accompagner dans cette étape décisive, Ipesup a conçu un Guide des Écoles de Commerce Post-Bac complet, pratique et stratégique.

 

Téléchargez gratuitement le Guide sur le site d’Ipesup et commencez à construire dès aujourd’hui votre avenir dans le monde du management et de l’entreprise.

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Un guide pour mieux comprendre les concours post-bac

Le concours ACCÈS (qui regroupe l’IÉSEG, l’ESDES et l’ESSCA) et le concours SESAME (qui donne accès à des établissements tels que l’EM Normandie, KEDGE BS, NEOMA ou l’ESSEC Global BBA) sont les deux voies principales pour intégrer une école de commerce dès l’obtention du bac.

Notre guide vous propose une présentation détaillée de chaque concours :

  • Les épreuves écrites et orales
  • Le calendrier des inscriptions et des examens
  • Les attentes spécifiques des jurys
  • Les coefficients et modalités d’admission

 

Des conseils pour choisir votre école de commerce

Le choix d’une école post-bac ne se résume pas à sa position dans les classements. Le Guide des Écoles de Commerce Post-Bac d’Ipesup vous aide à comparer les formations en fonction de :

  • Vos objectifs académiques et professionnels
  • Les spécialités proposées (commerce international, marketing, finance, etc.)
  • Les campus, doubles diplômes et possibilités de départ à l’étranger
  • Les admissions parallèles et les débouchés après le programme

 

Une stratégie de préparation gagnante

Réussir les concours ACCÈS et SESAME ne s’improvise pas. C’est pourquoi notre guide intègre :

 

Un outil indispensable pour réussir son orientation

Que vous soyez encore en réflexion ou déjà décidé à intégrer une école de commerce post-bac, le Guide Ipesup est l’outil qu’il vous faut pour :

 

Téléchargez gratuitement le Guide des Écoles de Commerce Post-Bac sur le site d’Ipesup et commencez à construire dès aujourd’hui votre avenir dans le monde du management et de l’entreprise.

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Intégrer Sciences Po en Master : 8 Écoles, 31 Masters 

L’Institut d’Etudes Politiques de Paris offre aux étudiants plusieurs voies d’admission en Master. La procédure française permet aux candidats titulaires ou en cours d’obtention de 180 crédits ECTS de déposer un dossier de candidature pour intégrer l’un des Masters de Sciences Po.

 

8 Écoles de Sciences Po, 31 Masters

L’Institut a structuré son cycle Master en 31 Masters différents, chacun d’eux étant chapeauté par une des 8 « Écoles » de Sciences Po. Des doubles diplômes et des Masters en un an complètent l’offre de formation en Master. On trouvera ci-dessous une brève présentation de chaque “École” de Sciences Po, et la liste des Masters (au sens classique du terme) proposés par chaque École.

     

    L’École de Droit

    L’École de Droit de Sciences Po a pour objectif la formation de juristes de très haut niveau susceptibles de s’adapter et de progresser dans un univers professionnel en évolution constante, en s’appuyant sur une communauté académique vivante et un réseau d’excellence international. Elle prépare aussi aux carrières juridiques et judiciaires : avocature, concours de la magistrature etc. Elle propose quatre Masters :

    • Master Carrières juridiques et judiciaires
    • Master Droit économique
    • Joint Master Droit et Finance – seul Master en 3 ans de l’Institut, partagé avec l’école du management et de l’impact
    • LLM in transnational arbitration & dispute settlement – Master en un an

     

    L’École d’affaires publiques

    L’École d’affaires publiques porte l’ambition qui est au cœur du projet de Sciences Po depuis cent cinquante ans : former les acteurs publics de demain, capables d’analyser les défis du monde contemporain et d’y apporter des solutions innovantes et éthiques. Elle propose deux Masters :

    • Master Affaires publiques
    • Master Affaires européennes

     

    L’École des affaires internationales (PSIA)

    Entièrement bilingue (anglais-français), l’École des affaires internationales (Paris School of International Affairs) propose une vaste palette de spécialisations professionnelles, à la fois thématiques et régionales, pour se préparer à toutes les carrières ayant trait à l’international : des organisations internationales aux ONG, des administrations aux think tanks en passant par les entreprises transnationales. La richesse de l’offre de l’École permet à la grande diversité des profils qui y étudient de devenir des acteurs clés des questions internationales majeures d’aujourd’hui et de demain.

    • Master International Security
    • Master International Governance and Diplomacy
    • International Economic Policy
    • International Development
    • Human Rights and Humanitarian Action
    • Environmental Policy
    • International Energy Transitions
    • Technology and Global Affairs (Dual Degree only)
    • Journalism and International Affairs (Joint Master avec l’école de journalisme)

     

    L’École du management et de l’impact

    Anciennement École du management “et de l’innovation”, l’École du management et de l’impact se donne pour mission de répondre aux défis complexes auxquels font face les entreprises : la transition environnementale qui amène à repenser leur place et leurs devoirs vis-à-vis de la société et de la planète ; la transformation numérique qui bouleverse l’activité économique ; la nécessaire compréhension des évolutions contemporaines (intelligence artificielle, régionalisation des chaînes de valeur etc.) Elle propose 7 Masters :

    • Master CMIC (Communication, Médias et Industries Créatives)
    • Master Finance et Stratégie
    • Master in International Business and Sustainability
    • Master Droit et Finance ; il s’agit du seul Master en 3 ans de l’Institut, partagé avec l’école de droit
    • Master Marketing : New Luxury et Art de vivre
    • Master RH et gouvernance durable
    • Joint Master Droit et Finance – seul Master en 3 ans de l’Institut, partagé avec l’école de Droit

     

    L’École de la recherche

    Au cœur de la création et de la diffusion des savoirs, l’École de la recherche compte parmi les huit Écoles professionnelles de Sciences Po. Sa spécificité est d’offrir non seulement des programmes de master mais aussi des programmes de doctorat qui forment les étudiants aux concepts, à l’analyse et aux méthodes de la recherche en sciences sociales. La formation est structurée autour des cinq grandes disciplines de Sciences Po : le droit, l’économie, l’histoire, la science politique et la sociologie. Outre ses programmes de doctorat, l’École propose ainsi 5 Masters :

    • Master droit
    • Master d’économie
    • Master histoire
    • Master science politique
    • Master sociologie

     

    L’École urbaine

    Aujourd’hui, les villes et les régions sont confrontées à d’importants défis engendrés par les trois changements significatifs en cours : les transitions écologiques, numériques et démographiques. L’École urbaine entend former des décideurs pour y répondre. Elle propose 3 Masters :

    • Master Stratégies Territoriales et Urbaines (STU)
    • Master Gouvernance urbaine, Politiques publiques et Urbanisme
    • Master Cycle d’urbanisme

     

    L’École de journalisme

    L’École de journalisme de Sciences Po est l’une des quatorze écoles reconnues par la profession. Ses programmes reposent sur l’approfondissement de savoirs académiques en sciences sociales sur les enjeux du monde de demain, et l’apprentissage pratique du métier de journaliste par l’intervention de professionnels des médias. Elle propose deux programmes de niveau Master :

    • Master Journalisme
    • Master Joint Journalisme et Affaires internationales ; ce Master est partagé entre l’école de journalisme et l’école de droit

    Un double diplôme en journalisme avec Columbia University est également proposé (programme très sélectif, réservé à 10 étudiants par an)

    A noter : si l’École de journalisme de Sciences Po retient votre intérêt, découvrez aussi la préparation aux Écoles de journalisme proposée par IPESUP.

     

    La Paris Climate School

    Sciences Po lance à la rentrée 2026 la Paris Climate School, la première école européenne à délivrer un diplôme en sciences humaines et sociales dédié à la transition écologique. À la rentrée 2026, une centaine d’étudiantes et étudiants seront sélectionnés pour intégrer la première promotion de la Paris Climate School et suivre un programme de master interdisciplinaire, entièrement dispensé en anglais, sur les transformations environnementales et la gestion des risques. Les premiers diplômes seront délivrés en 2028.

    • Master Ecological transition, risks, and governance

     

    Préparez votre admission à Sciences Po en Master avec IPESUP

    Préparation du Dossier de candidature en Master à Sciences Po

    Le Dossier de candidature de Sciences Po en Master comprend en particulier, une lettre de motivation de deux pages, et un CV. La lettre de motivation à l’entrée de Sciences Po est bien différente d’une lettre de motivation “classique” de type Grande École de commerce. Le candidat dispose de beaucoup de place pour démontrer ses capacités d’analyse et sa culture générale. Il concourt face à d’autres étudiants souvent solides et présentant un projet construit, connaissant parfaitement les arcanes de l’institut et capables de présenter leur parcours et leur projet de manière convaincante. Nous proposons :

    • des fascicules de préparation spécialisés (150 p. environ)
    • une conférence de méthodologie : “Comment intégrer Sciences Po en Master ?”
    • une conférence de rédaction : “La lettre de motivation à l’entrée à Sciences Po en Master”
    • plusieurs conférences de présentation des Masters de Sciences Po
    • trois RDV individuels avec un coach-relecteur dédié

     

    Préparation du TOEFL®

    La plupart des Masters de Sciences Po comprennent un pré-requis linguistique en anglais. Il s’agit d’atteindre un score minimum (souvent élevé) à une certification internationale. Le TOEFL® fait partie des tests admis pour la quasi-totalité des Masters. Nous proposons :

    • une plateforme pédagogique dédiée au TOEFL® : plus de 1500 questions, 10 tests blancs, 100 fiches de cours en adaptative learning
    • des stages intensifs de préparation au TOEFL® pendant les vacances scolaires, en particulier à la Toussaint
    • un cycle continu de préparation au TOEFL®

     

    Cycle de conférences “Sciences Po Master” sur les Grands Enjeux contemporains

    Destiné en premier lieu à vérifier l’adéquation entre le profil et la trajectoire du candidat, son projet professionnel, et la formation proposée par l’IEP, l’entretien d’admission de Sciences Po possède ses propres codes. Rite de passage, il permet au jury de juger votre compréhension de ce que d’aucuns appellent “l’esprit Sciences Po”, et de vérifier que votre culture générale (journalistique de bon niveau) vous permet d’appréhender les questions contemporaines de manière intelligente.

    Si l’on devait créer un rôle de président de l’Union européenne, faudrait-il le place à la tête de la Commission ou du Conseil ? Que pensez-vous des Bidenomics et du One Big Beautiful Bill Act de Donald Trump : vous semblent-ils inspirés plutôt du monétarisme ou du keynésianisme ? La censure partielle de la loi “Immigration” par le Conseil constitutionnel participe-t-elle à un gouvernement des juges, ou illustre-t-elle au contraire l’exigence démocratique française ? Autant de questions liées à l’actualité plus ou moins récente, sur lesquelles le candidat pourra déployer une argumentation convaincante, personnelle, nuancée et prendre position. Nous proposons un cycle de 6 conférences “Grands Enjeux” :

    • Les institutions françaises
    • A quoi sert l’Union européenne ?
    • Quelle politique économique face au risque de stagflation ?
    • Les médias et les pouvoirs en France
    • Géopolitique du Proche-Orient
    • La crise de la démocratie

     

    Préparation de l’Entretien d’admission de Sciences Po

    Nos admissibles sont invités à préparer l’entretien d’admission de Sciences Po avec nous. La préparation, de nature très “artisanale” (dans le bon sens du terme : haute couture…), s’effectue en petits groupes d’étudiants admissibles, encadrés par des professeurs-membres de jury très expérimentés et autorisés. Un ancien directeur de Master à Sciences Po, ancien directeur de la “PrépaConcours” de Sciences Po et administrateur du Sénat, dirige la préparation. Nous proposons :

    • un cours de méthodologie de l’entretien de Sciences Po
    • 2 entretiens blancs avec des membres de jury tous diplômés de Sciences Po, anciens membres de jury de l’Institut
    • la possibilité d’assister, tout au long d’un week-end dédié, aux simulations d’entretien de tous les autres admissibles

     



    Bien préparer son entrée en prépa PCSI : les essentiels pour démarrer sereinement

    La classe préparatoire PCSI (Physique, Chimie et Sciences de l’Ingénieur) est l’une des principales voies d’accès aux grandes écoles d’ingénieurs comme Polytechnique, CentraleSupélec, les Mines ou encore les ENS. Deuxième filière la plus demandée après MPSI, elle offre une formation scientifique complète et équilibrée entre Mathématiques, Physique, Chimie et Sciences de l’Ingénieur.

    Que vous soyez déjà inscrit en PCSI ou que vous envisagiez cette voie, voici tout ce qu’il faut savoir pour bien se préparer avant la rentrée.

     

    1. Ce qui vous attend en PCSI

    La prépa PCSI est exigeante. Elle demande beaucoup de rigueur et de travail personnel, mais elle vous permettra d’acquérir des bases solides pour les concours.

    Voici ce que vous découvrirez dès les premières semaines :

    • Un emploi du temps dense, avec 10h de Mathématiques, 8h de Physique, 4h de Chimie et 4h de Sciences de l’Ingénieur chaque semaine.
    • Des évaluations régulières : devoirs surveillés hebdomadaires, devoirs maison, colles orales… le rythme est intense, mais structurant.
    • Des cours approfondis en analyse, algèbre, probabilités, mécanique, thermodynamique, électromagnétisme, ondes…
    • Une spécialisation progressive : au second semestre, vous choisirez une dominante, soit en Chimie, soit en Sciences de l’Ingénieur, pour poursuivre en PSI ou en PC.

     

    Découvrez dès à présent les stages de pré-rentrée Maths Sup, par Optimal Sup-Spé Groupe Ipesup.

    Découvrir >

     

    2. Maîtriser le programme du lycée

    En arrivant en prépa, on considère que le programme de Terminale est entièrement acquis. Il n’y a pas de temps pour revenir sur des lacunes : tout s’enchaîne très vite.

    • Revoyez les fondamentaux, en particulier en Mathématiques et en Physique-Chimie.
    • Reprenez les démonstrations clés, les méthodes, les définitions, et assurez-vous de bien comprendre les raisonnements.
    • Un stage de prérentrée est un excellent moyen de faire un état des lieux de vos connaissances et d’anticiper les premiers chapitres de l’année.

     

    3. Maths expertes : un avantage, mais pas une obligation

    L’option Maths Expertes en Terminale est aujourd’hui presque incontournable pour intégrer une prépa scientifique. Si vous l’avez suivie, tant mieux ! Sinon, pas de panique, il suffit d’adapter votre préparation.

    • Avec Maths expertes : reprenez les grandes notions de l’année, consolidez vos acquis et commencez à explorer les premières notions du programme PCSI.
    • Sans Maths expertes : focalisez-vous sur la consolidation des bases, et essayez de vous familiariser avec quelques notions abordées par vos futurs camarades (comme l’arithmétique, les complexes ou les suites récurrentes).

     

    4. S’organiser pour travailler efficacement

    Réussir en prépa ne signifie pas simplement travailler beaucoup, mais surtout travailler intelligemment.

    • Construisez un planning de travail hebdomadaire dès la rentrée et tenez-vous-y.
    • Adaptez votre organisation en fonction des colles, des DS et de vos temps forts dans la semaine.
    • Ne négligez pas le cours : l’apprentissage rigoureux du cours est le socle indispensable pour aborder les exercices avec efficacité.
    • Soyez constant : mieux vaut travailler régulièrement que par à-coups.

     

    5. Préserver son énergie et son équilibre

    La prépa est un marathon. Pour durer, il faut aussi savoir préserver son corps et son mental :

    • Prévoyez chaque semaine des moments pour déconnecter, pratiquer un sport ou voir vos amis.
    • Dormez suffisamment : la fatigue est l’un des principaux facteurs d’échec ou de découragement.
    • Acceptez que tout ne soit pas parfait : la progression se fait dans le temps, avec des hauts et des bas.

     

    6. Lire les œuvres de Français-Philosophie

    Même si le concours de français-philo ne porte que sur le thème de deuxième année, vous devez lire et travailler les trois œuvres dès l’année de PCSI.

    • Profitez de l’été pour les lire attentivement.
    • Prenez des notes, relevez des citations, comprenez les grands axes autour du thème annuel : “Expériences de la nature”.
    • Vous gagnerez en aisance à l’écrit comme à l’oral, et vous anticiperez l’année suivante.

     

    Le bon plan > télécharger le livret de français en cliquant ici

     

    7. Travailler son anglais dès l’été

    En prépa, le niveau d’anglais attendu est élevé. Et l’anglais pèse dans les concours.

    • Habituez-vous à lire des articles ou regarder des vidéos en VO.
    • Enrichissez votre vocabulaire scientifique et général.
    • Entraînez-vous à la compréhension orale et écrite.

    Une bonne maîtrise de l’anglais vous évitera d’avoir à “rattraper” la matière en plus de toutes les autres.

     

    8. Se préparer avec Optimal Sup-Spé

    Pour aborder la rentrée en toute confiance, nos stages de prérentrée PCSI sont conçus pour répondre aux besoins des futurs élèves, qu’ils aient ou non suivi Maths expertes.

    Au programme :

    • Révisions ciblées des chapitres clés de Terminale.
    • Méthodologie spécifique à la prépa : apprendre à travailler, à raisonner, à organiser son temps.
    • Exercices types et approfondissements, dans l’esprit des futurs devoirs.
    • Encadrement exigeant et bienveillant par des enseignants de CPGE ou issus des grandes écoles (X, ENS, Mines, Centrale…).

    Objectif : arriver prêt, motivé et confiant pour réussir vos premières semaines.

     

    Pour résumer :

    • La PCSI est une filière complète, exigeante, mais accessible avec une bonne préparation.
    • Anticiper, réviser, organiser son travail et préserver son énergie sont les clés du succès.
    • Un stage de prérentrée permet de gagner du temps, de prendre de l’avance et de partir du bon pied.

     

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    A la rencontre des meilleures Grandes Ecoles de Commerce

    Le samedi 27 septembre 2025 à 14 heures, IPESUP organise en partenariat avec les meilleures Grandes Écoles de Management le Forum «Intégrer une Grande École de Commerce en Admissions Parallèles».

    Après un panorama des admissions parallèles, chaque École présentera les spécificités de son recrutement. Vous pourrez ensuite échanger directement avec les représentants de chaque École sur votre Dossier, votre projet professionnel.

    Infos pratiques

    Le Forum aura lieu dans les locaux de PRÉPASUP (Groupe IPESUP), 101 Boulevard Raspail, 75006 PARIS, le samedi 27 septembre 2025, dans la grande salle dite “cafétéria” au 1er étage (au niveau de l’accueil IPESUP).

    Le Forum se déroulera de 14h à 16h30 environ. Nous vous invitons à venir dès 14h afin de pouvoir assister à toutes les présentations.

    Réservez votre place dès à présent

    Les places sont limitées et il est obligatoire de s’inscrire pour participer. Pour réserver votre place à ce Forum, il vous suffit de remplir en quelques clics le (court) formulaire ci-dessous.



  • Forum Admissions Sur Titres le samedi 27 septembre 2025
  • Réussir son entrée en Prépa MPSI : nos conseils pour bien démarrer

    La Classe Préparatoire Scientifique – filière MPSI (Mathématiques, Physique et Sciences de l’Ingénieur) est la voie la plus demandée des CPGE Scientifiques. Très sélective, elle attire les meilleurs profils scientifiques et s’impose comme la filière la plus exigeante et la plus axée sur les Mathématiques en première année de prépa.

    Mais comment bien s’y préparer avant la rentrée ? Voici les points essentiels à anticiper pour réussir son entrée en MPSI.

     

    1. Comprendre ce qui vous attend en MPSI

    La Prépa MPSI impose un rythme de travail soutenu et une grande capacité d’adaptation. Voici ce qui vous attend dès les premières semaines :

    • Des horaires chargés : 12h de Mathématiques, 8h de Physique, sans compter les Sciences de l’Ingénieur, l’Informatique, le Français-Philosophie et les langues vivantes.
    • Des évaluations fréquentes : devoirs surveillés hebdomadaires, devoirs maison, colles (interrogations orales)… autant d’occasions de progresser, mais aussi de se confronter à ses limites.
    • Des contenus approfondis : analyse, algèbre, probabilités, mécanique, thermodynamique, électromagnétisme, ondes… Le programme va bien au-delà de celui du lycée.
    • Une initiation à l’algorithmique et à l’informatique, souvent nouvelle pour les élèves.

     

    Découvrez dès à présent les stages de pré-rentrée Maths Sup, par Optimal Sup-Spé Groupe Ipesup.

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    2. Consolider les bases du lycée

    L’un des pièges les plus fréquents à l’entrée en MPSI : croire qu’on pourra rattraper certaines lacunes plus tard. En réalité, le programme démarre sur les chapeaux de roue. Il est donc essentiel de :

    • Maîtriser parfaitement le programme de Terminale, notamment en Mathématiques et en Physique-Chimie.
    • Revoir régulièrement vos cours : formules, méthodes, théorèmes doivent être assimilés pour pouvoir passer rapidement à des exercices plus complexes.
    • Suivre un stage de prérentrée peut être un excellent moyen de repartir sur des bases solides, de se remettre dans le bain et de prendre de l’avance.

    Et si vous n’avez pas suivi l’option Maths Expertes ?

    • Pas de panique : focalisez-vous sur les fondamentaux et initiez-vous aux notions vues par vos camarades, en particulier en algèbre linéaire.
    • Si vous avez suivi cette option : reprenez les points clés et commencez à anticiper le programme de première année.

     

    3. Apprendre à travailler efficacement

    La quantité de travail à fournir en prépa est importante, mais la qualité d’organisation et la régularité sont les vraies clés de la réussite.

    • Établissez un planning réaliste, en tenant compte de votre colloscope (planning des colles) et des DS.
    • Commencez par bien apprendre votre cours avant de vous lancer dans les exercices : un bon cours bien maîtrisé vous fera gagner un temps précieux.
    • Soyez rigoureux, mais évitez de vous épuiser : travaillez avec constance, sans viser la perfection en tout.
    • Préservez votre énergie mentale : sommeil, pauses, activité physique… la prépa est une course d’endurance, pas un sprint.

     

    4. Ne pas négliger les matières littéraires

    Même en MPSI, le Français-Philosophie et les langues vivantes comptent ! Voici deux pistes à ne pas oublier pendant l’été :

    Lire les trois œuvres au programme de français

    Vous ne serez évalué sur ce thème qu’en deuxième année, mais il est important de :

    • Lire dès maintenant les trois œuvres.
    • Prendre des notes personnelles.
    • Relever les citations clés autour du thème annuel : “Expériences de la nature”.

     

    Le bon plan > télécharger le livret de français en cliquant ici

     

    Travailler son anglais

    Le niveau attendu est élevé, tant à l’écrit qu’à l’oral. Profitez de l’été pour :

    • Lire la presse anglophone (BBC, The Guardian…).
    • Écouter des podcasts ou regarder des séries en VO.
    • Réviser vos bases grammaticales et enrichir votre vocabulaire.

     

    5. Se préparer avec un stage de prérentrée MPSI

    Les stages de prérentrée proposés par Optimal Sup-Spé s’adressent aux élèves avec ou sans l’option Maths Expertes. Ils permettent de :

    • Revoir les notions fondamentales du lycée.
    • Approfondir les méthodes spécifiques à la prépa.
    • S’exercer sur des problèmes classiques et d’approfondissement.
    • Bénéficier de l’accompagnement de professeurs issus des meilleures écoles (Polytechnique, ENS, Centrale, Mines…).

    Objectif : aborder la rentrée avec confiance et méthode, pour prendre un bon départ dès les premières semaines.

     

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    En résumé

    • Une prépa MPSI se prépare sérieusement, dès l’été.
    • Travaillez vos fondamentaux, organisez-vous, et entrez dans la dynamique de la prépa.
    • Ne négligez pas les matières littéraires ni votre bien-être.
    • Et surtout : faites-vous accompagner par des professionnels pour maximiser vos chances de réussite.


    Sciences Po met fin aux idées reçues et donne sa vision du bon candidat

    IPESUP accompagne chaque élève avec les mêmes exigences !

     

    Extrait du rapport : “Le jury a parfois constaté une certaine confusion des candidats quant à la nature de cette épreuve et aux attentes de Sciences Po, ce qui implique de dissiper quelques idées fausses, parfois véhiculées par des formations privées.”

    Le Groupe Ipesup, leader des préparations au concours de Sciences Po depuis 1975, partage pleinement cette préoccupation exprimée par le jury d’admission. Conscient des confusions parfois entretenues autour de la nature réelle de l’oral et des attentes de Sciences Po, aujourd’hui amplifiées par les réseaux sociaux, Ipesup réaffirme ici son engagement à fournir une préparation rigoureuse, exigeante et fidèle à l’esprit de l’Institution. A travers notre analyse du rapport du jury 2025, notre objectif est d’éclairer les candidats, de dissiper les malentendus, et de rappeler que les prépas du groupe Ipesup sont reconnues pour leur sérieux pédagogique et leur ancrage institutionnel.

    Le rapport du jury d’admission 2025 est à lire ici

     

    Chiffres clés de l’admission 2025

    • 12 000 candidats via Parcoursup.
    • 3 150 candidats déclarés admissibles (taux d’admissibilité : 26,25% — Cela signifie qu’environ 1 candidat sur 4 passe l’analyse du dossier dans Parcoursup pour accéder à l’oral, mais qu’ensuite, plus de la moitié des admissibles sont éliminés après l’oral).
    • 1 246 admis (taux d’admis global : 10,38%) :
      • 829 par la voie générale (taux d’admis voie générale : ~10,3% des candidats, taux de transformation admissibles / admis voie générale : ~32%) — A noter : la voie générale reste la voie principale d’accès.
      • 176 par la voie CEP (réservée aux lycées partenaires en éducation prioritaire)
      • 241 pour les doubles diplômes
    • 1 973 lycées représentés ; +70 % des lycées généraux français ont au moins un candidat.
    • Taux de boursiers admis :
      • CEP : 26 % (+4 pts vs 2024)
      • Générale : 9,4 % (+0,1 pt)

     

    Profil des admis 2025

    • Voie générale :
      • 95,7 % avec mention Très Bien
      • 42,7 % avec Félicitations du jury
    • Voie CEP :
      • 21,3 % avec Félicitations du jury (+4,1 pts)
    • Doubles diplômes :
      • 50 % avec Félicitations du jury
      • Jusqu’à 80 % dans certaines formations

     

    Extrait du rapport : « Le but premier est de recruter des lycéens avec un excellent niveau scolaire. »

     

    Philosophie de l’admission

    • Pour rappel, la voie d’admission Parcoursup s’adresse :
      • aux lycéens qui préparent un baccalauréat général, technologique ou professionnel de l’enseignement secondaire français, en France ou à l’étranger ;
      • aux élèves préparant un BFI, un baccalauréat en section européenne ou orientale ;
      • aux élèves ayant obtenu un baccalauréat français en novembre ou décembre de l’année N-1 dans un établissement où l’année scolaire se termine en novembre ;
      • aux élèves issus des établissements partenaires de Sciences Po ayant signé une Convention éducation prioritaire (CEP) qui ont participé à l’atelier au sein de leur lycée.
      • Sélectivité assumée, fondée sur :
        • L’excellence académique : qui signifie que les candidats doivent présenter les meilleurs résultats, notamment à l’écrit du bac de français, autant que dans leur positionnement dans la classe. L’objectif est de garantir que les étudiants disposent de solides capacités d’analyse, de rédaction et de régularité, nécessaires pour réussir dans un environnement universitaire. L’entretien oral complète cette évaluation en testant motivation, esprit critique et curiosité intellectuelle, éléments clés dans les formations de Sciences Po.
        • La diversité sociale et territoriale : l’Institution veut permettre à des élèves venus de tous horizons sociaux et géographiques d’accéder à ses formations.
      • Égalité des chances renforcée :
        • Complément de bourse à 75 % de la bourse CROUS
        • Procédure CEP comme levier de diversité

       

      Déroulement de la procédure Parcoursup

      1. Étape « dossier scolaire » (écrit)

      • 2 volets à poids égal :
        • Note chiffrée : moyenne pondérée (écrit du bac français = 60 %)
      Extrait du rapport : « La partie fondée sur les résultats chiffrés permet de calculer une moyenne pondérée dans laquelle la note obtenue à l’épreuve anticipée du bac de français joue un rôle important. Cette épreuve écrite constitue en effet le seul étalon commun sur lequel les qualités des candidats peuvent être comparées (épreuve préparée et passée nationalement). Cette épreuve permet également de s’assurer que les étudiants à Sciences Po possèdent d’excellentes compétences rédactionnelles, qui constituent une condition sine qua non pour réussir dans les différentes formations proposées. »
        • Analyse qualitative du dossier (progression, régularité, attitude durant les cours en particulier) à partir des bulletins scolaires de première et de terminale, ainsi que de la fiche avenir transmise par l’établissement : elle a pour objet l’appréciation du niveau scolaire réel des candidats.
      • Points de vigilance relevés :
        • Appréciations trop élogieuses VS capacités réelles
        • Investissement inégal entre les disciplines (bulletin déséquilibré)

      2. Étape « entretien oral »

      • 3 150 admissibles convoqués via Zoom
      Extrait du rapport : « Un entretien oral qui se déroule à distance, via l’application Zoom. L’épreuve orale revêt, pour le jury, une importance déterminante, et joue un rôle de filtre dans la procédure d’admission. »

       

      Structure de l’oral (25 minutes)

      1. Présentation personnelle (2 min)
        Pas lue, claire, personnalisée (projet, campus, centres d’intérêt)
        ⚠️ A noter : le jury dispose des documents écrits du dossier (parmi lesquels la « motivation du projet », la version actuelle des anciens EPs, ou Ecrits Personnels)
        Analyse d’image (10 min)
        Choix parmi deux images → description soignée, analyse (5’) + échange avec le jury (5’)
        ⚠️ Attention aux contresens graves et à l’analyse hâtive !
      2. Discussion libre (10 min)
        Motivation, actualité, dossier Parcoursup, lectures, choix de campus

      Objectifs :

      • Évaluer la motivation, la curiosité intellectuelle, la réflexion
      • Tester la cohérence du projet personnel

        Analyse du rapport : idées fausses et clarifications

        Point crucial : l’oral ne consiste pas à “se vendre” par l’accumulation d’activités extrascolaires, mais à démontrer la maturité intellectuelle et l’adéquation avec le projet de Sciences Po.

        Extrait du rapport : « Il n’est aucunement nécessaire de citer un séminaire précis de deuxième année ou une association étudiante hébergée par Sciences Po pour être admis. »

        1. Les activités extrascolaires ne sont pas un critère en soi.

        Ces activités n’ont de réelle portée que lorsqu’elles s’inscrivent dans un parcours personnel cohérent et formateur. Ainsi, la création ou la direction d’une association – lorsqu’elle s’accompagne, par exemple, d’un témoignage éclairant sur les contraintes administratives liées à la gestion d’une structure loi 1901, ou d’une réflexion sur les démarches entreprises pour mobiliser des financeurs – peut illustrer un engagement structurant. À l’inverse, l’addition d’activités artistiques, sportives ou associatives sans lien clair avec le cheminement intellectuel du candidat « ne constitue pas un élément de notation ».

        2. L’absence d’activités extrascolaires n’est pas un handicap.

        Le jury reconnaît que certains candidats n’ont pas accès à ces activités, pour des raisons financières ou géographiques. Cela n’est en aucun cas pénalisant si le candidat fait preuve d’une motivation construite, sincère et intellectuellement solide pour le projet pluridisciplinaire de Sciences Po.

        3. Citer un cours ou une association de Sciences Po n’est pas une preuve de motivation.

        Le jury met en garde contre les candidats qui se contentent de citer le nom d’un cours, d’un séminaire ou d’une association de Sciences Po, pensant ainsi prouver leur motivation. Cela donne souvent lieu à des réponses mécaniques ou artificielles.

         

        Recommandations-clés du jury : ce que Sciences Po attend vraiment

        • Ne pas réciter un discours formaté

        Le rapport dénonce les discours artificiels ou récités. Ce qui est attendu, c’est un intérêt réel pour les grands enjeux contemporains et pour le projet pédagogique de Sciences Po, démontré par des lectures, des réflexions personnelles ou des sujets étudiés au lycée. La motivation ne se démontre pas par des mots-clés, mais par une réflexion personnelle sur le projet pédagogique de l’établissement.

        ✅ Un bon candidat saura expliquer pourquoi il s’intéresse aux enjeux pluridisciplinaires, en lien avec ses lectures, ses expériences ou son projet intellectuel.

        • Valoriser les engagements qui structurent un parcours

        Le rapport valorise les activités extrascolaires dès lors qu’elles traduisent un engagement profond, formateur, et non une simple accumulation. Créer une association, s’investir durablement dans un projet collectif, suivre un cursus sport-études ou musical intensif sont autant d’exemples d’engagements jugés significatifs lorsqu’ils révèlent discipline, responsabilité ou curiosité.

        ⚠️ À l’inverse, multiplier les activités sans cohérence, ou mentionner des rôles secondaires (délégué de classe, pratique occasionnelle d’un sport ou d’un art) ne constitue pas un élément de valorisation en soi.

        • Être rigoureux et précis, en particulier lors de l’analyse d’image

        L’analyse d’image ne requiert pas de connaissances historiques ou artistiques avancées. En revanche, elle exige de la méthode, de la précision, et une capacité à maîtriser un minimum de repères fondamentaux. Le jury a été particulièrement sévère face à des erreurs graves : affirmer que le débarquement de juin 1944 a eu lieu en Alsace, mal identifier la Croix de Lorraine en en faisant un symbole vichyste, ou ignorer des évidences liées à l’histoire d’un pays. Le jury est clair : aucun de ces candidats n’a été admis !

        ✅ Cette exigence témoigne d’une attente impérative : il doit y avoir adéquation entre le candidat et la formation fournie par Sciences Po.

        • Maîtriser parfaitement son propre dossier

        Le jury insiste : chaque élément mentionné dans la lettre de motivation, la fiche Parcoursup ou la présentation orale engage le candidat. Citer un intérêt pour le Moyen-Orient sans connaître la guerre en Syrie, évoquer un vœu pour un campus Europe-Afrique sans pouvoir nommer un conflit en cours dans le Sahel, ou parler finances publiques sans avoir lu dans la presse les chiffres du déficit publique de la France, sont autant d’incohérences très mal perçus.

        ✅ Le candidat doit pouvoir parler avec spontanéité et rigueur des sujets qui lui tiennent à cœur et qu’il a lui-même choisis d’exposer. Autrement dit, la profondeur prévaut sur la prétention.

        • Démontrer une culture générale vivante et personnelle

        Le jury attend une véritable curiosité pour les grands enjeux contemporains, qu’ils soient géopolitiques, économiques, sociaux, environnementaux ou culturels. Il s’agit d’une culture vivante, nourrie par des lectures, des débats, des questions personnelles, et non d’un empilement scolaire. Des moments « de grâce », comme les appelle le rapport, ont marqué l’oral : un candidat musicien capable d’expliquer les tensions entre tonalisme et atonalisme, ou, un autre, le lien entre Yves Saint Laurent et l’Algérie. Ces échanges profonds, « personnellement investis », sont justement ceux que Sciences Po recherche.

        ✅ Lire la presse, croiser les sources, creuser ses sujets de prédilection sont des réflexes indispensables dans la préparation.

        Ces exemples ne relèvent ni de l’étalage culturel, ni du simple savoir scolaire. Ils témoignent d’un regard singulier, d’un effort de compréhension approfondi, d’une intelligence personnelle du monde. Et c’est précisément cela que Sciences Po cherche à détecter : des esprits capables de « comprendre le monde pour mieux le changer » — selon la devise même de l’Institution.

         

        Une posture qui fait la différence

        Au-delà des connaissances et des engagements, le comportement et l’attitude du candidat pendant l’entretien ont un impact déterminant. Deux qualités ont été particulièrement saluées par le jury :

        • L’humilité intellectuelle.

        Le rapport insiste sur l’importance d’une posture modeste et nuancée. Les candidats qui évitent les jugements catégoriques, qui savent reconnaître les limites de leur savoir ou nuancer une réponse, font preuve d’une maturité bienvenue pour étudier à Sciences Po.

        • L’écoute active.

        Autre point fondamental : la capacité à tenir compte des indications données par les membres du jury. Les évaluateurs ont fortement apprécié les candidats capables de rebondir intelligemment à une question, de reformuler, ou de corriger une imprécision.

         

        La méthode Ipesup : rigueur, cohérence, exigence

        Dans un contexte de réforme profonde du concours 2025 de Sciences Po Paris, Ipesup reste fidèle à une méthode résolument éloignée des approches trop commerciales, désincarnées ou surjouées qui prolifèrent désormais.

        Loin des recettes toutes faites, notre pédagogie place l’exigence académique, la rigueur intellectuelle et l’intégrité du projet personnel au cœur de la préparation.

        ✅ Une approche en phase avec les attentes du jury

        Ipesup se distingue par une préparation alignée avec les valeurs de Sciences Po, en écho direct avec les recommandations du rapport 2025 :

        1. Une préparation rigoureuse et contextualisée

        Nous adaptons notre programme à la réalité de la réforme : nouvelles pondérations (oral/dossier), clarification des attentes, et travail renforcé sur la cohérence du projet présenté. Cela suppose un accompagnement attentif à la bonne articulation entre parcours, engagements et projet, ainsi qu’à la maîtrise des repères culturels mobilisés, afin d’éviter les erreurs fréquemment pointées par les jurys.

        2. Un entraînement à l’oral réaliste et progressif

        Grâce à 4 oraux blancs débriefés et à une préparation individualisée, nos élèves construisent une parole authentique, solide et personnelle, loin des discours formatés ou artificiels.

        3. Des écrits de personnalité et de motivation encadrés mais non standardisés

        Ateliers, réécriture, retours personnalisés : chaque candidat apprend à formuler sa motivation et ses engagements avec clarté et sincérité, en lien avec son dossier.

        4. Un socle de culture générale premium

        Avec un cycle d’une trentaine d’heures de conférences, animées par des hauts fonctionnaires et professionnels en activité, et des revues d’actualité régulières, Ipesup développe une culture générale solide et vivante. Nos élèves y affûtent leur curiosité intellectuelle en économie, géopolitique, sociologie, diplomatie ou encore institutions politiques nationales et européennes. Objectif : leur permettre d’analyser les grands enjeux contemporains avec précision, profondeur et esprit critique, en parfaite cohérence avec les attendus du jury de Sciences Po.

        5. Un développement des soft skills basé sur l’humilité

        L’aisance à l’oral ne suffit pas : Ipesup prépare les candidats à écouter, nuancer, dialoguer, qualités expressément valorisées par Sciences Po. L’attitude modeste et l’attention aux remarques du jury sont travaillées dès la pré-rentrée.

         

        Notre signature

        • 85,1% de taux de transformation à l’oral : Entraînement intensif aux oraux d’admission
        • Optimisation du dossier scolaire : Programme « Libris » en Première : pour préparer le Bac de français chez vous entre les cours !
        • Développement de la culture générale : La préparation entend également initier les élèves à l’esprit académique de Sciences Po au travers de conférences confiées à des professionnels sur les grands enjeux de notre temps.
        • Rencontres avec des anciens : Nos élèves sont admis dans tous les campus et tous les programmes.
        • Accès à des ressources et à des supports exclusifs : Accès à notre compte Instagram « les Clefs du 27 », la revue d’actualités d’Ipesup.

         



        Lycée Ipesup – À 15 ans, Aloïse décroche son bac et intègre le Bachelor de Polytechnique


        La jeune fille qui est scolarisée à Paris a sauté trois classes. Découvrez son parcours hors du commun.

        Tandis que des milliers de lycéens découvrent aujourd’hui leurs résultats du bac 2025, certains jeunes sortent du lot. C’est le cas d’Aloïse, qui, à seulement 15 ans, vient de réussir son bac avec mention «très bien»… après avoir sauté trois classes. «J’ai sauté la moyenne section, le CM1, puis la 4e», raconte Aloïse. La jeune fille est passée par le lycée français international de Hong Kong, où elle déménage avec ses parents en 2018, à l’âge de 8 ans. L’établissement accueille des élèves de l’âge de 3 à 18 ans. Aloïse y a passé tout son collège, avant de finalement revenir en France pour le lycée.

        «Étudier à Hong Kong, ça m’a beaucoup apporté. J’étais dans un environnement international, je parlais beaucoup anglais. Cette expérience était pour moi un apport humain, social, ça m’a donné une nouvelle vision du monde. Et c’est valorisant pour le CV aussi !». Aloïse et ses parents retournent ensuite en France pour son lycée. «Ils voulaient que je fasse mon lycée ici car les enseignements français sont bons. J’ai donc intégré le Lycée Ipesup en seconde», raconte-t-elle. Cet établissement privé hors-contrat qui dispose également de classes préparatoires, accueille des élèves dans des classes à petits effectifs.

        En ce jour de résultats, bravo également à nos élèves de Terminale du Lycée Ipesup : ils ont tous obtenu leur Bac avec mention !
        Découvrir le Lycée Ipesup >

         

        « J’ai toujours côtoyé des personnes plus âgées que moi et ça ne m’a jamais dérangé »

        Si Aloïse a toujours eu beaucoup d’années d’avance, elle n’a pas beaucoup ressenti un écart avec les autres élèves. «J’ai toujours côtoyé des personnes plus âgées que moi et ça ne m’a jamais dérangé. Certes, ça se ressent parfois un peu, mais je préfère le challenge plutôt que de rester dans la même classe et de m’ennuyer», explique-t-elle. Comme pour tous les élèves, le bac commence en classe de première pour la jeune fille, avec les épreuves de français. «Ce n’est pas ma matière de prédilection, je suis plus scientifique. Mais j’ai réussi à avoir 15 à l’écrit et 18 à l’oral».

        Elle raconte également que le lycée Ipesup lui a permis de bien s’y préparer, ce qui lui a permis d’arriver «moins stressée aux épreuves que d’autres candidats».

        Pour ce qui est des résultats du bac, Aloïse racontait la veille qu’elle était «très confiante». À raison, les notes sont tombées à midi dans l’académie de Paris : 18 en philo, 18 au grand oral, 18 en maths, et 19 en physique-chimie ! Mais le bac ne représente pas une finalité en soi, pour la jeune fille. Elle explique : «Je n’ai pas fait ma scolarité dans le but d’avoir ce diplôme, mais pour avoir de bons résultats. C’est une épreuve obligatoire à passer, mais ça n’a pas motivé toutes mes décisions». Pour autant, Aloïse a pris le bac très au sérieux. «J’ai toujours la boule au ventre avant de passer des examens importants. Mais je veux juste obtenir de bons résultats pour moi-même, pour me dire que tout mon travail vaut quelque chose».

         

        Elle est aussi admise en prépa au lycée Henri IV

        Au sujet de ses années d’avance, Aloïse est catégorique, cela est dû à son mérite et son travail acharné : «Aujourd’hui, on dirait peut-être que je suis HPI mais pour moi, ça veut tout et rien dire. Je ne sais pas si j’ai un avantage biologique, mais j’ai beaucoup travaillé pour en arriver là». Elle insiste donc sur le fait de ne pas vouloir être catégorisée. «Il ne faut pas croire que ceux qui ont de l’avance sont des différents. Je suis très sociable et je ne veux pas être stigmatisée. On me demande parfois si j’ai été diagnostiquée, ça reviendrait à dire que c’est une maladie. Je comprends que certains en aient besoin, mais dans mon cas, ça ne me servirait pas à grand-chose».

        Après le bac, cap sur le supérieur pour Aloïse. Sur Parcoursup, elle a postulé à des prépas scientifiques, avant de finalement choisir le bachelor de Polytechnique, qu’elle intégrera donc à la rentrée. Elle explique avoir été admise dans les meilleures prépas parisiennes, comme Louis-le-Grand et Henri IV. «Mon admission n’est pas due à mon dossier scolaire, mais à mes engagements personnels. Pour viser les meilleures prépas, il faut avoir des activités à côté. Personnellement, j’ai participé aux Olympiades Françaises d’Informatique et j’ai suivi des cours avec France-IOI, qui propose des contenus pour s’entraîner en informatique».

        Alors qu’elle comptait intégrer une prépa, elle explique son choix d’intégrer le bachelor de Polytechnique, qu’elle a accepté il y a seulement deux jours. «Mes parents ont tous les deux fait une prépa, c’était mon premier choix. Mais par la suite, plus j’ai discuté avec des gens du bachelor, plus j’ai été tentée. La prépa est une très bonne filière, mais j’ai compris que ce n’était plus la meilleure voie pour décrocher un bon travail plus tard». Ce qui l’a donc attiré dans le bachelor, c’est la diversité de cette formation. «On peut faire du sport, des projets de recherche, il y a de l’économie… Et Polytechnique a des accords avec des universités internationales». Aloïse a pour but de s’orienter vers le domaine de la biotech par la suite. «Certains diront que ce n’est pas le vrai Polytechnique. Moi, je ne vais pas là-bas pour la marque de l’école, mais pour la diversité de la formation et ce qu’elle pourra m’apporter pour le futur», conclut-elle.



        Résultats Baccalauréat 2025

        Ce vendredi 4 juillet 2025, les résultats du Baccalauréat seront dévoilés dans tous les lycées de France, marquant la fin d’un cycle et le début d’une nouvelle aventure pour des centaines de milliers de lycéens. Toute l’équipe du Lycée Ipesup adresse ses plus chaleureuses félicitations aux nouveaux bacheliers !

         

        Calendrier de publication des résultats du Baccalauréat 2025

        L’horaire de publication des résultats du Baccalauréat 2025 varie selon les académies.

        • Aix-Marseille : 4 juillet à 13h00
        • Amiens : 4 juillet 12h30
        • Besançon : 4 juillet à 12h30
        • Bordeaux : 4 juillet à 11h30
        • Clermont-Ferrand : 4 juillet à 13h00
        • Corse : 4 juillet à 13h00
        • Créteil : 4 juillet à 12h00
        • Dijon : 4 juillet à 12h30
        • Grenoble : 4 juillet à 13h00
        • Guadeloupe : 4 juillet à 15h00
        • Guyane : 4 juillet à 15h00
        • La Réunion : 4 juillet à 07h00
        • Lille : 4 juillet à 12h30
        • Limoges : 4 juillet à 11h30
        • Lyon : 4 juillet à 13h00
        • Martinique : 4 juillet à 15h00
        • Mayotte : 3 juillet à 08h00
        • Montpellier : 4 juillet à 13h00
        • Nancy-Metz : 4 juillet à 12h30
        • Nantes : 4 juillet à 11h30
        • Nice : 4 juillet à 13h00
        • Normandie : 4 juillet à 11h30
        • Orléans-Tours : 4 juillet à 12h00
        • Paris : 4 juillet à 12h00
        • Poitiers : 4 juillet à 11h30
        • Reims : 4 juillet à 12h30
        • Rennes : 4 juillet à 11h30
        • Strasbourg : 4 juillet à 12h30
        • Toulouse : 4 juillet à 13h00
        • Versailles : 4 juillet à 12h00

        Découvrir ses résultats en cliquant ici.

         

        Une pensée particulière pour nos élèves de Terminale du Lycée Ipesup pour l’annonce de leurs résultats du Baccalauréat 2025 !

        Si vous souhaitez découvrir le Lycée Ipesup, cliquez sur le bouton ci-dessous.

        Lycée Ipesup >

         

        Et après le Bac ?

        Pour beaucoup, l’heure est désormais à la préparation des études supérieures : classes préparatoires, universités, écoles post-bac, formations sélectives… Chaque parcours est unique, et il est essentiel de faire des choix éclairés.

         

        Ipesup reste à vos côtés tout l’été

        Chez Ipesup, nous savons combien l’entrée dans l’enseignement supérieur constitue un moment clé. C’est pourquoi nous accompagnons chaque année de nombreux élèves dans cette transition, via :

        • des stages de pré-rentrée pour prendre une longueur d’avance,
        • des modules de méthodologie pour bien commencer en prépa, en licence ou en école,
        • un accompagnement individualisé à l’orientation,
        • des prépas aux concours d’entrée dans les écoles les plus sélectives.

        L’été est aussi une période stratégique pour se préparer sereinement à la rentrée. Que vous entriez en classe préparatoire, en première année d’études supérieures, ou que vous souhaitiez simplement renforcer vos acquis, nos équipes pédagogiques restent mobilisées pour vous proposer des formations exigeantes et sur-mesure.

        Pour découvrir nos formules de préparation pendant l’été et à l’approche de la rentrée 2025 :