L’expert-comptable aujourd’hui : un métier moderne en plein évolution

Des compétences « classiques » aux soft skills

Les compétences d’un expert comptable évoluent aujourd’hui des compétences traditionnelles vers les compétences douces, également appelées « soft skills » en anglais.

Traditionnellement, on attendait d’un expert comptable d’être d’abord et avant tout un expert. Cela suppose des compétences classiques, comme par exemple :

  1. La mobilisation de connaissances précises et toujours plus actuelles en comptabilité et en fiscalité. Ici, point de changement : un expert comptable doit toujours avoir une solide connaissance des normes comptables et fiscales en vigueur, ainsi que des lois et réglementations qui les encadrent. On retrouve ici le contenu des unités d’enseignements « UE 1 » (Gestion juridique, fiscale et social) et « UE4 » (Comptabilité et audit) qui sont les unités d’enseignements les plus importantes du DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestion) préparé par l’IPESUP.
  2. Des qualités de rigueur et d’attention aux détails : le métier d’expert comptable implique de travailler avec des chiffres et des données précises et de savoir les traiter (ou retraiter) de manière parfaitement rigoureuse et conforme à la réglementation, sans erreur. La capacité à analyser et réduire des écarts est aussi une composante importante du métier.
  3. Un fort esprit d’analyse et de synthèse : les experts comptables doivent être capables de comprendre et de synthétiser rapidement de grandes quantités d’informations, afin de pouvoir prendre des décisions stratégiques et fournir des conseils pertinents.

 

Ces compétences, pour essentielles qu’elles soient, ne suffisent plus dans un monde où l’expert-comptable n’est pas seulement un acteur technique, mais aussi un auditeur, un conseiller, un expert au coeur de l’entreprise.

C’est pourquoi il doit aussi disposer de soft skills : excellentes compétences en communication, capacité à travailler en équipe… En effet, les experts comptables doivent souvent travailler en étroite collaboration avec des clients, des collègues et des partenaires de toute nature. Leur travail est de plus en plus collaboratif (qu’il s’agisse du travail en cabinet : saisie, supervision directe ou indirecte des opérateurs de saisie en lien avec l’entreprise, intégration fiscale de données de plusieurs entités). On attend d’un expert-comptable un très bon niveau de communication, dans la mesure o` il interagit au quotidien avec les dirigeants de l’entreprise.

Ces « compétences douces » sont donc essentielles pour réussir dans le métier d’expert comptable aujourd’hui. Elles sont donc recherchées par les cabinets dès les candidatures : lettres de motivation, CV, et bien sûr lors de l’entretien de motivation. C’est pourquoi Ipesup, dans le cadre de sa préparation au DSCG, offre à tous ses étudiants un accompagnement individualisé dans la rédaction de ses candidatures par un coach professionnel, en plus de la formation théorique et pratique aux matières de l’examen.

 

L’émergence de nouveaux domaines d’intervention : gestion des risques, conformité

Les logiciels de comptabilité ont considérablement fait évoluer le métier d’expert-comptable en le rendant plus efficace et en lui permettant d’offrir des services de plus haute qualité aux entreprises. Auparavant, la tenue de la comptabilité et la préparation des déclarations fiscales étaient en effet des tâches fastidieuses et chronophages qui nécessitaient de nombreuses heures de travail manuel. Avec l’aide des logiciels de comptabilité, les experts-comptables peuvent désormais effectuer ces tâches de manière plus rapide et plus précise, leur permettant de consacrer plus de temps à des tâches plus stratégiques et à la prestation de conseil de qualité supérieure.

Si, historiquement, un commissaire aux comptes était payé par l’entreprise pour certifier les comptes de la société, et ainsi être perçu comme un potentiel danger externe (le CAC va-t-il certifier ? quelle précision va-t-il exiger ? comment répondre à ses questions de manière défensive pour obtenir la conformité ?), il exerce sa mission de manière bien plus collaborative aujourd’hui.

Par exemple, le commissaire aux comptes effectue des points avec les dirigeants pour faire progresser l’entreprise en matière de gestion des risques et de conformité. A intervalles réguliers, il interroge ainsi la société sur ses pratiques dans des domaines pouvant être relativement variés. Quelle protection de la société contre les tentatives de fraude ou les tentatives de hacking ? Quelles procédures RH pour assurer la conformité au droit et la protection des salariés ? Quels systèmes d’enregistrements des coûts et des charges pour faciliter la qualité de l’information comptable et financière et du fichier d’écritures comptables aux normes de l’administration ?

Sans exercer nécessairement un rôle de conseil au sens des affaires, le commissaire aux comptes est aujourd’hui davantage un conseiller qu’un contrôleur en matière de réglementation et de gestion des risques. On perçoit bien ici pourquoi les soft skills sont si importants. Le métier évolue ; sa perception doit également évoluer auprès des entreprises.

Des diplômes qui mènent à un métier attractif et moderne

Trois diplômes sont aujourd’hui reconnus pour exercer des missions d’expertise en cabinet ou en entreprise :

Le DCG (diplôme de comptabilité générale, niveau Licence 3) sanctionne un premier cycle de 3 ans d’études supérieures après le baccalauréat. Il n’est pas en soi suffisant pour intégrer un grand cabinet ou un « Big Four », mais il constitue un premier niveau intéressant.

Le DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestion, niveau Master 2) anciennement dénommé Diplôme supérieur d’études comptables et financières (DESCF), constitue le diplôme principal. Il recouvre les matières indispensables à tous les étudiants qui se destinent à une carrière dans les domaines de la comptabilité, de la gestion de la finance et du droit.

Le DEC (diplôme d’expertise comptable) constitue la suite du DSCG et suppose notamment la rédaction et la soutenance d’un mémoire. Seule l’obtention de ce diplôme permet de se prévaloir du titre d’expert comptable aujourd’hui.

Ils mènent à un métier moderne, où se mêlent ainsi interactions sociales, compétences techniques, utilisation de logiciels modernes et technologiques (parfois en intelligence artificielle, voir nos stages intensifs de découverte de l’IA pour les lycéens), et la possibilité de construire une très belle carrière tant en cabinets que dans des grands groupes.

Réussissez le DSCG grâce aux préparations d’Ipesup Expertise Comptable

Ipesup propose trois formules de préparation éprouvées au DSCG, adaptées aux besoins de chacun, que l’on peut suivre au choix en présentiel ou à distance :

  • la préparation annuelle permet aux étudiants de se préparer sur le temps long. Elle est ouverte à tous, mais particulièrement adaptée aux candidats qui travaillent déjà en cabinet d’expertise comptable ;
  • la préparation intensive d’été, en juillet/août, permet aux candidats de se préparer sur quelques semaines. Elle est particulièrement adaptée aux candidats récemment diplômés, qui cherchent à conclure leur cursus par un succès au DSCG dès le mois d’octobre suivant ;
  • le stage intensif « dernières révisions » avant les épreuves s’adresse tant aux étudiants désirant parfaire leur entraînement qu’aux salariés souhaitant réactiver leurs connaissances.

Les cours sont compatibles avec des stages en cabinet et sont dispensés par une équipe pédagogique « DSCG-chevronnée » de haut niveau qui saura accompagner nos élèves vers la réussite à l’examen.

Préparez le DEC avec les meilleurs experts

Ipesup assure également une préparation du diplôme d’expertise comptable avec des professeurs experts-comptables reconnus (Sabrina Sabbah Pagès, Fabrice Heuvrard), parfaitement au fait de l’évolution du diplôme et des attentes du jury…



Intégrer une Grande Ecole en AST en 2024

Les admissions parallèles permettent aux étudiants issus d’un parcours universitaire, d’intégrer les Programmes « Grande École » des Business Schools françaises après un diplôme de niveau Bac +2 ou Bac +3. Les Grandes Écoles de commerce les plus prestigieuses (HEC, ESSEC, ESCP, EM Lyon, EDHEC, ainsi qu’AUDENCIA) ouvrent leurs portes à partir de la licence 3 – l’ESSEC étant la seule École à exiger un niveau Master I à l’entrée.

Que faut-il retenir de l’évolution des concours d’admissions parallèles ces dernières années ?

 

La suppression des épreuves écrites traditionnelles

Depuis 2013, les Écoles ont progressivement supprimé leurs épreuves écrites traditionnelles pour ce recrutement. HEC et l’ESCP Europe ont notamment abandonné leur ancien concours commun qui comportait des épreuves écrites techniques et difficiles (droit, macro ou micro-économie, mathématiques de haut niveau),et des épreuves orales non moins académiques (humanités, triptyque, mathématiques…). L’EM Lyon (en 2015) et AUDENCIA (en 2021) ont suivi le mouvement en supprimant leurs épreuves littéraires (dissertation sur document, analyse de situation…).

Jusqu’en 2019, les autres écoles de commerce, mutualisées dans les concours Passerelle et Tremplin, avaient conservé des épreuves écrites : QCM d’anglais, synthèse de textes/réflexion argumentée, analyse de textes comparés, test de culture générale « Arpège » et épreuves optionnelles). A la faveur du Covid, ces épreuves écrites, qui avaient le mérite de placer les candidats sur un même pied d’égalité quel que soit leur parcours antérieur et leurs résultats académiques, ont d’abord été suspendues. Elles ont été définitivement supprimées à partir de 2021.

 

La standardisation des modes de sélection

Qu’en est-il aujourd’hui ? La suppression des épreuves écrites dites « littéraires » était-elle la première étape d’un recrutement sur dossier, où de vagues éléments de motivation viendraient compléter l’étude des seuls bulletins universitaires ? Il n’en est rien. Car les épreuves écrites n’ont pas été supprimées, mais plutôt remplacées par des tests standardisés et l’analyse fine d’un dossier de candidature. Aujourd’hui, la sélection repose sur les 4 éléments suivants :

  • Un test d’aptitudes générales : le TAGE MAGE® (Bac + 3/4) ou le TAGE 2® (pour les Bac + 2)
  • Un test d’anglais reconnu à l’international : le TOEIC® (Test of English for International Communication), le TOEFL (Test of English as a Foreign Language), l’IELTS (International English Language Testing System) essentiellement
  • L’analyse du dossier universitaire (tous les bulletins de notes depuis le bac)
  • La rédaction d’un dossier dit de « motivation » comportant, généralement :
    • Une lettre de candidature exposant les motivations du candidat, son parcours antérieur et son projet professionnel
    • Un curriculum vitae selon les cas classique ou « projectif » (comment le candidat se voit-il dans 10 ans)
    • La réponse à des questions de réflexion, spécifiques à chaque École. Quelques exemples : « Qu’est-ce que le leadership pour vous ? Donner des exemples personnels » (HEC) ; « Illustrez, parmi les expériences que vous avez vécues, celles qui illustrent le mieux les valeurs qui vous caractérisent » (ESSEC) ou encore « Quelles expériences extra-scolaires vous ont marqué et pourquoi ? » (EDHEC).

 

Les tests TAGE MAGE® et TAGE 2®

D’inspiration américaine, cousin du GMAT®, le test TAGE MAGE® est devenu un passage obligé pour candidater dans les Business Schools françaises. Les meilleures écoles, dites du « top-5 » (HEC, ESSEC, ESCP, EDHEC et EM Lyon) l’exigent des candidats à Bac + 3/4 depuis plusieurs années. Mais les écoles classées juste en-dessous, comme SKEMA (Lille – Nice – Paris), AUDENCIA (à Nantes), Grenoble EM, ou encore TBS (Toulouse Business School) font également confiance à ce test.

Le TAGE MAGE® est un test d’aptitudes générales que passent les étudiants de Licence 3 ou de Master. Il évalue les capacités des candidats dans trois dimensions : aptitudes calculatoires, aptitudes logiques et aptitudes verbales. 90 questions de QCM sont présentées aux candidats, sous forme de 6 sous-tests de 15 questions : compréhension de texte, calcul, conditions minimales, raisonnement & argumentation, expression et logique. Dans tous les sous-tests, le candidat doit répondre en moins d’1 min 20 aux questions qui lui sont poses. Des points négatifs pénalisent les réponses fausses. Ce test, qui ne suppose aucun prérequis scientifique, économique ni littéraire particulier, est difficile par sa forme. Il se prépare en quelques centaines d’heures de travail, pendant 6 à 9 mois.

Le test TAGE 2® est une version simplifiée du TAGE MAGE®. Il s’adresse aux étudiants de niveau Bac + 2 (ou en passe de l’être), candidats aux concours d’admissions sur titres de niveau « 1 » (concours « AST 1 »), c’est-à-dire qui visent une intégration en 1ère année de Grande Ecole à l’issue d’un BTS (brevet de technicien supérieur), d’une licence 2 ou d’un DUT (diplôme universitaire de technologie). Les sous-tests les plus techniques du TAGE MAGE® (conditions minimales, raisonnement & argumentation) n’y sont pas présents. La partie verbale y est plus importante (43 % des questions) et le temps de résolution des questions ce calcul, elles-mêmes plus faciles, est porté à 3 minutes contre 1 minute 20 pour le TAGE MAGE®.

 

Les concours Passerelle et Tremplin en pleine mutation

Les concours ECRICOME Tremplin 1 (pour les Bac + 2) et ECRICOME Tremplin 2 (pour les Bac + 3/4) constituent le prolongement naturel, pour les candidats en admissions sur titres, des concours ECRICOME PREPA accessibles après une prépa ECG (école de commerce voie générale) et en prépa littéraire (Khâgne B/L). Ils donnent ainsi accès aux 5 mêmes écoles : NEOMA (issue de la fusion des ESC Reims et Rouen), KEDGE (Bordereaux Ecoles de Management + Euromed Marseille), Rennes School of Business, l’EM Strasbourg ou encore MBS (Montpellier Business School).

Depuis 2021, les épreuves écrites spécifiques des concours Tremplin 1 et Tremplin 2 (analyse de textes comparés et/ou synthèse/réflexion argumentée + QCM d’anglais de grammaire et vocabulaire à points négatifs) ont été supprimées. Les modalités de sélection des élèves aux concours Tremplin 1 et Tremplin 2 ont été alignées avec les écoles du « top-5 », déjà décrites ci-dessus.

La banque d’écoles Passerelle (car, peut-on encore parler d’un concours ?) fait exception car elle ne réclame le test d’anglais qu’à l’issue de l’admissibilité, et que l’analyse du dossier est strictement académique (pas de lettre de motivation ni CV). Pour cette première étape, les candidats devront produire un score à un test de sélection : TAGE MAGE® pour les Bac +3, TAGE 2® pour les Bac +2. Le concours Passerelle donne accès à des écoles de management moins bien classées que celles accessibles via le concours Tremplin.

 

L’évolution des épreuves orales vers les « soft skills »

Les Grandes Écoles de commerce ont toujours aimé recruter leurs élèves sur des entretiens de motivation. Mais, ces dernières années, la pratique et l’importance des « soft skills » dans le monde de l’entreprise ont conduit les écoles à en modifier largement les modalités.

C’est ainsi qu’à Grenoble EM, le candidat devra effectuer une « interview inversée » d’un membre de jury pendant 10 minutes. A l’EDHEC, le candidat devra intégrer à sa présentation un mot tiré au hasard au dernier moment. Une phase d’entretien collectif sera également proposée où le candidat devra, à l’occasion d’un travail de groupe, démontrer ses qualités interpersonnelles. A l’EM Lyon, le candidat tirera quatre questions : personnalité, expérience, créativité et personnalité. On peut tomber sur des questions un peu déroutantes : « si vous étiez un poisson, qui seriez-vous et pourquoi ? », « après l’EM Lyon, serez-vous un expert critique ? », ou encore « il y a une pandémie dans le monde, quel rôle jouez-vous ? ». Inutile de multiplier à l’infini les exemples et contre-exemples : on l’aura compris, chaque école cherche à exprimer, à travers le format de ses épreuves d’admission, la spécificité de son recrutement.

Les « Parisiennes » (HEC, l’ESSEC, l’ESCP) ont, elles, choisi de conserver des entretiens de motivation classiques. Notons toutefois que l’entretien d’admission d’HEC se déroule exclusivement en anglais y compris pour les francophones, illustration de l’internationalisation de la meilleure Business School d’Europe selon le classement du Financial Times.

Aux épreuves d’entretien viennent s’ajouter, selon les écoles, une épreuve orale d’anglais et, plus rarement, une épreuve orale de LV2.

 

Quel profil d’étudiant pour quelles Écoles ?

La sélectivité des meilleures écoles ne doit pas être sous-estimée. La possibilité d’intégrer des Grandes Écoles aussi prestigieuses qu’HEC, l’ESSEC ou encore l’ESCP Europe sans passer par la prépa, couplée à la suppression des épreuves écrites, a pu conduire certains candidats à penser qu’intégrer ces écoles était devenu plus aisé.

Or, s’il est vrai qu’une école comme AUDENCIA propose aujourd’hui 450 places en admissions sur titres, les trois « Parisiennes » n’ouvrent que 260 places en admissions sur titres, contre 1215 places via les concours prépa. A HEC, pour 16 candidats admis après une classe préparatoire, une seule place est ouverte pour les candidats universitaires par la voie des admissions sur titres françaises « classique » (c’est-à-dire hors « doubles diplômes » existant avec certaines institutions, comme par exemple Paris I en droit des affaires ou encore Sciences Po).

Places ouvertesConcours PrépaAdmissions sur titres
HEC40025
ESSEC420155
ESCP Europe39580
emlyon540365
EDHEC520210
Total Top-52275835

Il faut donc bien réfléchir à son orientation avant de renoncer à une classe préparatoire, car c’est encore celle-ci qui donne le plus de chances d’intégrer les toutes meilleures Écoles. Cela étant dit, un très bon candidat universitaire (autour de 14-15 de moyenne) se préparant sérieusement aux tests a des chances sérieuses d’admission. Si l’on opte pour cette voie, mieux vaut construire son dossier académique dès son entrée à l’université, pour viser une mention « Bien » voire « Très bien » dès l’année de L1.

A contrario, un élève visant des écoles de bon niveau « juste en-dessous » du top-5 comme SKEMA, Grenoble EM, NEOMA ou encore AUDENCIA ont un intérêt bien compris à opter pour les admissions parallèles. Pour ces écoles, il n’est pas rare qu’un dossier « moyen », voire faible, puisse être compensé par (i) de bonnes notes aux tests de sélection et (ii) un projet professionnel solidement construit et argumenté.

Places ouvertesConcours AST 1Concours AST 2
SKEMA150350
AUDENCIA80450
GRENOBLE EM175210
TBS80275
ICN100150
Tremplin9301540
Passerelle695895
Total21304525

 

Conclusion : quelle stratégie pour les lycéens ?

En conclusion, voici quelques conseils d’orientation que l’on pourrait donner à des lycéens qui envisagent d’intégrer une Grande École de Commerce par la voie des admissions parallèles :

  • Les élèves aux résultats inégaux, ou qui ont peu d’appétences pour les matières universitaires, pourront s’orienter vers les Écoles de Commerce Post- Bac ou le cas échéant vers un BTS ou un IUT, suivi d’une Admission parallèle à Bac +2 (concours Passerelle 1, Tremplin 1, SKEMA AST 1, TBS L3, GEM AST1).
  • Les élèves plutôt bons, qui expriment un intérêt pour les matières académiques (droit, économie/gestion, lettres, langues, sciences humaines…) et ne souhaitent pas s’imposer le rythme de la prépa pourront s’orienter vers l’Université, puis vers les Admissions sur titre à Bac +3/4 (concours HEC Admission parallèle, ESSEC AST, ESCP CAD, EM Lyon AST, AUDENCIA AST, EDHEC AST 2, GEM AST2, SKEMA AST 2 et Tremplin 2)

Malgré l’essor apparent des admissions parallèles, les bons à très bons élèves ont tout intérêt à envisager les classes préparatoires ECG, qui outre la qualité de la formation qui y est dispensée, demeurent encore aujourd’hui la voie la plus sûre pour intégrer les toutes meilleures Grandes Écoles.

 

Nos préparations aux admissions sur titres

Ipesup propose des formations complètes aux concours d’admissions sur titres. Nos préparations, qui peuvent s’effectuer au choix en présentiel ou à distance,  incluent :

  • la préparation du Dossier de candidature (conférence, documents, coaching dédié avec un professionnel, atelier CV, outil CV interactif)
  • la préparation du TAGE MAGE® ou du TAGE 2® (cycle annuel, stages intensifs ou cycles mixtes + intranet et site d’entraînement TageMaster)
  • la préparation du TOEIC® pour les étudiants en exprimant le besoin (cycle annuel, stages ou préparation online)
  • la préparation des Entretiens et des oraux de langue (intranet, outils numériques innovants et stage intensif de préparation avec les jurys Ipesup)


Annales DSCG

Les annales du DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestion) vous permettront de vous entraîner sur des sujets tombés à l’examen.

 

Annales DSCG 2021

Retrouvez ci-dessous toutes les annales du DSCG pour l’édition 2021 pour les unités d’enseignement 1, 2, 3, 4, 5 et 8.

 

Annales DSCG 2020

Retrouvez ci-dessous toutes les annales du DSCG pour l’édition 2020 pour les unités d’enseignement 1, 2, 3, 4, 5 et 8.

 

Préparez le DSCC avec les experts d’Ipesup

Le DSCG (diplôme supérieur de comptabilité générale) est un diplôme de niveau Bac +5 et plus, qui s’adressent aux auditeurs et comptables souhaitant upgrader leur expertise en comptabilité et en gestion, en vue, le cas échéant, de l’obtention ultérieure du DEC (diplôme d’expertise comptable).

Ipesup prépare les étudiants et les jeunes professionnels au DSCG avec plusieurs formules de préparation éprouvées : cycle annuel, stage d’été, stage « dernières révisions » et l’encadrement d’une équipe pédagogique chevronnée. Nouveau : nos formations sont accessibles en présentiel et à distance.



  • Annales DSCG
  • Les résultats de nos élèves au Baccalauréat sont tombés et sont, une nouvelle fois, excellents. Bravo à tous nos élèves et à leurs professeurs pour leur sérieux et leur engagement tout au long de l’année 2022 !

    100 % de mentions Bien et Très Bien, dont 70 % de mentions Très Bien

    Au moment où les taux de réussite nationaux au Baccalauréat s’affichent en baisse, les élèves de Terminale du lycée IPESUP rééditent, eux, leur excellente performance de 2021 avec 100 % de mentions Bien et Très Bien, dont 70 % de mentions Très Bien. Rappelons qu’au niveau national, environ 10 % des élèves seulement obtiennent une mention « Très Bien » au Baccalauréat.

    Le lycée IPESUP s’affirme ainsi un peu plus chaque année comme un des meilleurs lycées parisiens.

    Nos lycéens 2022 obtiennent en particulier d’excellentes notes aux enseignements de spécialité, dont on sait le caractère sélectif pour les admissions dans l’enseignement supérieur. Nos résultats 2022 démontrent que le lycée IPESUP s’est parfaitement inscrit dans le sillage de la réforme du baccalauréat et qu’il n’y a aucune crainte à avoir à faire le choix d’un lycée hors contrat, pourvu qu’il soit tourné vers l’excellence.

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    IPESUP, un lycée d’excellence tourné vers l’enseignement supérieur

    Le lycée IPESUP permet aux élèves de bon niveau qui recherchent un cadre épanouissant et l’excellence de l’enseignement, de viser les tout meilleurs résultats. Qu’il s’agisse du Baccalauréat ou des admissions Parcoursup, les résultats de nos élèves de Terminale démontrent chaque année la pertinence du choix du lycée IPESUP, y compris post-réforme du lycée. En effet, si beaucoup de nos élèves de Terminale rejoignent les prépas d’Ipesup (CPGE commerciales prépa HEC ECG, classe préparatoire IEP, CPGE scientifiques MPSI, PCSI, MP2I), certains ont aussi été admis à Sainte-Geneviève, à Grandchamp, à Sainte-Marie de Lyon et à Dauphine, pour ne citer que quelques exemples.

    En plus du programme officiel, notre lycée propose dès la Seconde des ateliers utiles à l’épanouissement de chaque élève : dimension internationale, culture générale, initiation aux nouvelles technologies, pratique des soft skills pour prendre la parole en public. Nos élèves sont intégrés à tout un écosystème orienté vers les concours, les prépas et les études supérieures.

    Découvrez le lycée IPESUP

    Découvrez le lycée IPESUP en participant à l’une de nos nombreuses réunions d’informations durant l’été 2022.



  • Excellents résultats de nos lycéens au BAC 2022