En quoi se préparer au DSCG en 2026 constitue-t-il un tremplin vers une profession d’avenir entre IA, RSE et stratégie ? C’est à cette question que cet article se propose de répondre, en analysant les grandes mutations de l’expertise comptable aujourd’hui.

Le DSCG à l’ère de l’IA : de la conformité au conseil stratégique

“Expert-comptable ? Mais enfin, avec l’intelligence artificielle, ce métier va disparaître !” Ce refrain, entendu dans tous les salons d’orientation depuis l’émergence de ChatGPT, masque une réalité paradoxale. En 2026, l’expertise comptable traverse en fait la plus profonde mutation de son histoire — et c’est précisément cette transformation qui en fait l’un des secteurs les plus porteurs pour les jeunes diplômés. Loin de condamner la profession, la révolution numérique la propulse vers de nouveaux territoires d’expertise où les compétences du DSCG deviennent plus stratégiques que jamais.

L’émergence des outils d’intelligence artificielle dans la comptabilité illustre parfaitement ce que Joseph Schumpeter analysait comme la “destruction créatrice” : les tâches mécaniques disparaissent, mais des fonctions à plus haute valeur ajoutée émergent. Les cabinets l’ont bien compris : 89 % des experts-comptables interrogés par le CNOEC déclarent que l’IA libère du temps pour le conseil. Chez Mazars, les jeunes diplômés du DSCG sont désormais formés aux outils de data analytics dès leur prise de poste. Nous ne cherchons plus des comptables, mais des business advisors, résume Hervé Hélias, le président directeur général. Cette évolution se traduit par une reconnaissance professionnelle croissante et une diversification des missions vers le conseil stratégique.

 

Le DSCG et la CSRD : de la saisie comptable au reporting RSE / ESG

La directive du Parlement européen et du Conseil du 14 décembre 2022 dite CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), entrée en vigueur le 1er janvier 2024, vient elle aussi bouleverser le paysage professionnel. Dès aujourd’hui, plus de 50 000 entreprises européennes (les “grandes entreprises d’intérêt public”) dont 4000 entreprises françaises doivent publier des rapports extra-financiers certifiés en faisant appel à des professionnels formés aux enjeux ESG. Mais dès 2027, la CSRD s’appliquera à toutes les grandes entreprises remplissant au moins 2 des 3 critères suivants : (i) un bilan total de 25 millions d’euros ; (ii) un chiffre d’affaires net de 50 millions d’euros ; (iii) un nombre moyen de salariés employés au cours de l’exercice de 250. C’est un nouveau métier qui s’ouvre pour les diplômés du DSCG.

Or, précisément le DSCG intègre depuis 2025 un module obligatoire “Comptabilité durable et reporting ESG” de 40 heures. Les diplômés 2026 seront les premiers à maîtriser ces compétences dès leur sortie de formation. C’est, pour eux, un avantage concurrentiel considérable face à la pénurie de profils formés à ces enjeux à l’échelle nationale voire européenne.

Cette spécialisation s’inscrit dans ce que Max Weber théorisait comme la “rationalisation” des sociétés modernes : face à la complexification réglementaire, les entreprises ont besoin d’experts capables de traduire les obligations légales en stratégies opérationnelles. On pourrait presque dire qu’il y a, à travers toutes ces nouvelles obligations de reporting, une forme de “désenchantement” du développement durable. Ce dernier n’est plus seulement théorisé, pensé, aimé ou recherché pour ce qu’il est ; il est devenu technique, technicisé même. Son aspect politique et militant s’efface. Si des sociétés spécialisées délivrent des scores environnementaux aux produits (comme Yuka pour les produits alimentaires ou ClearFashion dans le domaine de l’affichage environnemental pour l’industrie textile), les rapports ESG doivent, eux, être publiés par les entreprises elles-mêmes.

Si l’évaluation du développement durable devient une affaire d’experts, alors l’expert-comptable est, pour ainsi dire, au cœur du réacteur.

 

L’expert-comptable aujourd’hui : de contrôleur à garant de la confiance dans l’économie de demain

A travers ces transformations qui ne sont pas seulement techniques, la profession d’expert-comptable retrouve sa dimension éthique fondamentale, un peu à l’image du commissaire aux comptes qui a vu ses missions évoluer vers le conseil, la prévention des risques et non seulement sur le contrôle stricto sensu. Comme l’analyse Hubert Joly dans The Heart of Business (2021), l’entreprise du XXIe siècle doit concilier performance économique et impact social. L’entreprise n’est plus seulement un lieu de création de valeur financière, mais un acteur de transformation positive de la société, écrit l’ancien PDG de Best Buy. Une entreprise moderne, c’est donc une entreprise au coeur de la cité, engagée, responsable, capable d’attirer les meilleurs talents par un environnement global soucieux de son ancrage dans une société qui progresse.

Cette mutation place l’expert-comptable au cœur d’un enjeu civilisationnel : garantir la sincérité des informations financières dans un monde où la confiance devient une ressource précieuse. Les scandales Wirecard, FTX, Worldcom, WeWork ou plus anciennement d’Enron rappellent l’importance cruciale de cette mission. L’expert-comptable devient ainsi le gardien de la “vertu entrepreneuriale”. Il ne se contente plus de certifier des comptes : il atteste de l’intégrité d’un modèle économique, de la sincérité d’une démarche RSE, de la réalité d’un impact social. Sa dimension éthique se concrétise à travers de nouvelles missions :

  • audit des dispositifs anti-corruption
  • certification des bilans carbone
  • validation des rapports d’impact social

L’expert-comptable participe ainsi à la construction de ce que l’économiste Muhammad Yunus appelle l'”économie sociale” (devenu aujourd’hui économie sociale et solidaire) : une économie où la création de valeur ne se mesure plus seulement en unité monétaire, mais en impact positif sur la société. On rejoint la thèse d’Hubert Joly. Qu’elle soit sociale, climatique, solidaire, cette vertu que l’on pensait réservée à des acteurs engagés (par exemple ceux du commerce équitable, comme Alter Eco), se diffuse en fait dans toute l’économie. A son échelle, l’expert-comptable d’aujourd’hui y contribue.

En 2026, préparer le DSCG ne relève donc plus du choix par défaut, mais d’une vocation pour une génération qui entend concilier excellence technique et utilité sociale. L’expertise comptable ne disparaît pas : elle se métamorphose en mission de confiance au service d’une économie plus éthique et transparente.

 

Le DSCG, filière d’excellence professionnalisante après des études de haut niveau

Faut-il choisir la filière traditionnelle DCG – DSCG ou plutôt suivre un Master CCA (Comptabilité-Contrôle-Audit) universitaire ? Vaut-il mieux obtenir un Master in Management (Programme Grande École) d’une Business School ou être diplômé du DSCG ? Cette opposition, longtemps structurante, perd de sa pertinence aujourd’hui. Les masters CCA de Dauphine, de la Sorbonne ou de Lyon affichent certes d’excellents taux d’insertion, mais leurs diplômés passent massivement… le DSCG en candidat libre ! Quant aux diplômés des Grandes Écoles de commerce issus des parcours Audit-Expertise, ils bénéficient de dispenses spécifiques d’épreuves du DSCG (hors UE 1 et UE 4) – c’est le cas en particulier de SKEMA et de NEOMA Business School. Leurs étudiants sont nombreux, d’ailleurs, à se préparer  à ces deux unités d’enseignement les plus techniques à l’Ipesup, car ils ont compris que l’examen conserve un niveau de technicité élevé en droit, en fiscalité, en comptabilité et en audit. Le DSCG n’est donc plus réservé aux titulaires du DCG.

Pourquoi cette convergence ?

D’une part, le DSCG reste le sésame indispensable pour accéder au stage d’expertise comptable, lui-même préalable au DEC. Nous l’évoquions déjà dans notre article sur la réforme de l’expertise comptable : le “verrou” du DSCG n’a pas sauté et avec la réforme 2024 du Conseil de l’Ordre, et aucune dispense n’est accordée aux masters universitaires : il faudra valider au moins une UE du DSCG pour accéder au stage de trois ans. Cette exigence pourrait apparaître corporatiste, mais elle répond en réalité, et c’est heureux, à une logique de compétences. Les entreprises valorisent la rigueur méthodologique reconnue du DSCG, particulièrement dans les domaines fiscaux et de consolidation où la précision technique reste irremplaçable.

D’autre part, le DSCG est un examen exigeant qui permet de monter en compétences sur des sujets techniques dans les grands cabinets de conseil et d’audit. Ces cabinets cherchent d’ailleurs souvent à former leurs propres équipes en ce sens. Le DSCG est donc à la fois un passage obligé pour devenir expert-comptable, mais aussi et surtout un diplôme de très grande valeur sur le marché du travail ; un accélérateur de carrière en somme.

 

L’expertise comptable : un ascenseur social en mouvement !

Enfin et au-delà de l’évolution de la profession, il est utile de dire un mot sur le sens de la filière DSCG elle-même comme modèle d’intégration et de méritocratie.

Dans une société française où la reproduction sociale bourdieusienne reste présente (sur le plan du capital culturel avec le prestige historique des classes préparatoires ; sur le plan du capital financier avec le développement des écoles post-bac payantes ou le développement de Bachelors à l’international accessibles seulement aux catégories socio-professionnelles supérieures) ; dans un monde où les épreuves écrites voient leur place s’atténuer (contrôle continu au lycée, place réduite des écrits personnels pour intégrer Sciences Po, ou encore disparition des épreuves écrites traditionnelles en admissions sur titres dans les Business Schools françaises), l’expertise comptable conserve son caractère méritocratique. 67 % des experts-comptables sont issus de familles sans lien avec la profession. Le DSCG est accessible à tous !

Cette dimension sociale n’est pas anecdotique. Comme l’analysait Raymond Boudon dans L’Inégalité des chances (1973), certaines professions échappent aux logiques de reproduction sociale. L’expertise comptable en fait partie : la technicité prime sur le capital social, le mérite sur les réseaux. Bien sûr, les filières plus traditionnelles tentent de corriger l’inégalité des chances par des procédés s’inspirant de près ou de loin de l’affirmative action (que l’on pense, par exemple, aux points de malus accordés aux cubes non boursiers à HEC, aux bourses pouvant être octroyées par le truchement des fondations, ou encore des convention Zones d’éducation prioritaire de Sciences Po). Le DSCG n’a pas besoin de recourir à ces faux-fuyants : il se veut méritocratique et égalitaire, voilà tout.

Or, comme nous l’évoquions déjà lors de notre précédent article sur la réforme de l’expertise comptable, l’offre d’emplois excède largement la demande. Les chiffres du CNOEC révèlent un déséquilibre structurel : la filière comptable emploie 170 000 salariés, mais ne diplôme que 4 000 nouveaux titulaires du DSCG par an. Préparer le DSCG, c’est aujourd’hui se tourner vers une profession en tension, facilitant l’obtention d’un emploi stable, bien rémunéré, avec une insertion sociale forte dans la société française. Les nouvelles missions dévolues aux futurs experts-comptables ne peuvent que contribuer à pérenniser encore cette filière d’excellence.

 

Préparer le DSCG avec l’Ipesup pour se donner les meilleures chances de succès

IPESUP, fort de son expertise dans la préparation aux diplômes les plus exigeants, accompagne depuis plus de vingt ans les candidats au DSCG avec des résultats exceptionnels. Nos professeurs, experts-comptables en exercice, membres de jurys et auteurs d’ouvrages de référence, assurent une préparation de très haut niveau.

Nos résultats parlent d’eux-mêmes :

  • UE 1 (Gestion juridique, fiscale et sociale) : 75 % de réussite IPESUP contre 28 % au niveau national
  • UE 4 (Comptabilité et audit) : 65 % de réussite IPESUP contre 25 % au niveau national

Nous proposons trois formules de préparation au DSCG adaptées à tous les profils :

  • Préparation annuelle (mars-septembre) pour une formation complète et progressive – examen 2026
  • Stage d’été intensif (juillet) pour une révision approfondie des points clés – examen 2026
  • Stages “Dernières révisions” (août-septembre) pour optimiser ses chances avant les épreuves – examen 2025 ou 2026

 



Intégrer Sciences Po en Master : 8 Écoles, 31 Masters 

L’Institut d’Etudes Politiques de Paris offre aux étudiants plusieurs voies d’admission en Master. La procédure française permet aux candidats titulaires ou en cours d’obtention de 180 crédits ECTS de déposer un dossier de candidature pour intégrer l’un des Masters de Sciences Po.

 

8 Écoles de Sciences Po, 31 Masters

L’Institut a structuré son cycle Master en 31 Masters différents, chacun d’eux étant chapeauté par une des 8 « Écoles » de Sciences Po. Des doubles diplômes et des Masters en un an complètent l’offre de formation en Master. On trouvera ci-dessous une brève présentation de chaque “École” de Sciences Po, et la liste des Masters (au sens classique du terme) proposés par chaque École.

     

    L’École de Droit

    L’École de Droit de Sciences Po a pour objectif la formation de juristes de très haut niveau susceptibles de s’adapter et de progresser dans un univers professionnel en évolution constante, en s’appuyant sur une communauté académique vivante et un réseau d’excellence international. Elle prépare aussi aux carrières juridiques et judiciaires : avocature, concours de la magistrature etc. Elle propose quatre Masters :

    • Master Carrières juridiques et judiciaires
    • Master Droit économique
    • Joint Master Droit et Finance – seul Master en 3 ans de l’Institut, partagé avec l’école du management et de l’impact
    • LLM in transnational arbitration & dispute settlement – Master en un an

     

    L’École d’affaires publiques

    L’École d’affaires publiques porte l’ambition qui est au cœur du projet de Sciences Po depuis cent cinquante ans : former les acteurs publics de demain, capables d’analyser les défis du monde contemporain et d’y apporter des solutions innovantes et éthiques. Elle propose deux Masters :

    • Master Affaires publiques
    • Master Affaires européennes

     

    L’École des affaires internationales (PSIA)

    Entièrement bilingue (anglais-français), l’École des affaires internationales (Paris School of International Affairs) propose une vaste palette de spécialisations professionnelles, à la fois thématiques et régionales, pour se préparer à toutes les carrières ayant trait à l’international : des organisations internationales aux ONG, des administrations aux think tanks en passant par les entreprises transnationales. La richesse de l’offre de l’École permet à la grande diversité des profils qui y étudient de devenir des acteurs clés des questions internationales majeures d’aujourd’hui et de demain.

    • Master International Security
    • Master International Governance and Diplomacy
    • International Economic Policy
    • International Development
    • Human Rights and Humanitarian Action
    • Environmental Policy
    • International Energy Transitions
    • Technology and Global Affairs (Dual Degree only)
    • Journalism and International Affairs (Joint Master avec l’école de journalisme)

     

    L’École du management et de l’impact

    Anciennement École du management “et de l’innovation”, l’École du management et de l’impact se donne pour mission de répondre aux défis complexes auxquels font face les entreprises : la transition environnementale qui amène à repenser leur place et leurs devoirs vis-à-vis de la société et de la planète ; la transformation numérique qui bouleverse l’activité économique ; la nécessaire compréhension des évolutions contemporaines (intelligence artificielle, régionalisation des chaînes de valeur etc.) Elle propose 7 Masters :

    • Master CMIC (Communication, Médias et Industries Créatives)
    • Master Finance et Stratégie
    • Master in International Business and Sustainability
    • Master Droit et Finance ; il s’agit du seul Master en 3 ans de l’Institut, partagé avec l’école de droit
    • Master Marketing : New Luxury et Art de vivre
    • Master RH et gouvernance durable
    • Joint Master Droit et Finance – seul Master en 3 ans de l’Institut, partagé avec l’école de Droit

     

    L’École de la recherche

    Au cœur de la création et de la diffusion des savoirs, l’École de la recherche compte parmi les huit Écoles professionnelles de Sciences Po. Sa spécificité est d’offrir non seulement des programmes de master mais aussi des programmes de doctorat qui forment les étudiants aux concepts, à l’analyse et aux méthodes de la recherche en sciences sociales. La formation est structurée autour des cinq grandes disciplines de Sciences Po : le droit, l’économie, l’histoire, la science politique et la sociologie. Outre ses programmes de doctorat, l’École propose ainsi 5 Masters :

    • Master droit
    • Master d’économie
    • Master histoire
    • Master science politique
    • Master sociologie

     

    L’École urbaine

    Aujourd’hui, les villes et les régions sont confrontées à d’importants défis engendrés par les trois changements significatifs en cours : les transitions écologiques, numériques et démographiques. L’École urbaine entend former des décideurs pour y répondre. Elle propose 3 Masters :

    • Master Stratégies Territoriales et Urbaines (STU)
    • Master Gouvernance urbaine, Politiques publiques et Urbanisme
    • Master Cycle d’urbanisme

     

    L’École de journalisme

    L’École de journalisme de Sciences Po est l’une des quatorze écoles reconnues par la profession. Ses programmes reposent sur l’approfondissement de savoirs académiques en sciences sociales sur les enjeux du monde de demain, et l’apprentissage pratique du métier de journaliste par l’intervention de professionnels des médias. Elle propose deux programmes de niveau Master :

    • Master Journalisme
    • Master Joint Journalisme et Affaires internationales ; ce Master est partagé entre l’école de journalisme et l’école de droit

    Un double diplôme en journalisme avec Columbia University est également proposé (programme très sélectif, réservé à 10 étudiants par an)

    A noter : si l’École de journalisme de Sciences Po retient votre intérêt, découvrez aussi la préparation aux Écoles de journalisme proposée par IPESUP.

     

    La Paris Climate School

    Sciences Po lance à la rentrée 2026 la Paris Climate School, la première école européenne à délivrer un diplôme en sciences humaines et sociales dédié à la transition écologique. À la rentrée 2026, une centaine d’étudiantes et étudiants seront sélectionnés pour intégrer la première promotion de la Paris Climate School et suivre un programme de master interdisciplinaire, entièrement dispensé en anglais, sur les transformations environnementales et la gestion des risques. Les premiers diplômes seront délivrés en 2028.

    • Master Ecological transition, risks, and governance

     

    Préparez votre admission à Sciences Po en Master avec IPESUP

    Préparation du Dossier de candidature en Master à Sciences Po

    Le Dossier de candidature de Sciences Po en Master comprend en particulier, une lettre de motivation de deux pages, et un CV. La lettre de motivation à l’entrée de Sciences Po est bien différente d’une lettre de motivation “classique” de type Grande École de commerce. Le candidat dispose de beaucoup de place pour démontrer ses capacités d’analyse et sa culture générale. Il concourt face à d’autres étudiants souvent solides et présentant un projet construit, connaissant parfaitement les arcanes de l’institut et capables de présenter leur parcours et leur projet de manière convaincante. Nous proposons :

    • des fascicules de préparation spécialisés (150 p. environ)
    • une conférence de méthodologie : “Comment intégrer Sciences Po en Master ?”
    • une conférence de rédaction : “La lettre de motivation à l’entrée à Sciences Po en Master”
    • plusieurs conférences de présentation des Masters de Sciences Po
    • trois RDV individuels avec un coach-relecteur dédié

     

    Préparation du TOEFL®

    La plupart des Masters de Sciences Po comprennent un pré-requis linguistique en anglais. Il s’agit d’atteindre un score minimum (souvent élevé) à une certification internationale. Le TOEFL® fait partie des tests admis pour la quasi-totalité des Masters. Nous proposons :

    • une plateforme pédagogique dédiée au TOEFL® : plus de 1500 questions, 10 tests blancs, 100 fiches de cours en adaptative learning
    • des stages intensifs de préparation au TOEFL® pendant les vacances scolaires, en particulier à la Toussaint
    • un cycle continu de préparation au TOEFL®

     

    Cycle de conférences “Sciences Po Master” sur les Grands Enjeux contemporains

    Destiné en premier lieu à vérifier l’adéquation entre le profil et la trajectoire du candidat, son projet professionnel, et la formation proposée par l’IEP, l’entretien d’admission de Sciences Po possède ses propres codes. Rite de passage, il permet au jury de juger votre compréhension de ce que d’aucuns appellent “l’esprit Sciences Po”, et de vérifier que votre culture générale (journalistique de bon niveau) vous permet d’appréhender les questions contemporaines de manière intelligente.

    Si l’on devait créer un rôle de président de l’Union européenne, faudrait-il le place à la tête de la Commission ou du Conseil ? Que pensez-vous des Bidenomics et du One Big Beautiful Bill Act de Donald Trump : vous semblent-ils inspirés plutôt du monétarisme ou du keynésianisme ? La censure partielle de la loi “Immigration” par le Conseil constitutionnel participe-t-elle à un gouvernement des juges, ou illustre-t-elle au contraire l’exigence démocratique française ? Autant de questions liées à l’actualité plus ou moins récente, sur lesquelles le candidat pourra déployer une argumentation convaincante, personnelle, nuancée et prendre position. Nous proposons un cycle de 6 conférences “Grands Enjeux” :

    • Les institutions françaises
    • A quoi sert l’Union européenne ?
    • Quelle politique économique face au risque de stagflation ?
    • Les médias et les pouvoirs en France
    • Géopolitique du Proche-Orient
    • La crise de la démocratie

     

    Préparation de l’Entretien d’admission de Sciences Po

    Nos admissibles sont invités à préparer l’entretien d’admission de Sciences Po avec nous. La préparation, de nature très “artisanale” (dans le bon sens du terme : haute couture…), s’effectue en petits groupes d’étudiants admissibles, encadrés par des professeurs-membres de jury très expérimentés et autorisés. Un ancien directeur de Master à Sciences Po, ancien directeur de la “PrépaConcours” de Sciences Po et administrateur du Sénat, dirige la préparation. Nous proposons :

    • un cours de méthodologie de l’entretien de Sciences Po
    • 2 entretiens blancs avec des membres de jury tous diplômés de Sciences Po, anciens membres de jury de l’Institut
    • la possibilité d’assister, tout au long d’un week-end dédié, aux simulations d’entretien de tous les autres admissibles

     



    A la rencontre des meilleures Grandes Ecoles de Commerce

    Le samedi 27 septembre 2025 à 14 heures, IPESUP organise en partenariat avec les meilleures Grandes Écoles de Management le Forum «Intégrer une Grande École de Commerce en Admissions Parallèles».

    Après un panorama des admissions parallèles, chaque École présentera les spécificités de son recrutement. Vous pourrez ensuite échanger directement avec les représentants de chaque École sur votre Dossier, votre projet professionnel.

    Infos pratiques

    Le Forum aura lieu dans les locaux de PRÉPASUP (Groupe IPESUP), 101 Boulevard Raspail, 75006 PARIS, le samedi 27 septembre 2025, dans la grande salle dite “cafétéria” au 1er étage (au niveau de l’accueil IPESUP).

    Le Forum se déroulera de 14h à 16h30 environ. Nous vous invitons à venir dès 14h afin de pouvoir assister à toutes les présentations.

    Réservez votre place dès à présent

    Les places sont limitées et il est obligatoire de s’inscrire pour participer. Pour réserver votre place à ce Forum, il vous suffit de remplir en quelques clics le (court) formulaire ci-dessous.



  • Forum Admissions Sur Titres le samedi 27 septembre 2025
  • Excellents résultats d’Ipesup en 2025

    Nous tenons à féliciter l’ensemble de nos élèves pour les excellents résultats qu’ils obtiennent en 2025. Nos résultats sont en hausse par rapport à 2024 sur toutes nos préparations !

    1. Classes préparatoires scientifiques : des résultats en forte hausse

    Fruit du travail de toute l’équipe pédagogique depuis l’ouverture de nos classes de Maths Sup en 2022, les classes préparatoires scientifiques affichent d’excellents résultats en 2025, en hausse par rapport à l’édition précédente. Sur nos 50 étudiants (répartis en deux classes à effectifs réduits : MP* et PC*), nous comptons cette année :

    ➡️ 22 admissibles aux Grandes Mines (concours Mines-Ponts)

    ➡️ 13 admissibles à CentraleSupélec + Centrale Lyon

    ➡️ 4 admissibles à l’École polytechnique

    ➡️ 3 admissibles à l’Ecole Normale Supérieure (Ulm)

    Nous adressons nos sincères félicitations à tous nos élèves, avec une mention spéciale pour l’une de nos élèves, qui, au concours Mines-Ponts, obtient les notes suivantes :

    • Mathématiques I : 20
    • Mathématiques II : 18
    • Physique I : 20
    • Physique II : 20
    • Chimie : 19,4
    • Informatique : 15,5
    • Français : 20

    Une démonstration qu’Ipesup accueille, nourrit et forme les étudiants à développer leur potentiel. Avec du travail, de l’ambition, et l’enseignement remarquable de nos professeurs, vous pouvez viser et atteindre l’excellence.


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    2. Classes préparatoires commerciales : de très bons résultats d’admissibilité (+15 % par rapport à 2024)… et une excellente performance à l’oral !

    Les étudiants des classes préparatoires ECG du Groupe Ipesup obtiennent eux aussi d’excellents résultats d’admissibilité au concours de la BCE (Banque Commune d’Epreuves), avec, pour l’édition 2025 :

    ➡️ 9 élèves sur 10 admissibles au Top-6 (HEC + ESSEC + ESCP + EDHEC + EM Lyon + SKEMA)

    ➡️ dont 8 élèves sur 10 admissibles au Top-5 (HEC + ESSEC + ESCP + EDHEC + EM Lyon)

    Ces premiers résultats d’admissibilité, qui comme toujours portent sur l’intégralité de nos élèves – aucun candidat libre – sont en hausse d’environ 15% par rapport à l’année précédente.

    Un grand bravo à l’ensemble des professeurs et à leurs élèves, ainsi qu’à la direction pédagogique dévouée et disponible au quotidien, pour ces très bons résultats.

    Comme chaque année, nous sommes très confiants sur la capacité de nos élèves à “transformer l’essai”, puisque grâce au Parcours de préparation à l’oral en ECG, le taux de transformation admis / admissible a toujours été très élevé en prépa ECG. Place maintenant aux oraux !

    ➡️ Mise à jour 08/07 – Exceptionnelle efficacité à l’oral confirmée ! Nous avions annoncé notre haut degré de confiance sur le taux de transformation admissible > admis ; nous en avons désormais la confirmation. A l’ESCP, les résultats viennent de tomber en ce 8 juillet : 96,4 % de nos admissibles sont admis en 2025. Une mention spéciale à nos cubes pour qui le taux à atteint tout simplement… 100 %.


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    3. Classe préparatoire IEP de Région : des résultats d’admission exceptionnels eux aussi en hausse !

    En hausse également, les résultats de nos élèves au concours commun des IEP de Région. Ce ne sont cette fois pas les résultats d’admissibilité, mais bien les résultats d’admission définitifs de nos étudiants que nous sommes particulièrement heureux d’annoncer ici.

    ➡️ Taux d’admission définitif : 87,1 % en 2025, en hausse de 3 points par rapport à 2024. Félicitations à tous pour ce résultat une nouvelle fois éloquent. Suivre notre classe annuelle de préparation aux IEP de Région, c’est s’offrir presque 9 chances sur 10 d’intégrer un Institut d’Etudes Politiques ! Nous atteignons en 2025 la deuxième meilleure performance du groupe sur les dix dernières années. Nous disons bien deuxième… car nos élèves avaient accompli, en 2018, l’exploit d’être tous admis ! Il est notable que lors des 5 dernières années, nous nous rapprochons chaque année lentement mais sûrement vers notre objectif : réitérer, dans les années à venir, cette extraordinaire performance !

    • 2025 : 87,1 % d’admis.
    • 2024 : 83,9 % d’admis.
    • 2023 : 80 % d’admis.
    • 2022 : 79 % d’admis.
    • 2020-2021 : 77,3 % d’admis.
    • 2019 : 76,6 % d’admis.
    • 2018 : 100 % d’admis !
    • 2017 : 78,3 % d’admis.
    • 2016 : 80 % d’admis.

    ➡️ 2 élèves sur 3 sont classés dans les 400 premiers du concours et sont ainsi admis à l’IEP de Lille et dans les sept IEP dès l’ouverture de la phase d’admission de Parcoursup.

    ➡️ Nos élèves obtiennent des notes excellentes :
    3ème meilleur admis du concours avec 17,7/20 de moyenne générale. Un grand bravo à Eric.
    Meilleure note en histoire : 19,44/20 ! Une performance exceptionnelle de Côme.
    Meilleure note en anglais : 19/20 ! Trois de nos élèves atteignent ce score en 2025.

    Félicitations à tous, étudiants et professeurs, pour ces magnifiques réalisations.

    Nos étudiants ont de quoi être très fiers de leur année ! A eux désormais de continuer à viser l’excellence et à poursuivre leurs rêves avec autant de passion et de rigueur.


    Découvrez la classe préparatoire annuelle aux IEP de Région d’Ipesup en cliquant ci-dessous

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    4. Le Lycée Ipesup : d’excellents débouchés sur Parcoursup

    Les lycéens d’Ipesup bénéficient d’un encadrement spécifiquement personnalisé tout au long de leur scolarité, y compris dans l’orientation sur des filières exigeantes en France comme à l’international. Les classes sont à effectifs réduits, et l’équipe pédagogique du lycée expérimentée et passionnée. En moyenne sur les dernières années, les élèves de Terminale d’Ipesup obtiennent :

    ➡️ 100% de réussite au Baccalauréat

    ➡️ 97% de mentions, dont 89% de mentions “Bien” et “Très bien”.

    Les résultats du bac 2025 ne sont pas encore connus, mais nous sommes heureux de faire part des admissions Parcoursup 2025 de nos élèves de Terminale dans des formations d’excellence de tous types, aussi bien privées que publiques, en France comme à l’international. Nos élèves accèdent ainsi :

    • à des CPGE telles que Louis-le-Grand, Henri-IV, Hoche, Charlemagne, Condorcet, Fénelon… (et bien évidemment aux prépas d’Ipesup) ;
    • aux meilleures écoles post-bac de commerce (IESEG, BBA Essca, Bachelor ESCP, Bachelor EM Lyon, ESSCA, SKEMA…) ou d’ingénieurs (ESILV, EPF, EPITA, ECE…) mais aussi aux bachelors de Centrale-Mac-Gill ou au bachelor de l’École polytechnique (X) ;
    • aux voies universitaires publiques telles Sorbonne Université, Paris Saclay, Paris Cité, Paris Nanterre via des licences, doubles licences, la filière médecine (PASS), ou dans des établissements privés tels que l’Institut Catholique de Lille (en cycle universitaire de préparation aux Grandes Ecoles) ;
    • à des cursus à l’étranger : IE Madrid (Espagne), Université de Toronto (Canada), Penn State University ou Trinity University (USA)… et d’autres sans doute encore à venir en fonction des résultats du bac 2025.

    Merci à nos équipes pédagogiques et encadrantes pour leur excellent travail au bénéfice de nos élèves et de leurs familles.


    Découvrez le Lycée Ipesup et ses classes de Seconde, Première et Terminale en cliquant ci-dessous

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    Le Figaro Etudiant – 4 juillet 2025 : “Lycée IPESUP – Louise, 15 ans, décroche son bac et intègre le bachelor de Polytechnique”

    Découvrez aussi l’article que Le Figaro a consacré à notre lycéenne Aloïse

    5. Préparation à l’Institut national du service public (INSP, ex-ENA) : plus de 42 admissibles au concours externe 2025 !

    L’Institut national du service public (INSP, qui a pris la suite de l’Ecole Nationale d’Administration à Strasbourg) est l’opérateur public français de référence pour le recrutement, la formation initiale et la formation continue des cadres supérieurs et dirigeants de l’État. L’ambition de l’Institut national du service public est d’offrir aux cadres supérieurs de l’État une formation d’excellence, reconnue à l’international, en prise avec les défis du 21e siècle et les réalités de la société française.

    Avec une préparation ouverte, solidaire et de haute qualité, l’Institut de préparation aux études supérieures (Ipesup) contribue depuis maintenant plus de 25 ans à sa juste place, c’est-à-dire en complément des formations académiques classiques que sont les Instituts d’Études Politiques (Sciences Po Paris notamment), les Grandes Écoles de commerce (HEC, ESSEC), les Universités (Paris 1, notamment…) etc, à l’excellence des futurs hauts fonctionnaires français.

    ➡️ Au concours 2024, 27 places étaient offertes au concours externe de l’INSP ; parmi eux, 25 lauréats avaient suivi une préparation à l’Ipesup.

    ➡️ Au concours 2025, 42 étudiants ayant suivi la préparation à l’INSP d’Ipesup sont admissibles au concours externe.

    Nous tenons à saluer à cette occasion la réussite de la réforme du concours, en ceci qu’elle a permis de diversifier le recrutement à tous égards. Aujourd’hui, plus du quart des préparationnaires d’Ipesup sont boursiers du CROUS et se voient appliquer un tarif solidaire – notre préparation se voulant, de manière générale, accessible à tous. Nous notons aussi avec satisfaction une plus grande diversité en termes de formation antérieure. En particulier, les candidats issus des Grandes Écoles de commerce comme HEC, l’ESSEC ou l’ESCP (dont certains furent, d’ailleurs, nos anciens élèves lorsqu’ils étaient préparationnaires…) constituent désormais une part significative des lauréats.

    Nous adressons toutes nos félicitations aux professeurs, correcteurs, et bien sûr à nos étudiants pour cet excellent résultat.


    Découvrez la prep’INSP 2026 d’Ipesup en cliquant ci-dessous

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    6. Procédure d’admission à Sciences Po Paris : 65 % de nos élèves admis en 2025 !

    Nous procédons actuellement au recueil des résultats d’admission définitifs à Sciences Po, à mesure que les dernières réponses de nos étudiants nous parviennent, mais nous savons d’ores et déjà que l’année 2025 sera un excellent “cru”, puisqu’il est désormais établi que :

    ➡️ Chiffre provisoire – Plus de 55% (estimation prudente ; résultats en cours de collecte) de nos élèves sont admissibles à Sciences Po Paris en 2025

    ➡️ Chiffre provisoire – Le taux de transformation “admissibles → admis” avoisine les 85% à ce stade des réponses reçues.

    ➡️ Chiffre provisoire – Notre taux d’admission devrait, comme chaque année, dépasser les 40%. Il faut mesurer le caractère exceptionnel de ces résultats, lorsque l’on sait à quel point l’Institut d’Etudes Politiques de Paris est sélectif. De 10-11 % il y a quelques années, le taux de sélection à l’IEP de Paris est en effet passé à 8,5 % au niveau national.

    Suivre une préparation à Ipesup permet de multiplier par 5 vos chances d’admission à Sciences Po dès la classe de Terminale.

    ➡️ Mise à jour 08/07 – Taux d’admissibilité et d’admission en très forte hausse ! Nous avions annoncé plus de 55 % d’admissibles, puisque nous étions en cours de collecte de nos résultats. Nous sommes désormais en mesure de confirmer que les chiffres définitifs ont largement dépassé nos premières estimations. Les résultats 2025 sont absolument remarquables, puisque :

    ➡️ Chiffre définitif – 76 % de nos étudiants sont admissibles à l’IEP de Paris

    ➡️ Chiffre définitif – 65 % de nos étudiants sont admis à l’IEP de Paris, soit un taux de transformation de 85,1 %


    Découvrez les préparations d’Ipesup au concours de Sciences Po Paris en classes de Première et de Terminale

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    En conclusion : des résultats 2025 élevés et en hausse sur toutes nos préparations

    Classes préparatoires scientifiques, Classes préparatoires commerciales, Sciences Po, Lycée, Classe annuelle de préparation aux IEP de Région ou encore Préparation au concours de l’INSP… c’est très simple, nos résultats 2025 sont en hausse sur toutes nos préparations.

    Alors un grand merci à nos élèves pour leur travail, à leurs professeurs pour leur engagement, aux équipes pour leur dévouement.

    Au quotidien, c’est toute une communauté éducative qui œuvre pour la réussite de ces jeunes, pour les aider à intégrer les meilleurs établissements du pays.

    Merci et bravo à toutes et tous.



    Le journalisme en France en 2025

    1. Profession journaliste : qui sont les 34 476 cartes de presse ?

    13 000 cartes de presse en 1975, presque 35 000 aujourd’hui, la profession a connu une croissance nettement supérieure à celle de la population active française. Certes, l’on pourrait souligner une forme de stagnation depuis quelques années mais une étude plus pointue montre que la profession compte chaque année environ 5% de nouvelles demandes de carte de presse qui compensent à peu près le non-renouvellement lié à la fin d’activité qui recoupe les départs à la retraite et les reconversions professionnelles. De plus, le nombre de cartes de presse permet de donner une vue d’ensemble mais certains écrivent des piges et des articles sans avoir la carte professionnelle et le journalisme est souvent une activité occasionnelle ou de complément pour nombre de correspondants et de localiers. La carte de presse permet de recenser ceux qui travaillent régulièrement et dont le journalisme est la principale source de revenus.

     

    Gutenberg résiste.

    Le secteur de la presse écrite reste le secteur dominant si l’on y inclut les articles publiés en ligne. Sa part domine régulièrement. En 2024, elle pèse à peine 53% du total, soit 10 points de moins depuis 2000. Et la baisse atteint le double si l’on s’attache simplement aux premières demandes.

    Le secteur de la télévision s’accroît régulièrement et sa progression atteint 8 points depuis 2000. Et la radio progresse légèrement, passant de 8% des cartes à 10,5% de 2000 à nos jours.

     

    Une profession qui se féminise.

    Les femmes représentaient 40% des cartes en 2000. Aujourd’hui, ce pourcentage flirte avec les 50%. Elles sont devenues majoritaires dans les premières demandes, à hauteur de 55%. Dans la presse écrite, leur part avoisine désormais les 41% tandis qu’elle plafonne à 46% en TV, radio et agences de presse.

     

    Une profession qui prend de l’âge.

    Si les jeunes restent motivés par le journalisme, si l’on en croit le nombre de candidats aux concours des écoles de journalisme, l’on constate cependant que l’âge moyen des journalistes flirte désormais avec les 46 ans, soit près de 4 ans de plus par rapport à l’an 2000. Le vieillissement s’explique sans doute par le recul général de l’âge de la retraite et par le fait que les journalistes les plus chevronnés sont aussi ceux qui sont les mieux protégés en cas de plan social.

     

    De plus en plus de précaires ?

    Parmi les premières demandes de carte, les CDI sont désormais minoritaires avec environ 30% du total face à 24% de CDD et 46% de pigistes. En 2000, les CDI représentaient 60% des demandes de premières cartes. Ce phénomène est la traduction d’une gestion plus flexible de toutes les rédactions quel que soit le secteur envisagé. Cela a pour conséquence d’individualiser de plus en plus la profession et aussi d’en réduire l’attractivité. Les inégalités de revenu selon les statuts accentuent encore le flou et l’incertitude qui pèsent sur le choix du métier. Le revenu mensuel brut médian des journalistes en CDI est de 3700 euros pour les CDI en poste face aux 2100 euros des pigistes et des 1955 euros des CDD. A cette inégalité, s’ajoute une différence de 10% en défaveur des femmes journalistes en CDI par rapport à leurs confrères masculins. La profession demande un niveau de qualification de plus en plus élevé en termes de formation générale de base et de formation professionnelle mais les revenus n’ont pas nécessairement suivi. Le métier de journaliste demande une forme d’abnégation et requiert comme un parcours initiatique ardu mais il ne faut jamais perdre de vue que tout cela s’explique par les bouleversements économiques, techniques et culturels qui sont à l’œuvre dans la société française.

     

    Des cursus reconnus.

    14 cursus de formation professionnelle reconnus par la profession s’adressent à des diplômés de l’enseignement supérieur à partir du niveau L3. Ces cursus doivent être soigneusement distingués de très nombreuses officines qui existent, notamment à Paris, et qui n’offrent pas toutes les garanties en termes de qualité et, surtout, en termes de débouchés. Il faut distinguer également les cursus professionnels reconnus des cycles universitaires d’Information-Communication qui n’offrent qu’une initiation culturelle au métier du journalisme ainsi que des bases en déontologie et de sociologie des médias. Entre 2000 et 2025, la part des journalistes issus des écoles reconnues est passée de 12 à 20% des titulaires de cartes de presse. C’est une mutation importante, qui traduit à la fois la montée des exigences du métier et une volonté de s’inscrire contre la précarité. Les diplômés des « bonnes écoles » de journalisme représentent même jusqu’à 30% des journalistes en CDI, en radio, TV et en agences de presse. Et leur salaire est en moyenne supérieur de 10% à celui de leurs confrères formés dans d’autres cadres.

     

    Sortir du pessimisme.

    Un diplôme permet de sortir du marasme. Car il ne faut pas tomber dans le piège du négativisme journalistique qui s’appuie sur quelques indices comme le raccourcissement des carrières qui seraient aujourd’hui en moyenne de 15 ans et sur le fait que de nombreux journalistes quittent prématurément le métier pour travailler dans la communication, l’enseignement, la création culturelle ou le commerce et la restauration. Ce pessimisme, déjà présent depuis quelques décennies, s’est renforcé récemment avec le boom des réseaux sociaux qui diffusent de l’information sans véritable professionnalisme ou reprennent gratuitement des articles tirés des journaux et sites reconnus d’informations. Les journalistes craignent d’être dépossédés de leur métier et de leurs compétences. La carte de presse elle-même ne permet plus de distinguer le journaliste des autres professionnels puisque certains exercent cette profession avec des statuts mal comptabilisés comme le statut d’autoentrepreneur, celui d’intermittent du spectacle ou celui de la convention Syntec qui régit les « rédacteurs d’information » qui sont employés par les « pure players ». Le pessimisme ambiant ne peut être que surmonté par l’enthousiasme et la motivation. Et une solide formation tire vers le haut et permet aussi de dépasser l’individualisme et l’isolement puisque la formation dispensée dans les écoles l’est toujours dans le cadre de cours en groupe.

     

    2. Exercer un métier

    Le journaliste a pour mission de rechercher et vérifier l’information, de la rédiger puis de la transmettre sur tout type de support. C’est donc avant tout un rédacteur, un spécialiste de l’écriture, y compris dans l’audiovisuel où les informations sont d’abord écrites avant d’être lues ou présentées. Mais le journaliste doit aussi témoigner, filmer, interviewer, enregistrer, photographier, monter des images, mettre en page. Ecrire est bien une fonction première et fondamentale du journalisme mais le métier repose sur différents savoir-faire qui sont enseignés dans les différentes écoles de journalisme.

     

    De nombreux métiers dans la presse écrite.

    Le journalisme écrit, l’héritier direct de Théophraste Renaudot, recouvre une gamme très large de métiers que les étudiants en école de journalisme découvrent pendant les stages obligatoires, notamment en première année. Il existe une première distinction entre la presse quotidienne et la presse magazine mais au sein de ces deux grands ensembles, les métiers sont légion. Dans la presse quotidienne, on peut travailler dans un quotidien régional ou dans un quotidien national et l’on comprend aisément que la démarche du localier sur le terrain n’est pas de même nature que celle du journaliste spécialisé de la presse écrite nationale, du grand reporter ou du correspondant à l’étranger. La presse magazine offre aussi une gamme très large de métiers, à la fois des métiers de terrain et des métiers où le journaliste réalise des enquêtes de son bureau à partir d’une documentation ou de différentes interviews. La presse magazine est le plus souvent une presse spécialisée, ce qui ne signifie pas que l’on n’est pas nécessairement spécialiste d’un sujet que l’on maîtrise depuis toujours. L’on devient parfois spécialiste d’un sujet que l’on découvre avec passion sur le tard. On voit bien que la presse écrite ne consiste pas seulement à écrire mais aussi à chercher l’information. Le seul métier de pure écriture est celui de SR, secrétaire de rédaction, indispensable dans la presse quotidienne comme dans la presse magazine. C’est le chef d’orchestre de la rédaction, celui qui unifie le style du journal et corrige les différentes erreurs de tous ordres de ses confrères. Le poste de SR est vraiment réservé à ceux qui rédigent avec un souci extrême de la langue et de la cohérence du média.

     

    La presse audiovisuelle recoupe aussi des fonctions variées.

    La radio et la télé travaillent sur l’image mais aussi sur l’écrit. Ces deux médias offrent une gamme de possibilités professionnelles qui reposent sur plusieurs compétences : la compétence rédactionnelle, la compétence visuelle, la capacité à filmer et le talent, lié aussi au travail, de parler et de présenter. On voit ainsi que le journalisme audiovisuel est un métier de polyvalence mais aussi de spécialisation qui repose sur la maîtrise des langages et de l’image. Reporter d’images, présentateur télévision et radio, correspondant local ou à l’étranger, animateur de talk shows d’information ou éditorialiste à la radio, le journalisme audiovisuel conduit à des métiers de plus en plus exposés où le défi essentiel consiste à mettre en œuvre une rigueur permanente dans l’utilisation de l’image et du son. Une formation ad hoc en école de journalisme permet d’allier rigueur et technicité.

     

    Le journalisme d’agence.

    Ce journalisme est souvent méconnu par les aspirants au métier mais il occupe une place essentielle dans la production de l’information. L’agence produit des contenus, des dépêches informatives, des photos, des images filmées voire des reportages et documentaires qui sont ensuite vendus aux journaux, aux magazines et aux chaînes de télé. On se situe à la base du métier où l’information brute, sous toutes ses formes, est le produit objectif et fiable du travail journalistique. Le journalisme d’agence est une excellente école en soi car il apprend au journaliste à s’effacer devant l’information.

     

    La presse multimédia.

    En 20 ans, la révolution numérique a bouleversé le monde des médias. Il est évident que le travail journalistique n’a plus rien à voir avec ce qu’il fut car l’utilisation du PC et des divers outils informatiques s’est généralisée à tous les échelons de la profession. De plus, les réseaux sociaux sont à la fois des producteurs de contenus mais offrent aussi une vitrine et un relais aux articles et reportages produits par les médias en version numérique. Ainsi, la production de contenus qui utilisent à la fois le clavier pour écrire mais aussi l’image filmée ou photographiée-sans parler de l’enregistrement sonore- est aujourd’hui un type de journalisme à part entière. Produire un contenu pour Brut relève d’un genre journalistique nouveau et requiert une véritable compétence, même si les fondamentaux déontologiques et les exigences de qualité demeurent des constantes incontournables. Le rappel de la spécificité du travail journalistique par rapport à la production « grand public » est ici indispensable car les exigences de rigueur, la vérification des contenus, le respect du cadre légal qui sont les éléments distinctifs du journalisme, sont encore plus pertinents dans un contexte flou où d’aucuns ont du mal à faire la distinction entre le journaliste et le citoyen ordinaire. Le débat sur l’article 24 de la loi « Sécurité globale » a conduit les pouvoirs publics à faire une distinction nette entre le journaliste au statut professionnel comme garant de l’utilité sociale et des bonnes intentions au service de l’information du public et le citoyen ordinaire qui est suspect d’utiliser l’image à des fins malveillantes. L’ère du numérique renforce la nécessité sociale et politique d’un journalisme professionnel, contrairement à une idée reçue qui pourrait laisser croire que tout le monde est devenu de facto un journaliste en exercice ou en puissance.

     

    Passions, compétences, métiers.

    La diversité des métiers et des statuts peut donner l’impression qu’il y a une place pour chacun et qu’à la limite, le journalisme offre des possibilités professionnelles à tout diplômé pour peu qu’il ait un projet à-peu-près cohérent. Comme on l’a vu, les conditions économiques ne permettent pas à tous les aspirants-journalistes de trouver un emploi dans la profession.

    Dans ces conditions, il est utile de rappeler les prérequis que tous les journalistes chevronnés rappellent aux néophytes, voire aux lycéens qui leur demandent conseil.

    Le premier des prérequis est la passion. La passion des médias, le goût de la lecture des journaux, l’appétit de l’information. Ce qu’on appelle la curiosité du journaliste est avant tout un besoin insatiable de savoir ce qui se passe. Elle se manifeste par la volonté d’être au courant de tout, de s’intéresser à des sujets nombreux et variés dans le cadre d’une matinale radio, d’un quotidien national ou régional, d’un site d’information sur le web. Il n’y a pas de carrière journalistique sans un lien étroit et constant avec le monde médiatique. La passion pour l’actualité et le journalisme favorise l’émergence d’une culture générale qui s’enrichit, s’élargit chaque jour et chaque semaine. Le caractère généraliste n’empêche pas une forme de spécialisation et un intérêt spécifique pour un domaine précis. Ce lien entre le général et la spécialisation participe de l’essence même du métier qui consiste à traiter tous les sujets car chaque sujet est important. Ce qui est important, c’est l’angle dont la pertinence dépend autant de la culture générale que de d’une intuition matinée de curiosité.

    La recherche de l’information relève justement de la curiosité. Un journaliste, même local, fait de l’investigation. Sa connaissance du terrain et les réseaux qu’il s’est constitués lui permettent d’avoir de l’information, de décrocher de l’inédit ou de répondre au défi de la compréhension d’un événement ou d’un fait divers. L’esprit de curiosité et son corollaire, la recherche de l’information, ne connaissent pas de trêve. Les nécessités du métier font que l’on ne peut se mettre hors-jeu et considérer que le travail de recherche est bel-et-bien terminé. Le journaliste questionne les faits et cherche aussi des interlocuteurs, des témoins ou éventuellement des experts qui apportent des précisions indispensables. Le journaliste ne tient jamais rien comme acquis et un esprit routinier ou conformiste ne peut réussir, ni s’épanouir dans le journalisme.

    Le journalisme, c’est la vie dans sa dimension sociale. Bien sûr, un travail d’investigation peut être solitaire et se passer en partie dans un bureau mais le métier implique des contacts et le goût du terrain. Le journaliste n’est pas un policier, proclame la Charte du Journalisme de 1938, mais il interroge et donne la parole à ses interlocuteurs. Le goût du contact et de la conversation est inhérent au métier. La timidité est absolument rédhibitoire.

    Pour trouver des sujets, pour trouver des angles, pour soutenir une conversation, pour aborder tous les sujets, une solide culture générale s’impose comme un viatique indispensable. Par culture générale, il faut comprendre de solides repères dans le temps et l’espace, une appétence pour les spectacles et le sport, des rudiments d’économie, de droit qui permettent d’éviter les contresens, une ouverture d’esprit qui se nourrit de l’idée que d’autres peuples et d’autres gens peuvent saisir le monde d’une autre façon que soi-même.

    Mais le journalisme n’aurait aucun sens s’il ne consistait pas à transmettre l’information. La transmission passe par l’écrit, même si le produit final est un texte lu à la radio ou à la télévision. L’écriture journalistique a ceci de particulier qu’elle semble simple parce qu’accessible au plus grand nombre. Un journaliste est considéré comme un vulgarisateur et cette fonction implique que l’expression soit accessible et atteigne un objectif de concision, de précision et de clarté. En réalité, l’apparente simplicité réclame un travail préalable, un entraînement, une pratique. L’expérience permet d’assimiler les ressorts de cette écriture et l’on apprend beaucoup aussi dans les écoles de journalisme et l’on affine sa technique pendant les stages. Certains commencent à s’entraîner dans des textes qu’ils écrivent dans leur blog ou dans les réseaux sociaux. On ne peut être un bon journaliste sans la préoccupation constante de l’écriture mais on ne choisit pas ce métier uniquement parce qu’on aime écrire. L’écriture en tant que telle n’existe pas dans le journalisme, elle est toujours au service de la transmission de l’information.

    En dernière instance, le journalisme contemporain implique une maîtrise préalable des outils du multimédia et une forme de familiarité avec le monde du numérique. On apprend là aussi en s’exerçant et en pratiquant mais on ne peut plus être journaliste simplement avec un stylo, un calepin et un appareil photo. Ce préalable fait partie des recommandations incontournables à propos du métier du journalisme.

     

    3. Comment devenir journaliste ?

    S’il n’y a pas de voie royale, si la profession est accessible par des voies très variées, il est utile de rappeler à de jeunes prétendants qu’il existe un parcours, certes formaté, mais plus sûr et plus conforme aux réalités actuelles du métier.

     

    Un parcours préférentiel.

    L’accès au métier dépend d’abord des études. Jusqu’aux années 90, les journalistes étaient bacheliers pour la plupart et cette profession reposait beaucoup sur une formation sur le tas. Il existait déjà des grandes écoles de journalisme dont seulement 5 reconnues par la profession et les IEP orientaient bon nombre de diplômés vers des stages en journalisme qui débouchaient souvent sur des entrées dans le métier.

    En 2025, le niveau d’études requis a beaucoup progressé et le journalisme est devenu une profession intellectuelle. Le journalisme n’est pas réservé à des étudiants exceptionnels ayant réussi des parcours dans des grandes écoles réputées mais le niveau Bac + 3 s’est imposé aujourd’hui comme un garant en matière de qualité de sérieux, de suivi dans le travail et aussi de maîtrise de la langue française.

    Le choix du parcours universitaire est une question récurrente dans les salons d’orientation. Il est d’usage de recommander des parcours littéraires, historiques ou juridiques. On parle aussi souvent des IEP parisien et régionaux. A vrai dire, il n’y a pas de parcours universitaire à privilégier puisque les écoles recherchent des étudiants avec des profils de plus en plus diversifiés. Les écoles ne veulent plus recruter seulement les meilleurs étudiants en Lettres ou des anciens hypokhâgneux. Elles veulent aussi des scientifiques et des étudiants des écoles de commerce. Elles veulent du solide au plan académique, elles veulent une bonne maîtrise de la langue française, une culture générale correcte mais elles pensent, de plus en plus, que le parcours individuel ad hoc n’est pas nécessairement un parcours académique formaté et classique, même si ce dernier est loin d’être rédhibitoire.

    Pour être clair et définitif, l’étudiant intéressé par une orientation professionnelle tournée vers le journalisme, peut choisir le cursus qui lui convient avec l’idée qu’un cursus généraliste avec de l’économie, de la géopolitique et de la sociologie, un parcours de type « Sciences humaines » sera profitable de toutes les façons. Mais si l’on est scientifique, si l’on est porté vers les carrières commerciales, il ne faut pas aller à l’encontre de ses tendances, il faut y aller avec détermination.

    Ce parcours universitaire n’est pas une fin en soi et beaucoup d’étudiants poursuivent leurs études supérieures par précaution, au cas où le métier pourrait les décevoir. Pour celui qui veut devenir journaliste à part entière, le cursus universitaire est aussi un moyen de réussir les concours des écoles. Par conséquent, le niveau Licence est nécessaire et suffisant. Dans une certaine mesure, un Master n’apporte rien à un étudiant, quel qu’il soit, si celui-ci est déterminé à devenir journaliste.

     

    Faire des stages.

    Pour conforter sa motivation, le futur journaliste a intérêt à mieux connaître la profession qu’il envisage d’exercer. Pour sortir aussi des clichés et des images trop parfaites du métier, pour se débarrasser de tout angélisme.

    La première démarche consiste à prendre contact avec des journalistes, de tous les médias, de tous les horizons. Y compris des journalistes de proximité, de la presse locale. Ce contact permanent permet de mieux comprendre les enjeux du métier, ses méthodes, ses difficultés et ses avantages. Ce sont les journalistes qui parlent le mieux de leur vie. Et qui en offrent l’image la plus réaliste.

    Ensuite, il faut concrétiser son envie de journalisme par plusieurs stages. Certes, les étudiants reçus aux concours des écoles n’ont pas tous fait de stage mais un stage abouti apporte au candidat beaucoup d’assurance à l’oral. Et le stage peut être un des sujets de l’entretien de motivation au moment de l’oral.

    Beaucoup d’étudiants, qu’ils soient au lycée ou à l’université, se plaignent de ne pouvoir obtenir un stage car on leur rétorque qu’il faut être élève dans une école pour prétendre en faire un. Il faut contourner l’obstacle en faisant jouer ses relations éventuelles et en insistant le plus possible auprès des journaux et autres médias. A la limite, la démarche insistante est un bon test de motivation et un bon test aussi de la capacité à convaincre.

    Tout stage est bien perçu par le jury, qu’il soit stage d’observation ou stage actif, stage officiel avec convention de stage ou stage officieux. Le jury du concours s’intéressera au vécu du stagiaire, il recueillera avec intérêt ses réactions par rapport au métier, il sollicitera le candidat pour lui demander un compte-rendu d’expérience. Les réactions du candidat constituent un élément important pour juger de sa motivation.

    Le mieux, ne parlons pas d’idéal, est de faire des stages en presse écrite, radio, télévision, de créer de la variété dans le cursus, de montrer qu’on veut connaître avant de trancher. Tout contact pour un stage est bon à prendre et à utiliser. Y compris en régions, y compris en presse locale.

     

    Écrire.

    On peut toujours écrire avant de prendre des cours d’écriture journalistique. On ne sera pas nécessairement en phase avec l’écriture professionnelle mais on apprendra à choisir des sujets, on apprendra à choisir des angles, on apprendra à vérifier les informations, à les recouper. La participation à un journal lycéen ou étudiant est une bonne approche du métier, même si elle n’a pas de prétention professionnelle.

    Dans le cadre de la maîtrise des supports journalistiques nouveaux, la rédaction de posts d’actualité pour Facebook constitue une approche qui débouche sur une forme de familiarité avec le numérique. La tenue d’un blog thématique est aussi une bonne approche de l’écriture à condition que l’on traite de sujets d’actualité, par exemple de l’actualité culturelle. Il vaut mieux écrire sur ce que l’on connaît et attacher la plus grande importance à la précision des informations. La rigueur est une des composantes essentielles du métier et elle conduit à s’affranchir de l’image romantique et littéraire du journalisme.

     

    S’immerger. Et aimer.

    Comme nous l’avons dit dans le chapitre précédent, on ne peut devenir journaliste si l’on n’aime pas les médias, si l’on n’aime pas les journalistes ou l’actualité. La lecture quotidienne d’un journal, en version papier ou en version numérique, la fréquentation des newsmags français et anglo-saxons, l’écoute d’une matinale radio tous les jours, le suivi des chaînes tv d’information et des émissions de reportage du type «  Envoyé Spécial », tous ces éléments confortent votre envie de faire du journalisme. Si ce n’est pas le cas, si vous n’êtes pas en mesure de consacrer du temps aux médias, si l’actualité, pour vous, est d’un intérêt relatif et épisodique, vous avez peu de chance de vous épanouir plus tard.

    Le journalisme implique que l’on aime, cet amour surmonte tous les aspects difficiles que comporte le métier. Et l’amour passe par des modèles, des repères, des journalistes qu’on apprécie particulièrement, dont on reconnaît le talent.

     

    Se projeter.

    A partir des repères que l’on se crée, à partir de signatures que l’on apprécie, à partir du ton et du style que l’on veut égaler, il y a l’ébauche d’un projet. Le projet permet d’envisager ce que l’on fera plus tard, par quelle porte on pourra entrer dans la profession.

    Le projet n’est pas définitif mais il a du sens par rapport au dossier et aux entretiens de motivation. Et le jury sait bien que le projet changera en fonction des expériences de stage et des cours. Cependant, le projet est un bon test de la connaissance du métier et de l’ambition du candidat. Le projet d’un candidat à une grande école de journalisme doit être réaliste et ambitieux à la fois.

    On ne peut envisager d’être un correspondant local toute sa vie si l’on veut intégrer un cursus ambitieux. Ni devenir un paparazzi qui se cache dans une poubelle pour prendre des photos.

    Tout est possible….mais le journalisme ne s’exerce pas dans la routine, ni selon le cours tranquille d’une rivière paisible.

    Bien entendu, vous pourrez toujours rencontrer un journaliste chevronné revenu de tout et un chanceux qui a pu bénéficier d’un soutien inespéré. Ceux-là vous diront qu’il ne sert à rien de se préparer, de faire des stages, de suivre des cours, de se doter d’une culture journalistique. La chance et le talent. La croyance que la chance et le talent surmontent toutes les épreuves, toutes les difficultés, toutes les incertitudes. Belle illusion, dangereuse illusion.

    Et, pour atteindre votre objectif, il faut passer par une école reconnue et gérée selon un rigoureux cahier des charges. Ce passage implique une solide préparation dans un institut sérieux et efficace comme l’Ipesup.

    DÉCOUVRIR NOS FORMATIONS > RÉUNIONS D’INFORMATION >



    Candidatures en CPGE

    L’Institut de Préparation aux Etudes Supérieures (IPESUP) est, depuis sa création en 1974, un établissement privé d’enseignement supérieur libre, c’est-à-dire ne bénéficiant d’aucune subvention des pouvoirs publics. C’est pourquoi les candidatures dans nos classes préparatoires ne transitent pas par la plateforme Parcoursup, mais s’effectuent directement depuis notre site internet.

    Candidatures en CPGE scientifiques, en Prépa ECG et en Prépa IEP de Région : mai 2025

    Les candidatures restent ouvertes en ce mois de mai.

    Pour déposer un dossier de candidature, vous devrez fournir les relevés de notes de l’année en cours disponibles à la date de la candidature, les bulletins de l’année précédente, et des bonnes copies que vous aurez rédigées en temps limité en classe, dans les matières correspondant à votre filière (voir le détail sur chaque espace de candidature).

    L’avis de votre professeur de mathématique sur la poursuite de vos études en classes préparatoires est également souhaité (sauf Prépa IEP de Région). Si ces éléments nous paraissent prometteurs, nous vous invitons à un entretien avec la direction pour évaluer votre niveau et vos motivations à intégrer nos classes. Lorsque cela est pertinent, un oral de mathématiques peut également être organisé pour évaluer votre niveau dans cette discipline. La réponse définitive vous est donnée sous une semaine environ.

    Conseil : n’attendez pas Parcoursup pour candidater. Nous recevons de nombreux dossiers juste après les premiers résultats nationaux, et, s’il reste généralement quelques places à pourvoir à cette date, il est dans votre intérêt bien compris de postuler dès le mois de mai…

     

    Nos classes préparatoires ECG

    Notre établissement accueille, à la rentrée 2025 :

    • des élèves de Terminale souhaitant entamer une première année de prépa ECG (classe préparatoire économique et commerciale en voie générale). Quatre parcours sont proposés :
      • Mathématiques Approfondies + Histoire, Géographie et Géopolitique du monde contemporain (HGG)
      • Mathématiques Approfondies + Histoire, Géographie et Géopolitique du monde contemporain (HGG)
      • Mathématiques Appliquées + Economie, Sociologie et Histoire du monde contemporain (ESH)
      • Mathématiques Appliquées + Economie, Sociologie et Histoire du monde contemporain (ESH)
    • et, en nombre restreint, quelques étudiants de classes préparatoires souhaitant changer d’établissement en cours de cursus (ou redoubler leur seconde année) pour viser les “Parisiennes”.

    Frais de scolarité : 14.000 €
    Déposer un dossier : https://ipesup.myapply.online/login

     

    Nos classes préparatoires scientifiques

    Le groupe IPESUP a une longue histoire avec la filière scientifique. Créé par deux normaliens Ulm-Sciences, Patrick Noël et Gérard Larguier, IPESUP a ouvert une section scientifique en 1993 (stages intensifs et classe annuelle de “PC* 5/2”), puis l’établissement spécialisé Optimal Sup Spé dans le soutien scolaire en math sup / math spé en 2005. Depuis 2022, le groupe IPESUP abrite quatre classes préparatoires scientifiques. Nous accueillons

    • des élèves de Terminale de bon niveau souhaitant entamer une première année de prépa scientifique. Trois filières sont proposées en math sup :
      • Mathématiques, Physique et Sciences Industrielles (MPSI)
      • Physique, Chimie et Sciences Industrielles (PCSI)
      • Mathématiques, Physique, Ingénierie et Informatique (MP2I)
    • quelques élèves souhaitant nous rejoindre après une première ou deuxième année de prépa scientifique pour viser le top-12 des Grandes Écoles d’ingénieurs. Trois classes sont proposées : MP*, PC* et MPI*.

    Frais de scolarité : 14.000 €
    Déposer un dossier : https://ipesup.myapply.online/login

    Journée Portes Ouvertes – Prépa scientifique le 24 mai 2025. Si vous n’avez pas participé à notre JPO des prépa en février dernier, veuillez noter que nous avons une dernière Journées Portes Ouvertes dédiée aux classes préparatoires scientifiques. Elle est organisée exclusivement en présentiel dans notre campus parisien. Inscriptions ici.

     

    Notre classe préparatoire aux IEP de Région

    Véritable hypokhâgne, fléchée Sciences Po, cette classe prépa contemporaine est dédiée à l’enseignement des Sciences humaines et sociales, ou dit autrement des Humanités politiques :

    • Histoire et relations internationales
    • Langue vivante
    • Philosophie et lettres
    • Economie, économie politique, sociologie

    Une pluridisciplinarité séduisante quand, à 18 ans, on ne sait pas encore précisément vers quelle discipline s’orienter.

    Notre classe ouvre la voie à plusieurs débouchés, le cas échéant cumulatifs :

    • par concours (81,6% de succès en moyenne sur 7 ans) : Les IEP de Régions, principalement le concours commun du réseau ScPo (pour une admission en 1A), celui de Lyon 2A ou d’Aix 2A, et la filière FIFE de Lille.
    • par équivalence : inscription cumulative en Histoire avec l’université Paris-Sorbonne. En fin d’année, sur proposition du conseil de classe, nos étudiants peuvent être admis en L2 d’Histoire, mais aussi en Lettres, Philosophie, Géographie ou Anglais, garantissant ainsi des alternatives solides et, au final, assez ouvertes.
    • par examen (« partiels ») :
      1. Diplôme national de licence de droit avec l’Université Paris Panthéon-Assas
        L’IPESUP propose également de tutorer ses étudiants qui souhaiteraient suivre un double cursus Prépa IEP – études de droit. La formation délivrée est celle de la licence numérique d’Assas. Une fois diplômé de la L1 de droit avec Assas, notre étudiant aura le choix soit de continuer (ou pas) sa licence numérique avec Assas, à partir de l’IEP qu’il aura intégré, soit de faire valoir son résultat pour une admission à la double compétence Droit-Science politique de la FACO Paris.
      2. Admission à la double compétence Droit-Science politique de la FACO Paris
        Dans l’éventualité où ils n’intègreraient pas directement un IEP, nos étudiants ayant suivi avec succès le double cursus IPESUP Prépa IEP – Assas études de droit pourront être admis à poursuivre leurs études en présentiel dans les locaux de la FACO Paris en L2 de Droit-Science politique. Ils pourront ainsi continuer à étudier le droit et la science politique dans une faculté.

    Frais de scolarité : 9.800 €
    Déposer un dossier : https://ipesup.myapply.online/login

     

    Découvrez aussi les classes du Lycée Ipesup

    Les candidatures sont également ouvertes pour nos classes annuelles de Lycée. Le Lycée Ipesup porte un projet pédagogique ambitieux, tourné à la fois vers l’excellence académique et vers l’épanouissement personnel. Petits effectifs, excellents professeurs, dimension internationale, scientifique, culturelle… Faire le lycée IPESUP, ce n’est pas seulement faire ses “humanités”, c’est aussi grandir dans un environnement d’exception, au contact de nos préparationnaires

    Notre Lycée à Paris favorise à ses élèves l’accès à toutes les formations aux filières sélectives post-bac préparées dès la Terminale au sein du Groupe Ipesup : Médecine, admissions directes (commerce et ingénieurs), Sciences Po, Classes Préparatoires aux Grandes Écoles (ECG, Scientifique).



    Dates DEC 2025

    Les dates du DEC (diplôme d’expertise comptable) sont disponibles pour l’édition 2025 ! Comme chaque année, deux sessions sont organisées, l’une en mai et l’autre en novembre.

     

    Calendrier du DEC 2025 : deux sessions

    Dates DEC 2025 – Session de mai 2025

    Retrouvez ci-dessous les dates clés du DEC 2025 pour la session de mai 2025.

    Evénement Calendrier DEC 2025 – session de mai 2025
    Ouverture des inscriptions au DEC Lundi 13 janvier 2025
    Fermeture des inscriptions au DEC Vendredi 28 février 2025
    Epreuve de déontologie Mardi 13 mai 2025 (10h30-11h30)
    Epreuve de révision Mardi 13 mai 2025 (14h00-18h30)
    Oraux Du 5 au 23 mai 2025
    Jury national Jeudi 3 juillet 2025
    Publication des résultats Vendredi 4 juillet 2025

     

    Dates DEC 2025 – Session de novembre 2025

    Retrouvez ci-dessous les dates clés du DEC 2025 pour la session de novembre 2025

    Evénement Calendrier DEC 2025 – session de novembre 2025
    Ouverture des inscriptions au DEC Lundi 7 juillet 2025
    Fermeture des inscriptions au DEC Lundi 1er septembre 2025
    Epreuve de déontologie Mardi 184 novembre 2025 (10h30-11h30)
    Epreuve de révision Mardi 18 novembre 2025 (14h00-18h30)
    Oraux Du 12 au 28 novembre 2025
    Jury national Jeudi 8 janvier 2026
    Publication des résultats Vendredi 9 janvier 2026

    Retrouvez également ici le calendrier officiel du DEC pour l’édition 2025 avec l’ensemble des dates clés du DEC (y compris pour la VAE).

     

    Modalités d’inscription au DEC 2025

    Les candidat.e.s au DEC doivent créer un compte sur la plateforme nationale Inscritnet PRO. Les frais d’inscription s’élèvent à 50 € par épreuve. Les dossiers d’inscription au DEC doivent être envoyés par voie électronique. Les candidats recevront leur convocation quelques semaines avant le début des épreuves.

     

    Préparez le DEC avec les experts d’Ipesup

    Le DEC (diplôme d’expertise comptable) constitue la suite du DSCG. Il suppose notamment la rédaction et la soutenance d’un mémoire. Seule l’obtention de ce diplôme permet de se prévaloir du titre d’expert comptable aujourd’hui.

    Ipesup assure une préparation de haut niveau  du diplôme d’expertise comptable avec des professeurs experts-comptables reconnus (Sabrina Sabbah Pagès, Fabrice Heuvrard, Michel Javet), parfaitement au fait de l’évolution du diplôme et des attentes du jury…



    Sortie en librairies du livre “100 personnes qui influencent le 21ème siècle”

    Éric DUQUESNOY, ancien élève de l’École normale supérieure et diplômé de Sciences Po, directeur-fondateur de la prépa journalisme d’IPESUP, signe le livre 100 personnes qui influencent le 21ème siècle, paru en 2025 aux éditions Ellipses.

    100 personnalités qui comptent en France en nos années 2000

    Elles sont importantes car elles ont de l’influence, une influence qui s’exerce sur le réel comme sur les esprits, sur l’évolution des temps, des mœurs, des opinions. Cette capacité se mesure à l’aune des réactions et des commentaires que suscitent les actions ou propos de ces femmes et ces hommes dits d’influence.

    Dans notre siècle de communication, l’influence repose sur la capacité à susciter l’écoute, l’intérêt et parfois, l’adhésion. Même si une personnalité influente peut l’être aussi par le rejet qu’elle suscite. En somme, une influence en creux. Toute influence compte, pour le meilleur et pour le pire.

    De Bernard Arnault à Antoine Dupont en passant par Cyril Hanouna, Fabrice Luchini et François Ruffin, cet ouvrage propose 100 personnalités triées sur le volet, avec, comme il se doit pour un sujet qui comporte une dose sensible et irrationnelle, une place laissée à la subjectivité et au questionnement sur la validité, la profondeur de l’influence de chacun.

    Dans ce petit répertoire amoureux de l’influence, on apprend beaucoup sur chacune et chacun. Et il s’agit de décrypter pourquoi certains comptent beaucoup, ici et maintenant, certains provisoirement et d’autres, pour très longtemps.

     

    De la biographie à l’influence, mieux comprendre le parcours de chacun pour dessiner des perspectives

    Le livre d’Éric Duquesnoy sera une lecture à la fois utile, intéressante et inspirante, tant pour le lecteur qui a envie de mieux connaître les personnalités marquantes de notre époque, que pour l’étudiant qui souhaite approfondir sa connaissance du monde qui l’entoure. La lecture de ce livre est recommandée aux étudiants aspirant à intégrer une des 14 écoles de journalisme reconnues par la profession. L’ouvrage a en effet cette force qu’il met en perspective les parcours de chacun. Du prélude historique que constitue la biographie jusqu’à l’actualité la plus récente, l’ouvrage permet de faire le lien entre la singularité de chacun et l’influence qu’il ou elle exerce aujourd’hui. On découvre – ou re-découvre ! des aspects parfois oubliés de tel ou tel sportif, responsable politique, dirigeant d’entreprise, intellectuel ou encore artiste, qui permettent de mieux comprendre son positionnement actuel dans la société française.

    Sait-on, par exemple, que Raphaël Glucksmann fonda l’association “Etudes sans frontières”, qui réussit à faire venir des étudiants tchétchènes persécutés poursuivre leurs études en France, et qu’il a réalisé un documentaire sur le génocide des Tutsis au Rwanda, puis sur la révolution Orange en Ukraine ? Se souvient-on qu’en 2006, celui qui allait devenir en 2018 fondateur de Place Publique, et en 2024 l’égérie de la gauche de gouvernement aux élections législatives de 2024, était alors candidat aux législatives pour Alternative Libérale, une formation proche de Nicolas Sarkozy ? Sur le front international, se souvient-on que Raphaël Glucksmann fut conseiller spécial du président pro-occidental Mikhail Saakachvili en Géorgie, puis qu’en 2012, le couple Glucksmann se rendait en Ukraine pour soutenir le mouvement Euromaïdan ; son épouse, Eka Zgouladze, devenant alors ministre de l’Intérieur dans le nouveau gouvernement ukrainien ? Tout cela aide, bien sûr, à comprendre la dimension européenne et internationale de Raphaël Glucksmann et l’influence qu’il exerce d’abord au Parlement européen.

    “Raphaël Glucksmann, influent à Strasbourg, si faible à Paris” sera la conclusion de ces quelques feuilles.

     

    La prépa Journalisme d’IPESUP, une référence depuis 1991

    Depuis plus de 25 ans, Ipesup propose une préparation aux concours des Grandes Ecoles de journalisme, soit sous forme de cycle annuel, soit sous forme de stages intensifs de vacances, avec dans tous les cas l’accès à la préparation aux oraux. Voici 10 raisons de suivre la préparation journalisme

    1. Une préparation professionnelle tournée depuis plus de 30 ans vers le métier de journaliste, créée et animée par Éric Duquesnoy, ancien élève de l’École normale supérieure et diplômé de l’IEP Paris, spécialiste de géopolitique et auteur de nombreux articles sur le sujet
    2. Un taux de réussite aux 14 écoles reconnues par la profession de 74%, bien au-dessus du taux de réussite national de 11%
    3. Des professeurs pour la plupart anciens élèves des Écoles de journalisme, très bien informés sur le métier lui-même et les épreuves proposées dans le cadre des concours
    4. Un encadrement personnalisé et un vrai dialogue avec les étudiants pour les aider à renforcer leur crédibilité professionnelle devant les jurys d’admission
    5. Une préparation efficace aux écoles reconnues par la profession et en particulier à celles du top-7 (top-9 en incluant notre préparation spécifique à l’oral d’admission au Master de journalisme de l’IEP Paris et également à l’EJ Toulouse)
    6. Une aide pour les étudiants qui n’ont pas encore fait de stage dans un média à en trouver un pour renforcer leur crédibilité face aux jurys des entretiens de motivation
    7. Une assistance pour les étudiants pour remplir leur dossier d’inscription, et rédiger leur CV et leur projet professionnel par échange de mails et par rendez-vous individuels
    8. Un cycle de conférences d’actualité sur les Grands Enjeux du monde contemporain animés par les meilleurs spécialistes des questions d’actualité politique, économique et géopolitique
    9. Des quiz d’actualité interactifs à chaque session suivis de séances d’analyse approfondies, complétées par des cours d’anglais, des cours et ateliers de rédaction
    10. Une prépa à taille humaine, accessible en présentiel, en “live” à distance et en replay avec une attention portée à chaque étudiant


  • Sortie en librairies du livre "100 personnes qui influencent le 21ème siècle"