School of English Ipesup : découvrez la formation full year training

Notre nouveau cycle annuel de formation intensive en anglais se décline en 4 modules complémentaires qui se déroulent sur un peu plus d’un an pour amener tous nos stagiaires jusqu’à un niveau de certification Cambridge C1. Ces modules peuvent aussi être combinés de façon indépendante

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De nombreuses réunions d’informations sont organisées sur Zoom tout au long de l’année afin de présenter les modalités de la formation et de répondre aux questions des parents et des élèves. Inscrivez-vous dès à présent à l’une de ces réunions en cliquant ci-dessous.

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Ma vie en école – Entretien avec Chiara de Andreis, étudiante au CELSA, passée par la prépa d’IPESUP

Quel a été ton parcours universitaire avant de rejoindre le CELSA ? 

J’ai fait une licence de Lettres modernes à la Sorbonne Nouvelle. Pendant ces trois années, j’ai étudié la sémiologie, la littérature, la linguistique, un peu de philosophie, un peu d’histoire littéraire. Depuis très jeune, au lycée, je souhaite rejoindre le CELSA. J’ai donc fait en sorte de rejoindre un cursus en lien avec les matières étudiées au CELSA. 

 

Pourquoi as-tu souhaité si tôt t’orienter vers le CELSA ? 

J’ai toujours été passionnée par les médias. Au départ, je voulais intégrer le CELSA en journalisme, puis finalement j’ai choisi communication, qui me paraissait être une voie plus ouverte, moins professionnalisante au départ. 

 

Comment se passe ta vie en école ? 

Très bien, les cours et la vie associative sont très riches. 

La vie associative occupe une place très importante dans l’école, pour les professeurs comme pour les élèves. Comme dans la plupart des grandes écoles, on retrouve des associations dans presque tous les domaines : culture, cuisine, sport, danse, cinéma, œnologie, et bien sûr médias ! L’association fast and curious propose des articles exclusivement rédigés par des étudiants. 

Côté cours, différentes spécialités existent en communication. Les élèves suivent une partie de tronc commun (histoire des médias, économie, sociologie, management), et à partir du Master 1, ils se spécialisent et suivent des cours plus ciblés. Pour moi qui ai choisi la spécialité « médias », je suivrai à la rentrée prochaine des cours comme la veille médiatique ou la stratégie des médias. 

 

Participes-tu à la vie associative du CELSA ? 

Oui, je suis présentatrice de Com’air, la radio du CELSA. Je présente les actualités internes à l’école ou extérieures, lorsque celles-ci ont une répercussion sur la vie étudiante. Cette expérience m’a permis de mieux m’exprimer en public, de développer une certaine confiance en moi à l’oral. Lorsque l’on parle à la radio, il faut apprendre à poser sa voix, à canaliser son stress. On apprend tout en s’amusant, puisque cette radio reste une radio étudiante. 

Je pense que cet apprentissage des premières bases du journalisme m’a été utile, puisque je suis aujourd’hui chroniqueuse pour une chaîne de télévision. 

 

As-tu eu l’occasion de réaliser des stages ? 

Je viens d’effectuer un stage chez Brut pendant quatre mois. Cette expérience a été exceptionnelle ! D’abord, c’était ma première expérience au sein d’un vrai média. Ensuite, j’ai trouvé ça très intéressant de commencer par un média qui n’est pas traditionnel. Brut  développe un nouveau journalisme, qui adopte un angle différent pour traiter les sujets traditionnels. L’écriture aussi est beaucoup plus courte, elle a autant d’importance que les images.

 

Quelles étaient tes missions ? 

Je m’occupais essentiellement de la partie marque-média. Brut développe de la vidéo pour certaines entreprises ; c’est essentiellement grâce à cette activité que le média se finance. Je présentais donc nos prestations à nos clients, examinais leurs besoins… Nous avons par exemple travaillé avec Nike, Nespresso, Paypal, Showroom privé, ou encore la SNCF. De façon plus informelle, j’ai travaillé en journalisme sur les nouveaux réseaux : Instagram, Tik Tok, Snapshat. En effet, nous touchons facilement les publics plus matures en âge sur Facebook mais pas les moins de quinze ans, qui utilisent essentiellement les nouveaux médias. Tik Tok permet de s’adresser à cette audience. 

 

Ton cursus prévoie-t-il un échange universitaire à l’étranger ? 

Oui, je pars en échange à Milan, du mois de janvier 2021 au mois de juin. J’étudierai la communication à l’Université catholique de Milan, partenaire du CELSA. 

 

Quel est ton cours préféré ? 

Le cours de Sociologie des médias. On apprend vraiment la manière dont sont construits les médias : on interroge le rôle des journalistes dans la société, pourquoi ils interviennent à tel ou tel moment plutôt qu’un autre. Ce cours montre également qu’en fonction de l’époque, le traitement de l’information varie. Il y a aussi des valeurs et des principes propres à la profession : un reporter par exemple doit toujours parler de ce qu’il a vu sans donner son avis sur le sujet. En Interview, le journaliste doit rester impartial. 

 

Quel est ton professeur préféré ? 

Valérie Jeanne-Perrier. C’est une des plus grandes stars du CELSA. Elle est aussi forte en management des médias qu’en journalisme pur. Elle allie les deux qui sont pourtant souvent en guerre. 

 

Quelles sont à tes yeux les principales qualités de ton école ? 

La diversité des cours, la richesse de la vie associative, et la taille humaine de l’école. Nous ne sommes que 150 environ par promo, ce qui fait que tout le monde se connaît et s’entraide. 

 

Que t’a apporté la prépa CELSA d’IPESUP ? 

Beaucoup. J’ai passé le concours une première fois en deuxième année (L2), j’ai été admissible mais ai échoué à l’oral. En troisième année, j’ai intégré avec 15/20 à l’écrit et 14/20 à l’oral. 

J’ai donc fait deux années de prépa. Je me souviens des cours de Pascal Dayez, qui n’étaient jamais ennuyeux, qui nous faisaient aimer l’actualité. En méthodologie, il nous permettait de comprendre ce qu’il faut mettre dans sa copie, comment la structurer. Et surtout, tout en étant exigeant, il nous détendait face au concours, alors que j’étais super stressée. En deuxième année, je faisais surtout les concours blancs. L’un des grands atouts de la prépa, ce sont en effet les concours blancs : ils apprennent à gérer son temps, à avoir la bonne rédaction, à se préparer aux conditions du concours. Ils obligent à tout le temps rester connecté à l’actualité.   

De manière générale, les professeurs sont très à l’écoute. 

 

En quoi consistent les épreuves ? 

L’épreuve d’admissibilité est une épreuve écrite de quatre heures qui se divise en deux parties : une partie commune à tous les parcours de communication, de réflexion. Il s’agit d’une dissertation en deux parties avec plan apparent, dont le point de départ peut être un mot (par exemple « fake » en 2018), ou une citation (d’Emile de Girardin en 2019). 

La deuxième partie de l’épreuve est spécifique à la spécialité choisie. Il s’agit d’une analyse sémiotique et sémiologique d’un document, généralement une image. 

L’admission se fait sur deux entretiens : un entretien d’anglais, et un entretien de personnalité et de motivation.

 

Conseillerais-tu la prépa CELSA d’IPESUP ? Si oui, pourquoi ? 

Oui, car elle est très bien organisée. Le professeur principal, Pascal Dayez, est vraiment très compétent. 

 

Quels sont tes projets ? 

Travailler dans un média audiovisuel, en France pour commencer puis éventuellement à l’étranger. 

 

As-tu un mot à adresser aux lycéens et préparationnaires qui te lisent ?  

Il n’y a que l’entraînement qui puisse permettre de réussir un concours comme celui du CELSA. 

 

Merci à toi Chiara d’avoir accepté cet entretien !

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Pour la conférence d’inauguration de notre prép’ENA d’été 2020, nous avons eu l’honneur d’accueillir Nicolas Baverez, essayiste, avocat à la Cour d’Appel de Paris et membre du comité de direction de l’Institut Montaigne, sur la thématique : Le « monde d’après » la crise du Covid-19

La prépa ENA d’Ipesup c’est :

  • une équipe pédagogique expérimentée composée d’énarques et d’académiques de haut niveau
  • un système de parrainage par un élève ou ancien élève de l’ENA pour chaque étudiant
  • une plateforme pédagogique digitale
  • des conférences sur les grandes thématiques d’actualité animées par des intervenants reconnus

 

Nos résultats 2019 :

  • 47,5 % des admis ont suivi une préparation IPESUP
  • 64% des admissibles sont parvenus à être admis (moyenne nationale : 44%)

Tout au long de l’année, des spécialistes reconnus interviennent pour donner aux préparationnaires de toutes nos filières (ENA, Sciences Po, prépa HEC…) les clés pour réussir

Pour vous inscrire à l’une de nos réunions d’information : Je m’inscris aux réunions

Vous trouverez sur cette page des témoignages d’élèves et de parents à propos de la mise en place d’Ipesup Digital via la plateforme Zoom. Nous tenons à remercier l’ensemble de nos intervenants et élèves pour leur implication.

Je découvre les préparations à distance

Témoignages Sciences Po 

Mission accomplie sans un seul problème technique. Bravo encore pour la préparation en amont !

Olivier MdC, jury à la préparation aux oraux de Sciences Po Paris (élèves dispensés).

 

Je tiens à vous transmettre, comme aux professeurs, tous mes remerciements les plus chaleureux pour réussir comme ils le font à continuer à travailler avec les élèves dans ces circonstances si difficiles pour tous. Je sais qu’ils font, tout comme vous, de la réussite de leurs élèves une priorité.

Mme G., mère d’étudiant de la Prépa annuelle Sciences Po Région. Mercredi 18/03/2020

 Nous avons eu cours en visioconférence sur Zoom. Les cours d’histoire (par exemple) sont similaires à ceux qu’on avait physiquement mais en format virtuel. C’est une manière de faire cours tout à fait originale et plaisante.

Nicolas, élève de la Prépa annuelle Sciences Po Région. Jeudi 19/03/2020

 

Merci pour votre mobilisation qui nous a permis d’avoir cours rapidement. Le format des cours sur Zoom est très pratique.

Jade, élève de la Prépa annuelle Sciences Po Région. Jeudi 19/03/2020

« Mon fils, a suivi un stage de math avec vous, tous les matins, de 8h à 10h30. Je voulais sincèrement vous remercier, Benjamin m’a rapporté que vous lui aviez fait aimer votre matière ! Et que jamais il n’aurait pu imaginer cela !

Bref ce stage lui permet de mieux se projeter dans l’avenir , ce qui dans cette période est plutôt une très belle chose. »

Madame B, mère de Benjamin, stage de Printemps, Enseignement de spé Maths, Sciences Po (Paris) Première.

Témoignages Lycée

Encore  un grand merci pour la qualité des cours de français qui ont captivé ma fille et pour la pédagogie de votre professeur !!

La semaine a été très très bénéfique et instructive pour elle !

Elle recommencera d’autres stages sûrement !!

Madame D., mère de Romane, PREPASUP, stage de Printemps, 1ère, Français

Aucun problème avec votre plateforme multimédia. Ma fille Romane a été enchantée de son premier cours de Français !

Madame D, mère de Romane, stage de Printemps, Français, Première.

Merci d’être à nos côtés constamment, durant cette période compliquée.

C., élève de Terminale ES.

Merci pour avoir accompagné les élèves  dans ces moments d’incertitude .

Ce n’est pas facile pour les élèves ni pour les professeurs ! Bravo à Prepasup.

Madame T, mère d’un élève de Terminale ES.

Je voulais remercier Prépasup pour la mise en place de la plate-forme de travail ZOOM ainsi que du suivi des enfants. Cette plate-forme permet un travail soutenu et toujours de très bon niveau de nos enfants.
Mme R., mère d’élève de Terminale ES classe annuelle Prépasup. Jeudi 26/03/2020

A nous de remercier tous les professeurs et encadrants qui ont permis à nos enfants de retrouver leurs professeurs, leurs cours et leurs amis à distance et de façon interactive en moins de 2 jours.

Notre fils est stimulé et engagé !

Madame de C, mère d’élève de Terminale S, classe annuelle de PREPASUP. Lundi 23/03/2020

Les élèves de TS vous adressent leurs plus sincères remerciements pour les efforts anticipés que vous fournissez afin d’assurer des classes dans les plus brefs délais. Nous sommes conscients de la difficulté de l’exercice.

Délégué de la Terminale S, classe annuelle de PREPASUP. Mercredi 18/03/2020

Je tenais à vous remercier vivement pour la mise en place des cours par internet, et à saluer l’implication et le professionnalisme de toute l’équipe PREPASUP.

Mme M., mère d’élève de Terminale S, classe annuelle de PREPASUP. Mercredi 18/03/2020

Merci à toute l’équipe pédagogique pour ce travail remarquable de la part de tous les professeurs.

Mme M., mère d’élève de Terminale S, classe annuelle de PREPASUP. Mercredi 18/03/2020

Témoignages HEC

Bonsoir Monsieur,

En ce deuxième jour de cours à la maison, je souhaitais juste vous remercier de votre réactivité et de la prouesse technique du système mis en place.

Les cours se déroulent avec fluidité. Ma fille a eu sa première khôlle ce soir dans des conditions parfaites.

M. S., père d’élève de classe prépa HEC. Mercredi 18/03/2020

   


  • Ipesup Digital - Nos élèves et leurs parents témoignent
  • Le capital se substitue-t-il au travail ?

    C’est une crainte séculaire. Elle traverse les âges, des « briseurs de machines » inspirés par l’anglais Ludd en 1811 à la révolte des canuts de Lyon en 1831, qui semblent des préludes à la grande crise sociale européenne de 1848, au terme de laquelle des ateliers nationaux mettront au travail des chômeurs devenus trop nombreux.

    La seconde révolution industrielle, et les emplois crées directement comme indirectement par le développement des chemins de fer ailleurs qu’en Angleterre, sont venus calmer tout ce petit monde et redonner foi en le progrès technique, jusqu’en 1873 quand retentit le krach de la bourse de Vienne et que débute la première grande dépression.

    Au fil du temps et au gré de ce machinisme triomphant, exit beaucoup d’ouvriers de leurs entreprises de textile, de cochers, de fabricants de calèches où s’émancipait Emma Bovary. Mais le XIXème siècle, au cours duquel se sont généralisées des innovations conduisant à parler de révolutions industrielles n’a-t-il pas permis « d’absorber » un supplément de population active d’une Angleterre multipliant sa population par deux ? N’a-t-il pas été ce « siècle de mise au travail » (Marchand et Thélot, Le travail en France 1800-2000) ?

    Mais ce que la croissance fait oublier, toute crise le rappelle. A chaque crise, la question resurgisse et trouve plus d’écho. Ainsi, deux siècles après le mouvement luddiste, les craintes sont toujours présentes, car « The future of employment » laisserait présager, selon Frey & Osborne en 2013, la disparition de 47% des emplois des pays de l’OCDE. Le grand fautif cette fois ? Le numérique. Au-delà des chiffres prospectifs, même réévalués à la baisse – moins de 10% des emplois le seraient en fait selon par l’OCDE – la question demeure : les innovations d’aujourd’hui ne seraient-elles pas plus destructrices d’emplois nets que celles du passé ?

    Marx considérait le fait pour des capitalistes de substituer du capital au travail et d’élever chacun la combinaison organique du capital comme une « loi du mode d’accumulation capitaliste ». Dans une concurrence mettant tout « sens dessus dessous », les capitalistes, individuellement, n’auraient ainsi pas conscience du caractère collectif de leur comportement qui amenuiserait la source même de la valeur – le travail source de mehrwerk (surtravail) et de plus value – et après transformation de la valeur en prix, du profit, fondement même de leur investissement et de leur existence. La contradiction serait ainsi plus encore systémique : les capitalistes ne feraient ainsi que révéler une contradiction intrinsèque au capitalisme et seraient les acteurs inconscients de sa perte. Et de la leur.

    Faut-il alors s’étonner d’un certain « retour de Marx »  en ce premier quart du XXIème siècle, au moment où, structurellement, la robotisation, le numérique, l’intelligence artificielle inquiètent quant à leurs conséquences en termes d’emploi ? Le capital – entendu ici dans un premier temps au sens originel de capital physique, induit par la formation brute de capital physique (FBCF) – risque-t-il de se substituer au travail aujourd’hui plus que par le passé ?

    Les problématiques structurelle et conjoncturelle se rejoignent en ce que la crise de 2020 offre peut-être à des entreprises, dont toutes ne sont pas exposées à une baisse de leur chiffre d’affaires, de pouvoir profiter du chômage partiel mais aussi d’accélérer la flexibilisation du travail, le travail à distance – qui peut permettre abaissement des coûts fixes comme variables – et d’avoir davantage recours à du travail indépendant et à un précariat que l’on annonçait déjà avant la crise.

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    Vous êtes en Première et, que vous souhaitiez combler des lacunes en Mathématiques liées à la fermeture des lycées ou à la difficulté du programme ou consolider vos acquis pour optimiser votre dossier dans Parcoursup, Prépasup vous permet de revoir en 20 demi-journées tout le programme de spécialité Maths de Première en présentiel ou en distanciel.

     

    Stage de spécialité Maths de Première

     

    Tout le programme de spé Maths en 20 demi-journées :

    Le stage complet :

      • 20 jours, 76 heures : 1 900 €

    Ou à la carte :

      • Algèbre + algorithmique : 8 séances, 850 € [3, 4, 5, 6, 7, 10, 17, 20 août]
      • Analyse+ algorithmique : 7 séances, 750€ [11, 12, 13, 14, 18, 19, 20 août]
      • Géométrie : 3 séances, 350€ [21, 24, 25 août]
      • Probabilités : 3 séances, 350€ [26, 27, 28 août]

    Détails

    Le stage d’été « spécial Spé Maths de Première » vous permettra de faire ou de refaire toute votre année de Première en spécialité Mathématiques en 76 heures, le matin, sur un mois de vacances.

    Pour réussir ce pari, le groupe IPESUP a choisi un professeur habitué de nos stages de Première et de Terminale, enseignant aussi en prépa et maîtrisant parfaitement ce style d’exercice intensif.

    • Pendant un mois de vacances : du 3 au 28 août
    • 3h le matin, de 9h30 à 12h30
    • « live class » en présentiel ou à distance
    • sur 76 heures, réparties en 60 heures de cours et 16 heures de devoirs (DST, DM)
    • 3 devoirs de 4h (au choix : le samedi matin ou en DM), 2 devoirs intermédiaires de 2h (DM)
    • Lors du stage du mois d’août il est possible d’ajouter 1 à 2 enseignements de spécialités (parmi Physique, SES, HGGSP) disponibles dans le stage de pré-rentrée Terminale du 17 au 29 août 

       

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    • Renforcez-vous en Maths avant d'entrer en Terminale