Entretien avec Sixtine, étudiante en Finance et Stratégie, passée par le double diplôme Sciences Po Paris – Columbia

Après une année de prépa Sciences Po Paris suivie à Ipesup en parallèle de ton année de Terminale, tu as rejoint l’IEP de Paris, puis son double diplôme avec Columbia.

 

Quel a été ton parcours de lycéenne ?

Je suis entrée au lycée Victor Duruy (Paris) en seconde où j’ai effectué ma scolarité jusqu’à mon bac. En première, je me suis orientée assez naturellement vers la section Économique et Sociale où j’allais poursuivre les enseignements qui m’intéressaient jusqu’alors : histoire-géo et SES. Je m’y suis beaucoup plu, même si je regrette a posteriori de ne pas avoir fait plus de mathématiques au lycée – qui m’auraient été très utiles plus tard pour faire de l’économie. Parallèlement, je me suis engagée en tant que membre du conseil d’administration, présidente du conseil de la vie lycéenne et j’ai participé à la création d’un club de débat. J’ai finalement obtenu mon bac en juin 2016.

 

Pourquoi t’es-tu orientée vers Sciences Po Paris ?

Assez jeune, vers la fin du collège, j’avais déjà en tête l’idée de vouloir intégrer Sciences Po. J’écoutais ma famille parler de politique et j’étais intéressée par les opinions conflictuelles qui émergeaient des discussions. Aussi, les débats des élections présidentielles de 2007 et 2012 m’ont captivée, tant sur la forme (qualités oratoires des candidats…) que sur le fond. Je lisais et écoutais l’actualité assez régulièrement. De plus, je ne savais pas précisément ce que je voulais faire, donc un cursus généraliste était ce que je recherchais. C’est donc assez naturellement que j’ai décidé de préparer le concours de Sciences Po.

 

Tu as suivi un double cursus à Sciences Po et à Columbia, en quoi cela consiste-t-il ?

J’ai suivi le Double Diplôme Sciences Po – Columbia en quatre ans (à la différence du cursus classique de Sciences Po qui s’effectue en trois ans.) Les deux premières années sont à Sciences Po, à Reims ou à Paris en fonction du moment où l’on intègre le diplôme (pour ma part, j’ai intégré le DD en 2ème année, j’étais donc sur le campus de Paris), les deux dernières à Columbia. Ce cursus permet à l’étudiant d’être diplômé des deux universités. J’ai donc été élève autant à Sciences Po qu’à Columbia – à la différence de la troisième année du cursus classique où l’étudiant est en « échange » avec l’université partenaire.

L’un des beaux atouts de ce diplôme est que l’on est « élève » dans les deux universités (et non élève en « échange »), ce qui permet de vivre une expérience académique très intense dans les deux établissements. Si Sciences Po offre un enseignement généraliste les deux premières années, on peut se spécialiser (ou non) à Columbia en choisissant une « majeure » – Sciences Politiques, Économie, Histoire… Pour ma part, j’ai choisi une majeure de Sciences Politiques, avec un intérêt poussé pour l’économie politique.

Pour ce qui concerne la vie quotidienne, c’est assez génial de vivre à Paris pendant deux ans et d’enchaîner à New York, d’avoir une éducation bilingue, de vivre dans ces deux villes qu’on ne connaît jamais assez. Mon ressenti général sur ces quatre ans est très positif. Un point à améliorer serait la communication entre les deux universités au moment du passage des élèves d’un établissement à l’autre – les choix académiques des élèves de Sciences Po ne sont pas toujours transmis de façon fluide à Columbia, ce qui peut créer des difficultés dans la scolarité à Columbia.

Le coût des études à Sciences Po se calcule à partir d’un barème dépendant du revenu des parents.

A Columbia, les frais de scolarité sont très élevés (60.000 $ par an) mais les financer se planifie bien. Les banques font des prêts très avantageux et il existe des systèmes de bourse qui permettent à l’étudiant de ne pas trop s’endetter.

 

Que retiens-tu de ta scolarité à Columbia ? 

Mes deux années à New-York ont été particulièrement intenses. J’ai énormément travaillé car les cours demandent beaucoup d’investissement la plupart du temps. Le système académique est encourageant, tous les élèves qui travaillent réussissent. Globalement, j’ai l’impression de m’être éloignée du confort que j’avais – linguistique, culturel, académique… – lorsque j’étais à Sciences Po pour arriver dans une université où il a fallu je fasse vraiment mes preuves pour réussir.

 

le campus de Columbia Univesity
Le campus de Columbia University

Maintenant que tu es de retour à Paris, quel master envisages-tu à Sciences Po ? Pour quelles raisons ?

J’ai longtemps hésité entre Affaires Publiques, Droit Économique et Finance et Stratégie. J’ai finalement choisi le dernier. Même si les enseignements ne me semblent pas intrinsèquement intéressants (comptabilité, stratégie de l’entreprise, marketing…), ils ont pour avantage d’être concrets et utiles pour un bon nombre d’opportunités professionnelles. Aussi, après avoir disserté pendant quatre ans sur des centaines de sujets qui m’ont appris à raisonner, j’ai envie d’essayer d’autres exercices que le « commentaire ».

 

Participes-tu à la vie associative de Sciences Po ?

Au Collège Universitaire, j’ai créé avec un ami une plateforme médiatique qui avait pour but de diffuser des interviews de professeurs de Sciences Po à propos des élections présidentielles de 2017. Ce projet a eu le label « d’initiative étudiante », c’est-à-dire que c’était un projet voté par les étudiants de Sciences Po et reconnu par l’administration – nous avions notamment du matériel à disposition.

Pour ma scolarité en master je viens d’intégrer la Junior Consulting de Sciences Po (JCSP). La JCSP est la junior entreprise de Sciences Po qui offre des services similaires à un cabinet de conseil pour ses clients, et qui donne l’opportunité aux étudiants de découvrir les métiers du conseil.

 

Sixtine en pleine interview d'un professeur de Sciences Po
Sixtine en pleine interview d’un professeur de Sciences Po sur l’élection présidentielle de 2017.

Ton cursus prévoit-il des stages ou des séjours à l’étranger ?

Au Collège Universitaire, un stage « de terrain » en fin de première année était prévu : j’ai passé deux mois en Inde à New Delhi dans une ONG – j’ai adoré. Ensuite j’ai fait des stages « d’été » (non obligatoires) : un au journal Le Monde, un autre dans une entreprise de communication, et cet été au pôle FinTech et innovation de l’ACPR (Banque de France). Le master de Finance et Stratégie prévoit une année de césure qui sera l’occasion de faire deux stages de six mois, en France ou à l’étranger.

 

Quel a été ton cours préféré au Collège universitaire ?

J’ai adoré les cours d’histoire, et plus particulièrement celui d’histoire du XIXème siècle. Ce cours très détaillé, destiné à exposer les dynamiques historiques du XIXème siècle, m’a donné l’opportunité de lire une multitude d’articles et de livres passionnants. J’ai été très agréablement surprise de la différence des méthodes d’enseignement de l’histoire entre le lycée et Sciences Po : le croisement des sources primaires/secondaires et les débats historiographiques que nous exposaient nos professeurs m’ont permis d’entrevoir la passionnante démarche du travail d’historien.

 

Comment t’es-tu préparée aux concours de Sciences Po Paris ? En quoi a consisté ta préparation ?

Je me suis inscrite à IPESUP l’été entre mon année de première et de terminale, où j’ai suivi un stage d’été intensif de deux semaines avec un premier concours blanc. A partir de septembre en terminale et jusqu’au concours, j’allais le samedi après-midi à IPESUP suivre des cours de préparation et j’allais également passer les concours blancs organisés par IPESUP. Parallèlement, j’ai fiché et appris le Berstein et Milza en histoire, je m’entrainais en SES grâce à des livres de cours recommandés par mes professeurs d’IPESUP et je demandais aussi de l’aide à mes professeurs de lycée. Une partie importante de la préparation consistait à me concerter avec tous ceux qui allaient passer le concours pour vérifier que j’apprenais ce qu’il fallait, que je n’étais pas en retard et que mon rythme de travail était à peu près similaire à celui des autres.

 

Qu’est-ce que ta préparation t’a apporté ?

Beaucoup de connaissances dans les trois matières au concours, une capacité à gérer plusieurs projets en même temps (préparation du bac et du concours), et une plus grande rigueur de travail. Je me souviens avoir beaucoup travaillé en terminale et d’avoir été contente du résultat !

 

Conseillerais-tu la Prépa Sciences Po Paris d’Ipesup ?

Oui ! Les cours d’IPESUP étaient de très bonne qualité, notamment en économie et en histoire, où les professeurs étaient excellents. Aussi, j’ai trouvé qu’il était bénéfique d’être pendant toute la durée de la préparation en relation avec beaucoup d’autres candidats.

 

Gardes-tu des souvenirs marquants du concours de Sciences Po ?  

Je me souviens que les épreuves écrites étaient conformes aux programmes. Autrement, je pense avoir été assez bien préparée pour ne pas en garder de souvenir traumatisant !

 

Te souviens-tu de certaines questions qui t’ont été posées lors de l’oral d’admission ?

Je me souviens qu’on m’a posé des questions sur l’actualité (pas très compliquées). On m’avait demandé si je pouvais parler de la situation au Brésil à propos de l’impeachment de Dilma Rousseff ; on m’a demandé de citer « un homme politique sud-africain » ; quelques questions sur les lois El Khomri.

 

Quels sont tes projets ?

Je suis encore assez indécise, les opportunités de carrière étant nombreuses. Je pense plutôt m’orienter vers des postes au sein d’institutions bancaires/financières du secteur public telles que l’Autorité des marchés financiers (AMF), la Banque de France, la Banque centrale européenne… Je compte sur les stages de mon année de césure pour me décider !

 

As-tu un mot à adresser aux lycéens qui te lisent ? 

Postulez à Sciences Po ! J’y ai été tellement épanouie, aussi bien par les enseignements que pour les formidables rencontres que j’y ai faites. L’opportunité de passer deux ans à New York et d’être diplômée de Columbia ne se serait probablement jamais présentée si je n’avais pas été élève à Sciences Po. En plus, une fois entrés à Sciences Po, les élèves ont une place réservée en master, ce qui enlève bien du souci !

 

Merci à toi Sixtine d’avoir accepté cet entretien !

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Les conseils de Patrick Godfard pour se préparer aux concours des IEP

Aux élèves de Terminale qui préparent cette année les concours des IEP de province, ainsi qu’à tous les férus d’histoire-géopolitique, l’historien Patrick Godfard dévoile ses conseils de livres, films et mangas.

 

/ A lire /

 

Témoignages

  • BEDNARSKI Piotr, Les neiges bleues, Le Livre de Poche, 2008. Récit émouvant qui offre une vision riche en contrastes sur la Sibérie de l’époque soviétique et sur le sort des enfants.

La première page de couverture du récit émouvant qui offre une vision riche en contrastes sur la Sibérie de l’époque soviétique et sur le sort des enfants. Les neiges bleues

    • BLOCH Marc, L’Étrange Défaite, Folio Histoire, 1990. Le grand historien Marc Bloch l’écrivit en juillet-septembre 1940. Il fut fusillé pour faits de résistance le 16 juin 1944. Son ouvrage constitue l’analyse la plus intelligente des raisons de la défaite française en mai-juin 1940.
    • DE GAULLE, Mémoires de guerre. Incontournable.
    • DELBO Charlotte, Aucun de nous ne reviendra, Éditions de Minuit, 1970. Récit très émouvant, écrit avec un style poétique, d’une ancienne déportée d’Auschwitz.
    • DRAENGER Gusta, Le Testament de Justyna (préface de Serge Klarsfeld), Le Bord de l’eau, 2019. Témoignage écrit en prison par une jeune femme qui s’est rendue à la Gestapo après l’arrestation de son mari pour partager son sort. Récit relatant les actions du réseau de Résistance juive de Cracovie dans un style littéraire, plein de compassion.
    • GUILLAIN Robert, Orient Extrême, Le Seuil/Aléa, Points Actuel, 1989. Les guerres d’Asie de l’Est vécues par un grand reporter du Monde.
    • KESSEL Joseph, L’Armée des ombres, 1943. Sur la Résistance française.
    • KLEMPERER Victor, LTI, la langue du IIIe Reich. Carnets d’un philologue, Albin Michel, 1996 (existe en collection de poche « Agora »). Livre remarquable, intelligent, d’un philologue juif allemand démis de ses fonctions de professeur et qui a, sur le vif, au cours d’un journal tenu régulièrement, étudié la novlangue nazie. Récit vivant et d’une haute tenue intellectuelle.
    • LUSSEYRAN Jacques, Et la lumière fut, Éditions du Félin, coll. Résistance- Liberté-Mémoire, 2005. Jacques Lusseyran a dirigé le réseau Les Volontaires de la liberté composé de 600 lycéens et étudiants. Il était lui-même étudiant. Et il était aveugle. Trahi, arrêté et déporté, il a survécu au camp. Un très beau témoignage.
    • PILECK Witold, Le Rapport Pilecki, Éditions Champ Vallon, 2014. « Déporté volontaire » à Auschwitz, il fut l’un des plus grands résistants de la Seconde Guerre mondiale.
    • VERCORS, Le Silence de la mer, Éditions de Minuit, 1942. Ouvrage majeur de la Résistance française.

    Etudes d’historiens à la lecture facile et captivante, romans historiques, BD

    • BEEVOR Antony, La Seconde Guerre mondiale, Calmann-Lévy, 2012. Un long récit détaillé, dense, pas que sur les batailles et écrit avec verve.
    • BINET Laurent, HHhH, Grasset, 2010 (Le Livre de Poche, 2011). Sur l’assassinat de Reinhard Heydrich, le numéro deux de la SS et de la Gestapo. Un best-seller de qualité.
    • BROWNING Christopher R., Des hommes ordinairesLe 101e bataillon de réserve de la police allemande et la Solution finale en Pologne, Tallandier, 2007. Une analyse détaillée qui essaie de comprendre comment des hommes en arrivent à massacrer des femmes et des enfants.
    • CARTIER Raymond, La Seconde Guerre mondiale (2 vol.), Larousse, 1965. Une analyse détaillée et réfléchie des opérations militaires.
    • DELISLE Guy, Chroniques de Jérusalem, Éditions Delcourt, 2011. Témoignage sous forme de BD de la vie à Jérusalem. Instructif.
    • FILIU Jean-Pierre, Les Arabes, leur destin et le nôtre – Histoire d’une libération, La Découverte, 2015. Ouvrage court, qui se lit facilement et qui présente les principales problématiques.
    • FILIU Jean-Pierre, B. David, Les meilleurs ennemis (Tome 2 : 1953-1984) : Une histoire des relations entre les États-Unis et le Moyen-Orient, Futuropolis, 2011. Une BD réussie.
    • FONTAINE André, La guerre froide, réédition Point Histoire en 2006. Livre très détaillé d’un des plus grands journalistes du Monde. Se lit comme un roman.
    • GALBRAITH John Kenneth, La crise économique de 1929Anatomie d’une crise financière, Petite bibliothèque Payot. Se lit comme un roman.
    • KERSHAW Ian, Choix fatidiquesDix décisions qui ont changé le monde (1940-1941), Seuil, Points Histoire, 2014. Se lit très facilement.
    • LACOUTURE Jean, De Gaulle (tome 2 : Le politique [1944-1959] et le tome 3 : Le souverain [1959-1970]). Une biographie détaillée.
    • MODIANO Patrick, Dora Bruder, Folio, 1999. L’auteur est à la recherche d’une jeune fille juive étrangère disparue sous l’Occupation. Un grand roman.
    • NAKAZAWA Keichi, Gen d’Hiroshima. Manga remarquable.

    La première page de couverture d'un Manga remarquable, GEN d'Hiroshima

      • NYE Joseph, Is the American Century Over ?, Polity, 2015. Ouvrage synthétique d’un des politologues les plus renommés, montrant clairement les atouts majeurs que les Etats-Unis continuent à posséder.
        • PERVILLÉ Guy, La guerre d’Algérie, PUF, collection Que sais-je ?, 2015. Ouvrage dense et intéressant.

         

        / A voir /

         

        Documentaires

         

        • DE TURENNE Henri, COSTELLE Daniel et GUILLAUD Jean-Louis, série des Grandes Batailles, 1966-1974. Très bons documentaires.
        • FOLMAN Ari, Valse avec Bachir, 2008. Une nouveauté : un « dessin animé esthétique documentaire ». Il porte sur des événements tragiques lors de la guerre du Liban.
        • LANZMANN Claude, Shoah, 1985. Le documentaire fleuve qui a fait connaître le mot Shoah. Dans la dernière partie, interviews clés de Rudolf Vrba, Filip Müller (ancien membre d’un Sonderkommando d’Auschwitz) et du résistant polonais Jan Karski qui a essayé en vain d’avertir le monde du génocide en cours.
        • OPHÜLS Marcel, Le chagrin et la pitié, 1971. Un documentaire de qualité qui a changé le regard sur la France de l’Occupation.
        • PONTECORVO Gillo, La Bataille d’Alger, 1966. Film néoréaliste tourné huit ans après les faits avec les habitants de la Casbah d’Alger. Le film ne sortit dans les salles de cinéma en France qu’en 1970 et resta censuré à la télévision jusqu’en 2004.
        • ROSÉ Jean-Christophe, Mussolini-Hitler, l’opéra des assassins, 2012. Documentaire très bien mené.

        Fictions (à partir d’éléments réels)

         

        • COPPOLA Francis Ford, Apocalypse Now, 1979. Un grand classique sur la guerre du Vietnam.
        • COSTA-GAVRAS, L’Aveu, 1970. Sur les procès staliniens.
        • COSTA-GAVRAS, Missing, 1982. Sur le coup d’État de Pinochet au Chili le 11 septembre 1973.
        • IMAMURA Shôhei, Pluie noire, 1989. Film poignant sur les conséquences du bombardement atomique de Hiroshima. D’après le roman de Masuji Ibuse fondé sur des témoignages.
        • KRAMER Stanley, Jugement à Nuremberg, 1961. Fiction qui pose les problématiques essentielles sur la question des responsabilités.
        • KUBRICK Stanley, Full Metal Jacket, 1987. Film assez réaliste sur la guerre du Vietnam.
        • MIKHALKOV Nikita, Soleil trompeur, 1994. Fiction sur les purges staliniennes des années 1930.
        • NEMES László, Le Fils de Saul, 2015. Dans la peau d’un membre d’un Sonderkommando d’Auschwitz.
        • SIRI Florent Emilio, L’Ennemi intime, 2007. Film dans une veine néoréaliste qui montre bien la nature des combats en zone interdite et les dilemmes moraux lors de la guerre d’Algérie.
        • VON DONNERSMARCK Florian Henckel, La vie des autres, 2006. Sur la Stasi en RDA.
        • ZHANGKE Jia, A Touch of Sin, 2013. Ce film est composé de plusieurs histoires tirées de faits réels : celles d’un mineur de charbon, d’un criminel et d’un ouvrier dans le textile. Le récit des laissés-pour-compte de la croissance en Chine.

        Sur Internet 

        « Histoires de Guerre » de Mamytwink (sur Hiroshima et Nagasaki, Barbie, Witold Pilecki…).

        Je découvre l’émission


        Patrick Godfard, agrégé d’histoire, a enseigné dans le secondaire et le supérieur aux Etats-Unis, en Russie et au Japon et est le traducteur ou l’auteur d’une douzaine d’ouvrages, notamment de préparation à Sciences Po et aux IEP.

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        Comment intégrer Polytechnique ?

        Les écoles du concours Polytechnique

        Perçue comme le Graal par bien des élèves, l’école Polytechnique est en effet une des meilleures écoles d’ingénieurs de France. C’est un formidable endroit pour entamer une carrière dans l’administration, en préparant les corps d’État, ou dans la recherche en participant à des projets qui sont conduits dans les laboratoires de l’École. Les ENS, quant à elles, demeurent la voie royale pour préparer une carrière dans le monde de la recherche et de l’enseignement.

        Le concours Polytechnique – ENS permet d’intégrer les écoles suivantes :

        • L’École Polytechnique, surnommée l’X,

        • Les Écoles Normales Supérieures de la rue d’Ulm, Paris-Saclay et Rennes,

        • l’ESPCI ou l’Ecole Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles pour la filière PC

        Il s’agit du concours le plus exigeant sur le strict plan de la difficulté théorique, tant à l’écrit qu’à l’oral. La sélection y est très poussée, néanmoins il n’est pas nécessaire d’être qualifié de surdoué pour y intégrer une école. La détermination, la capacité de travail et les facultés de mémorisation sont autant d’atouts qui permettent à des élèves avec moins de facilités d’accéder tout de même à ces Grandes Écoles.

         

        Les critères d’éligibilité du concours Polytechnique

        Il existe des critères d’éligibilité pour les élèves en Prépa Scientifique, anciennement Prépa « Maths Sup », comme il est inscrit sur le site de Polytechnique :

          • Posséder la nationalité française (à la date du début des épreuves écrites).
          • Etre âgé de 17 ans accomplis au 1er septembre de l’année du concours, et de moins de 23 ans au 1er janvier de l’année du concours.
          • Etre titulaire du baccalauréat ou d’un titre équivalent.
          • Acquitter les droits d’inscription requis.
          • Remplir les conditions d’aptitude physique fixées par le ministre de la Défense, et vérifiées au moment de l’admission par le médecin chef de l’École.
          • N’avoir encouru aucune condamnation qui entraînerait la perte de son grade pour un officier de réserve.

         

        L’Ecole étant un établissement dit généraliste, plusieurs filières de classes préparatoires scientifiques permettent d’intégrer Polytechnique, telles que la prépa MPSI (Maths Physique et Science de l’Ingénieur), la prépa PCSI (Physique Chimie et Science de l’ingénieur), la prépa PTSI (Physique Technologie et Sciences de l’ingénieur), la prépa MP2I (Maths Physique Ingénierie et Informatique), la prépa BCPST (Biologie, Physique-Chimie et Sciences de la Terre) ou MP, PC, PT, MPI et BCPST 2 pour les élèves en deuxième année, anciennement « Maths Spé ». Il n’y a donc de « meilleure prépa » permettant d’intégrer l’X, néanmoins il est nécessaire d’exceller dans les matières scientifiques telles que les Mathématiques, la Physique ou encore l’Informatique pour pouvoir prétendre devenir un futur Polytechnicien.

         

        Les thèmes récurrents du concours Polytechnique

        Le concours s’étend sur plusieurs épreuves écrites et orales, réparties en deux phases. La première phase comprend des épreuves écrites de Mathématiques, Physique, Informatique, Français et Anglais. La deuxième phase consiste en des épreuves orales de Mathématiques, Physique, Anglais, mais également un entretien de motivation.

        Il est important de noter que les Grandes écoles d’ingénieurs ne pondèrent pas les épreuves de la même façon et que le concours X-ENS surpondère les oraux par rapport aux écrits.

        Le concours est composé des six épreuves :

          • Une épreuve de Mathématiques
          • Une épreuve de Physique
          • Une épreuve de Français
          • Une épreuve de Langue
          • Une analyse de documents scientifiques
          • Une épreuve de sport

         

        Nous avons répertorié dans les tableaux suivants le nombre de fois où chaque thème de Mathématiques, Physique et Chimie est tombé aux écrits des concours X-ENS entre 2015 et 2019. Si votre objectif est d’intégrer une des écoles du concours Polytechnique, la meilleure façon d’y parvenir est d’améliorer votre maîtrise des thèmes récurrents, en travaillant sur des annales par exemple.

         

        Mathématiques 

        Maths MP AMaths MP BMaths PCMaths PSI
        Structures algébriques et arithmétique1
        Polynômes3113
        Algèbre linéaire générale 433
        Réduction des endomorphismes331
        Produit scalaire et espaces euclidiens1112
        Topologie des espaces vectoriels normés2111
        Suites et séries numériques11
        Suites et séries de fonctions2
        Séries entières1
        Analyse réelle1432
        Intégration41
        Équations différentielles11
        Fonctions de plusieurs variables11
        Dénombrement et probabilités13

         

        Physique

        Physique MPPhysique-SI MP Physique PC APhysique PC BPhysique PSI Physique-Modélisation PSI
        Thermodynamique21211
        Phénomènes diffusifs11
        Physique statistique1
        Électrostatique et magnétostatique21
        Électronique1122
        Conversion de puissance12
        Mécanique du point et du solide444313
        Mécanique des fluides132
        Ondes mécaniques et sonores11112
        Électromagnétisme113311
        Optique113
        Physique quantique1111
        Informatique1

         

        Chimie

        Chimie PC
        Solutions aqueuses1
        Cinétique chimique3
        Oxydoréduction2
        Thermochimie3
        Mélanges binaires1
        Chimie organique5
        Orbitales moléculaires3
        Chimie de coordination1

        Comment intégrer Les Mines ?
        Comment intégrer Centale ?



        Avec la réforme de la procédure de sélection à Sciences Po, le dossier scolaire depuis la classe de Seconde et la personnalité de l’étudiant deviennent prépondérants dans l’admissibilité. L’ensemble de l’équipe PrépasupIpesup, prépa Sciences Po de référence depuis 1975, se mobilise pour vous aider à mettre toutes les chances de votre côté dès l’été.

        Stage d’été de la Seconde vers la Première 

        Nos stages sont d’abord conçus comme des « sum up » des cours dispensés sur Sciences Po et les « soft skills » durant l’année de Seconde. Ils sont ensuite caractérisés par une proposition forte :

        • obtenir un positionnement en Anglais reconnu par l’IEP de Paris et valorisable sur Parcoursup
        • et/ou anticiper l’évaluation du socle commun par une préparation efficace aux E3C

         

        Formule 1 : Sum up Sciences Po + Préparation à la Certification Cambridge niveau B2Formule 2 : Sum up Sciences Po + Réussir les E3C Le module « Sum up Sciences Po » seul :
        En dehors du B2, toute indication d’un niveau plus faible n’aurait pas d’intérêt dans un dossier. PREPASUP est centre homologué Cambridge Certificate.

        24h de cours + invitation au « Carrefour des associations »

        • 10h sur la partie « dossier »
        • 14h sur la partie « personnalité et motivation »

        21,5h de cours et tests d’anglais

        • Tests de positionnement
        • 16h de cours
        • 5,5h d’examens blancs
        • Certification Nivea B2 Cambridge (sous réserve de niveau suffisant à l’issue du stage. La date de certification n’est pas incluse dans le stage)
        24h de cours + invitation au « carrefour des associations »

        • 10h sur la partie dossier
        • 14h sur la partie « personnalité et motivation »

        24h de méthodologie en Histoire-Géographie, Anglais et Enseignement scientifique (tronc commun) + Accès post-stage à des annales de sujets corrigés

         

         

         

         

         

         

         

        24h de cours + invitation au « carrefour des associations »

        • 10h sur la partie dossier
        • 14h sur la partie « personnalité et motivation »

         

         

         

         

         

         

         

         

         

         

          Date :

          • Formule 1 : du mercredi 1er au jeudi 9 juillet 2020
          • Formule 2 : du lundi 17 au mardi 25 août 2020
          • « Module Sum up Sciences Po » seul : au choix, du mercredi 1er au jeudi 9 juillet 2020 ou du lundi 17 au mardi 25 août 2020 »

          Tarif :

          • Formule 1 ou Formule 2 : 1050€ chacune
          • Module « Sum up Sciences Po » seul : 700 € (disponible aux deux dates)

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          Stage d’été de la Première vers la Terminale

          Nos stages sont d’abord conçus comme des« sum up » des cours dispensés sur Sciences Po et les « soft skills » durant l’année de Première. Ils sont ensuite caractérisés par une proposition forte :

          • obtenir unpositionnement en Anglais reconnu par l’IEP de Paris et valorisable sur Parcoursup
          • et/ou anticiper l’évaluation du socle commun par une préparation efficace aux E3C.
          Formule 1 : Sum up Sciences Po + préparation à la certification CambridgeFormule 2 : Sum up Sciences Po + réussir les E3C de TerminaleFormule 3 : Sum up Sciences Po Seul

          Sur l’enjeu actuel de la Certification en langue, voir l’onglet

          24 h de cours + invitation au « carrefour des associations »

          • 10 h sur la partie dossier
          • 14 h sur la partie « personnalité et motivation »

          21,5 h de cours et tests d’anglais :

          • test de positionnement
          • 16 h de cours
          • 5,5 h d’examens blancs
          • Certification niveau C1 Cambridge
          24 h de cours + invitation au « carrefour des associations »

          • 10 h sur la partie dossier
          • 14 h sur la partie « personnalité et motivation »

          24h de méthodologie en Histoire-Géographie, Anglais et Enseignement scientifique(tronc commun) + Accès post-stage à des annales de sujets corrigés

           

           

           

           

          24 h de cours + invitation au « carrefour des associations »

          • 10 h sur la partie dossier
          • 14 h sur la partie « personnalité et motivation »

           

           

           

           

           

           

           

           

          Dates : Chacune des formules est disponible aux trois sessions proposées ci-dessous

          • Du mercredi 1er au jeudi 9 juillet 2020
          • Du lundi 20 au mardi 28 juillet 2020
          • Du lundi 17 au mardi 25 août 2020

          Tarifs :

          • Formule 1 ou Formule 2 : 1050€ chacune
          • Module « Sum up Sciences Po » seul : 700 €

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        • Préparez votre entrée à Sciences Po grâce aux stages d'été
        • Ma vie en école – Entretien avec Chiara de Andreis, étudiante au CELSA, passée par la prépa d’IPESUP

          Quel a été ton parcours universitaire avant de rejoindre le CELSA ? 

          J’ai fait une licence de Lettres modernes à la Sorbonne Nouvelle. Pendant ces trois années, j’ai étudié la sémiologie, la littérature, la linguistique, un peu de philosophie, un peu d’histoire littéraire. Depuis très jeune, au lycée, je souhaite rejoindre le CELSA. J’ai donc fait en sorte de rejoindre un cursus en lien avec les matières étudiées au CELSA. 

           

          Pourquoi as-tu souhaité si tôt t’orienter vers le CELSA ? 

          J’ai toujours été passionnée par les médias. Au départ, je voulais intégrer le CELSA en journalisme, puis finalement j’ai choisi communication, qui me paraissait être une voie plus ouverte, moins professionnalisante au départ. 

           

          Comment se passe ta vie en école ? 

          Très bien, les cours et la vie associative sont très riches. 

          La vie associative occupe une place très importante dans l’école, pour les professeurs comme pour les élèves. Comme dans la plupart des grandes écoles, on retrouve des associations dans presque tous les domaines : culture, cuisine, sport, danse, cinéma, œnologie, et bien sûr médias ! L’association fast and curious propose des articles exclusivement rédigés par des étudiants. 

          Côté cours, différentes spécialités existent en communication. Les élèves suivent une partie de tronc commun (histoire des médias, économie, sociologie, management), et à partir du Master 1, ils se spécialisent et suivent des cours plus ciblés. Pour moi qui ai choisi la spécialité « médias », je suivrai à la rentrée prochaine des cours comme la veille médiatique ou la stratégie des médias. 

           

          Participes-tu à la vie associative du CELSA ? 

          Oui, je suis présentatrice de Com’air, la radio du CELSA. Je présente les actualités internes à l’école ou extérieures, lorsque celles-ci ont une répercussion sur la vie étudiante. Cette expérience m’a permis de mieux m’exprimer en public, de développer une certaine confiance en moi à l’oral. Lorsque l’on parle à la radio, il faut apprendre à poser sa voix, à canaliser son stress. On apprend tout en s’amusant, puisque cette radio reste une radio étudiante. 

          Je pense que cet apprentissage des premières bases du journalisme m’a été utile, puisque je suis aujourd’hui chroniqueuse pour une chaîne de télévision. 

           

          As-tu eu l’occasion de réaliser des stages ? 

          Je viens d’effectuer un stage chez Brut pendant quatre mois. Cette expérience a été exceptionnelle ! D’abord, c’était ma première expérience au sein d’un vrai média. Ensuite, j’ai trouvé ça très intéressant de commencer par un média qui n’est pas traditionnel. Brut  développe un nouveau journalisme, qui adopte un angle différent pour traiter les sujets traditionnels. L’écriture aussi est beaucoup plus courte, elle a autant d’importance que les images.

           

          Quelles étaient tes missions ? 

          Je m’occupais essentiellement de la partie marque-média. Brut développe de la vidéo pour certaines entreprises ; c’est essentiellement grâce à cette activité que le média se finance. Je présentais donc nos prestations à nos clients, examinais leurs besoins… Nous avons par exemple travaillé avec Nike, Nespresso, Paypal, Showroom privé, ou encore la SNCF. De façon plus informelle, j’ai travaillé en journalisme sur les nouveaux réseaux : Instagram, Tik Tok, Snapshat. En effet, nous touchons facilement les publics plus matures en âge sur Facebook mais pas les moins de quinze ans, qui utilisent essentiellement les nouveaux médias. Tik Tok permet de s’adresser à cette audience. 

           

          Ton cursus prévoie-t-il un échange universitaire à l’étranger ? 

          Oui, je pars en échange à Milan, du mois de janvier 2021 au mois de juin. J’étudierai la communication à l’Université catholique de Milan, partenaire du CELSA. 

           

          Quel est ton cours préféré ? 

          Le cours de Sociologie des médias. On apprend vraiment la manière dont sont construits les médias : on interroge le rôle des journalistes dans la société, pourquoi ils interviennent à tel ou tel moment plutôt qu’un autre. Ce cours montre également qu’en fonction de l’époque, le traitement de l’information varie. Il y a aussi des valeurs et des principes propres à la profession : un reporter par exemple doit toujours parler de ce qu’il a vu sans donner son avis sur le sujet. En Interview, le journaliste doit rester impartial. 

           

          Quel est ton professeur préféré ? 

          Valérie Jeanne-Perrier. C’est une des plus grandes stars du CELSA. Elle est aussi forte en management des médias qu’en journalisme pur. Elle allie les deux qui sont pourtant souvent en guerre. 

           

          Quelles sont à tes yeux les principales qualités de ton école ? 

          La diversité des cours, la richesse de la vie associative, et la taille humaine de l’école. Nous ne sommes que 150 environ par promo, ce qui fait que tout le monde se connaît et s’entraide. 

           

          Que t’a apporté la prépa CELSA d’IPESUP ? 

          Beaucoup. J’ai passé le concours une première fois en deuxième année (L2), j’ai été admissible mais ai échoué à l’oral. En troisième année, j’ai intégré avec 15/20 à l’écrit et 14/20 à l’oral. 

          J’ai donc fait deux années de prépa. Je me souviens des cours de Pascal Dayez, qui n’étaient jamais ennuyeux, qui nous faisaient aimer l’actualité. En méthodologie, il nous permettait de comprendre ce qu’il faut mettre dans sa copie, comment la structurer. Et surtout, tout en étant exigeant, il nous détendait face au concours, alors que j’étais super stressée. En deuxième année, je faisais surtout les concours blancs. L’un des grands atouts de la prépa, ce sont en effet les concours blancs : ils apprennent à gérer son temps, à avoir la bonne rédaction, à se préparer aux conditions du concours. Ils obligent à tout le temps rester connecté à l’actualité.   

          De manière générale, les professeurs sont très à l’écoute. 

           

          En quoi consistent les épreuves ? 

          L’épreuve d’admissibilité est une épreuve écrite de quatre heures qui se divise en deux parties : une partie commune à tous les parcours de communication, de réflexion. Il s’agit d’une dissertation en deux parties avec plan apparent, dont le point de départ peut être un mot (par exemple « fake » en 2018), ou une citation (d’Emile de Girardin en 2019). 

          La deuxième partie de l’épreuve est spécifique à la spécialité choisie. Il s’agit d’une analyse sémiotique et sémiologique d’un document, généralement une image. 

          L’admission se fait sur deux entretiens : un entretien d’anglais, et un entretien de personnalité et de motivation.

           

          Conseillerais-tu la prépa CELSA d’IPESUP ? Si oui, pourquoi ? 

          Oui, car elle est très bien organisée. Le professeur principal, Pascal Dayez, est vraiment très compétent. 

           

          Quels sont tes projets ? 

          Travailler dans un média audiovisuel, en France pour commencer puis éventuellement à l’étranger. 

           

          As-tu un mot à adresser aux lycéens et préparationnaires qui te lisent ?  

          Il n’y a que l’entraînement qui puisse permettre de réussir un concours comme celui du CELSA. 

           

          Merci à toi Chiara d’avoir accepté cet entretien !

          En savoir plus sur notre préparation Celsa > Je m’inscris à une réunion d’information >



          Pour la conférence d’inauguration de notre prép’ENA d’été 2020, nous avons eu l’honneur d’accueillir Nicolas Baverez, essayiste, avocat à la Cour d’Appel de Paris et membre du comité de direction de l’Institut Montaigne, sur la thématique : Le « monde d’après » la crise du Covid-19

          La prépa ENA d’Ipesup c’est :

          • une équipe pédagogique expérimentée composée d’énarques et d’académiques de haut niveau
          • un système de parrainage par un élève ou ancien élève de l’ENA pour chaque étudiant
          • une plateforme pédagogique digitale
          • des conférences sur les grandes thématiques d’actualité animées par des intervenants reconnus

           

          Nos résultats 2019 :

          • 47,5 % des admis ont suivi une préparation IPESUP
          • 64% des admissibles sont parvenus à être admis (moyenne nationale : 44%)

          Tout au long de l’année, des spécialistes reconnus interviennent pour donner aux préparationnaires de toutes nos filières (ENA, Sciences Po, prépa HEC…) les clés pour réussir

          Pour vous inscrire à l’une de nos réunions d’information : Je m’inscris aux réunions

          Bauen Sie sich allmählich auf, um Knieschmerzen zu vermeiden. Berücksichtigen Sie die physikalische Therapie

          Entscheiden Sie sich für ein Ellipsentrainer anstatt für das Laufband im Fitnessstudio.

          Tipps zur Vermeidung von Knieverletzungen

          Zusätzlich zu Gotlins Rat können Sie Knieschmerzen und Verletzungen vermeiden, indem Sie Folgendes tun:

          Halten Sie Ihr Gewicht. Da zusätzliches Gewicht die Wahrscheinlichkeit einer Arthrose erhöhen kann, sollten Sie ein Gewicht beibehalten, das Ihrer Größe und Ihrem Alter entspricht, um die Belastung Ihrer Knie zu verringern und ein erhöhtes Risiko für Knieverletzungen zu vermeiden. Lire la suite



        • Bauen Sie sich allmählich auf, um Knieschmerzen zu vermeiden. Berücksichtigen Sie die physikalische Therapie